CARTIER

    

Un décor : la Cité du Retiro

Dans le prolongement de la galerie de la Madeleine, la Cité du Retiro relie la rue Boissy d’Anglas à la rue du Faubourg Saint-Honoré.

Rachetée par la foncière Unibail, un concours d’architecture, remporté en 1999 par Ricardo Bofill, décide de l’avenir de cet ensemble tertiaire en 20 000 m2 de bureaux, dont les quelques contributions datant du baron Haussmann ont été réhabilitées et complétées par des immeubles transparents de six étages alliant le verre au métal.

Cartier souhaitait regrouper trois entités en un même site et faire de ce site un étendard de son image. Unibail, récent propriétaire de la Cité du Retiro, consultait alors trois cabinet d’architecture en vue de sa rénovation en prestigieux pôle de bureaux.

La rencontre ne relève sans doute pas du hasard ; séduit par le site et par le programme, le groupe de luxe signe avec le bailleur et choisit avec lui le projet de Ricardo Bofill. Pour le space planning, le groupe a choisi Génie des Lieux, spécialiste en accompagnement opérationnel au changement.

Restait à Cartier la nécessité de s’approprier ces espaces... un rôle dévolu au mobilier...

Le système du mur technique

"Le mur technqiue est une réussite totale et une idée formidable", déclare Catherine Desplanches, directeur des affaires générales de Cartier.

Un enthousiasme partagé par les salariés qui se sont appropriés ce système. Un système de 82 mm d’épaisseur, centre des technologies et des focntions diverses.

Autoporteur grâce à son piètement excentré, il simplante tout seul soit adossé à un second, soit à un mur, ou une armoire avec laquelle il partage hamonieusement la hauteur (188 com).

Le mur technique regroupe les réseaux électrique, téléphonique et bureautique ; il dispose d’une goulotte de distribution intégrée (avec cache soupe coulissant) installée sous la console informatique.

Le mur technique permet également, grâce à des fixations amovibles horizontales, de le personnaliser à l’infini, s’adaptant ainsi parfaitement aux besoins de chacun des utilisateurs.Le système du mur technique

"Le mur technqiue est une réussite totale et une idée formidable", déclare Catherine Desplanches, directeur des affaires générales de Cartier.

Un enthousiasme partagé par les salariés qui se sont appropriés ce système. Un système de 82 mm d’épaisseur, centre des technologies et des focntions diverses.

Autoporteur grâce à son piètement excentré, il simplante tout seul soit adossé à un second, soit à un mur, ou une armoire avec laquelle il partage hamonieusement la hauteur (188 com).

Le mur technique regroupe les réseaux électrique, téléphonique et bureautique ; il dispose d’une goulotte de distribution intégrée (avec cache soupe coulissant) installée sous la console informatique.

Le mur technique permet également, grâce à des fixations amovibles horizontales, de le personnaliser à l’infini, s’adaptant ainsi parfaitement aux besoins de chacun des utilisateurs.

L’unité de rangement


Sans aucun doute la pièce la plus consistante du mobilier. Ni tout à fait opaque, ni tout à fait transparente, l’unité de rangement offre des séparations naturelles. Cet élément de rangement monobloc - de deux, trois ou cinq modules en hauteur, avec ou sans double porte munie d’une serrure - se décline en bibliothèque, en armoire mono-volume ou segmentée, en vestiaire...

Chaque module peut recevoir des étagères amovibles, des boîtes de rangement, des caissons à tiroirs sur glissières, des vitrines ou des boîtiers à prises pouvant se connecter à la colonne montante électrique qui alimente le luminaire intégré.

Sa structure métallique latérale en échelle bénéficie époxy spéciale sur laquelle le gras de la peau ne marque pas. Un "voile de soie" a été appliqué sur le verre extra blanc de ses parois et occultations pour les rendre floues.

D’un seul tenant, son parement arrière démontable n’offre aucune aspérité susceptible d’accrocher le passant côté couloir ou l’usager côté bureau.

Son déplacement éventuel se fait grâce à un transpalette adapté d’une grande maniabilité.


Le trolley

Sans aucun doute l’élément le plus petit en taille, mais presque systématiquement le plus massif, ce cubede rangement opaque se laisse charger de tout.

Ce nouvel assistant personnel se clôt grâce à une porte vitrée condamnable pivotant à 270° pour mieux s’escamoter sur son flanc.

A l’arrière, une place permet de ranger les documents de format A3 et les tubes.


La surface de travail

Seule pièce (avec le siège), "incontournable" - au propre comme au figuré - du mobilier tertiaire et élément central de la cellule, , sa surface moyenne, bien qu’inférieure à 1,50m2, "supporte" la quasi-totalité de l’activité passée sur de travail.

Territoire c=souvent touffu, envahi d’objets toujours plus nombreux, sa fonctionnalité l’emporte sur sa forme.

Ici, l’environnement global appelait à une stricte ergonomie, évitant tout accessoire superfétatoire.

Les différents plateaux de travail sont revêtus d’un High Pressure Laminate (stratifié compact). La structure est constituée de deux portiques (en tube d’acier carré époxy) rectilignes reliés par une traverse.

La légèreté de l’ensemble suffit à son déplacement, ses pieds ont donc été équipés de vérins dépourvus de roulettes.