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  • Charge mentale : comment le (télé)travail empoisonne notre vie privée

    Auteur(s) : Ifop-Mooncard
    Date de publication : juin 2021

    2e édition du baromètre sur la “charge mentale professionnelle » et ses implications dans la vie privée (NB la quasi-totalité des études se penchent sur la charge mentale « domestique » et son impact au travail). Avec une grosse Innovation : la création d’un « indice de charge mentale professionnelle », calculé par l’Ifop, qui permet de comparer les catégories de personnes les plus touchées.

     

     

    https://blog.mooncard.co/ifop-charge-mentale-et-vie-privée

  • Crise du Covid-19 : scénarios à l’horizon fin 2021

    Auteur(s) : Futuribles
    Date de publication : avril 2020

    Le 31 mars dernier, l'association Futuribles International vous proposait une première réflexion prospective sur la crise du Covid-19. Nous vous soumettons une nouvelle version de ce travail, mis à jour et fortement complété en date du 20 avril 2020.

    Les mises à jour concernent notamment la partie sanitaire et intègrent les nouvelles données et études disponibles. Les compléments portent sur les perspectives à 18 mois des dynamiques économiques, sociales et politiques ouvertes par la crise, en France et en Europe. Un nouveau scénario est proposé. Le document comprend également l’amorce d’une réflexion sur la situation internationale qu’il nous reste à compléter. 

     

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  • Étude Absentéisme 2019

    Auteur(s) : Malakoff Médéric Humanis
    Date de publication : novembre 2019

    Dans un contexte d’augmentation des coûts liés aux arrêts maladie, de réforme de la santé au travail et d’allongement de la durée de vie professionnelle, Malakoff Médéric Humanis apporte un éclairage sur les enjeux liés à l’absentéisme maladie à travers son étude 2019. 44 % des salariés se sont vu prescrire au moins un arrêt maladie au cours des 12 derniers mois, un chiffre stable mais élevé. 36 % des salariés arrêtés durant cette période l’ont également été l’année précédente. 28 % des arrêts maladie ne sont pas respectés, ou en partie seulement. Cette tendance au renoncement est en augmentation continue, tout comme le présentéisme qui concernerait aujourd’hui 65 % des salariés. Quels sont les impacts et les enjeux de ces phénomènes pour l’entreprise et les salariés ? Quelles solutions mettre en place pour les prévenir ? Comment accompagner les entreprises qui veulent agir ? C'est à ces questions que répond l’étude croisée salariés et dirigeants réalisée par le Comptoir de la nouvelle entreprise.

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Thèmes

Santé au travail

  • Charge mentale : comment le (télé)travail empoisonne notre vie privée

    Auteur(s) : Ifop-Mooncard
    Date de publication : juin 2021

    2e édition du baromètre sur la “charge mentale professionnelle » et ses implications dans la vie privée (NB la quasi-totalité des études se penchent sur la charge mentale « domestique » et son impact au travail). Avec une grosse Innovation : la création d’un « indice de charge mentale professionnelle », calculé par l’Ifop, qui permet de comparer les catégories de personnes les plus touchées.

     

     

    https://blog.mooncard.co/ifop-charge-mentale-et-vie-privée

  • Crise du Covid-19 : scénarios à l’horizon fin 2021

    Auteur(s) : Futuribles
    Date de publication : avril 2020

    Le 31 mars dernier, l'association Futuribles International vous proposait une première réflexion prospective sur la crise du Covid-19. Nous vous soumettons une nouvelle version de ce travail, mis à jour et fortement complété en date du 20 avril 2020.

    Les mises à jour concernent notamment la partie sanitaire et intègrent les nouvelles données et études disponibles. Les compléments portent sur les perspectives à 18 mois des dynamiques économiques, sociales et politiques ouvertes par la crise, en France et en Europe. Un nouveau scénario est proposé. Le document comprend également l’amorce d’une réflexion sur la situation internationale qu’il nous reste à compléter. 

     

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  • Étude Absentéisme 2019

    Auteur(s) : Malakoff Médéric Humanis
    Date de publication : novembre 2019

    Dans un contexte d’augmentation des coûts liés aux arrêts maladie, de réforme de la santé au travail et d’allongement de la durée de vie professionnelle, Malakoff Médéric Humanis apporte un éclairage sur les enjeux liés à l’absentéisme maladie à travers son étude 2019. 44 % des salariés se sont vu prescrire au moins un arrêt maladie au cours des 12 derniers mois, un chiffre stable mais élevé. 36 % des salariés arrêtés durant cette période l’ont également été l’année précédente. 28 % des arrêts maladie ne sont pas respectés, ou en partie seulement. Cette tendance au renoncement est en augmentation continue, tout comme le présentéisme qui concernerait aujourd’hui 65 % des salariés. Quels sont les impacts et les enjeux de ces phénomènes pour l’entreprise et les salariés ? Quelles solutions mettre en place pour les prévenir ? Comment accompagner les entreprises qui veulent agir ? C'est à ces questions que répond l’étude croisée salariés et dirigeants réalisée par le Comptoir de la nouvelle entreprise.

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  • 11e Baromètre Santé et qualité de vie au travail

    Auteur(s) : Malakoff Médéric Humanis
    Date de publication : septembre 2019

    Alors que des réflexions sont actuellement menées par les pouvoirs publics sur l’organisation du système de prévention et de santé au travail, Malakoff Médéric Humanis publie l’édition 2019 de son Baromètre Santé et qualité de vie au travail. Quelles sont les grandes tendances et les évolutions récentes en matière de conditions de travail, de pratiques managériales, de conciliation vie professionnelle et personnelle ou de santé ? Quels sont leurs impacts sur l’engagement et l’attachement des salariés à l’entreprise, et donc sur sa performance ? C'est à ces questions que répond le baromètre annuel réalisé par le Comptoir de la nouvelle entreprise auprès des salariés du secteur privé.

    https://newsroom.malakoffmederic-humanis.com/actualites/malakoff-mederic-humanis-presente-les-resultats-de-la-11e-edition-de-son-barometre-sante-et-qualite-de-vie-au-travail-bcee-63a59.html

  • Comment ont évolué les expositions des salariés du secteur privé aux risques professionnels sur les vingt dernières années ?

    Auteur(s) : Dares
    Date de publication : septembre 2019
    Origine : Sumer 2017

    Dans le secteur privé, la plupart des expositions des salariés aux contraintes physiques ont baissé entre 1994 et 2017, à l’exception du bruit. L’exposition à au moins un produit chimique concerne un tiers des salariés en 2017, un niveau légèrement inférieur à celui de 1994. L’exposition à au moins un produit cancérogène concerne encore 10 % des salariés, soit 1,8 million de personnes. Sur les vingt dernières années, le signalement des expositions à des agents biologiques a augmenté.

    Ces expositions aux risques physiques, chimiques et biologiques s’inscrivent dans un contexte organisationnel toujours très contraint. L’intensité du travail a augmenté depuis 20 ans, même si elle s’est stabilisée entre 2010 et 2017. Bien que les marges de manœuvre favorisant l’autonomie au travail soient en recul, les salariés se plaignent moins souvent en 2017 qu’en 2003 de manquer de moyens pour faire correctement leur travail. Après un pic en 2010, le signalement de comportements hostiles revient en 2017 au niveau de 2003, tandis que la tension au travail se stabilise à un niveau élevé et que les écarts entre salariés se creusent concernant le manque de reconnaissance au travail.

     

    Afin de lutter contre l’ensemble de ces expositions, près d’un salarié sur deux est couvert par des pratiques formalisées de prévention des risques professionnels.

     

    https://dares.travail-emploi.gouv.fr/IMG/pdf/dares_analyses_evolution_expositions_professionnelles_salaries_sumer_2017.pdf

  • En 2018, les cadres passeront plus de temps en réunion qu’en vacances

    Auteur(s) : Wisembly/Ifop
    Date de publication : septembre 2018

    Au bout de 30 minutes de réunion, vous vous surprenez à bailler, voire avoir la bave au coin de la bouche ? C'est normal. Pire, plus vous assisterez à des réunions de longue durée, plus cela nuirait à votre santé. 

    Selon le baromère annuel Wisembly, spécialiste du travail collaboratif, réalisé en partenariat avec l’Ifop, une réunion de travail dure en moyenne entre 54 minutes et 1h26, selon la taille de l’entreprise. Sébastien Hof psychologue du travail a démontré que "notre capacité à être concentré sur une tâche ne dépasse pas 45 à 50 minutes maximum, au-delà certains.es perdent vraiment le fil." Pourtant il arrive que certaines réunions durent une heure ou plus.

    https://www.ifop.com/wp-content/uploads/2018/10/CP-En-2018-les-cadres-passeront-plus-de-temps-en-réunion-qu’en-vacances-WisemblyIFOP.pdf

  • Travailler dans un bureau : des risques à ne pas sous-estimer

    Auteur(s) : INRS
    Date de publication : septembre 2017

    Dans un dossier de septembre 2017 consacré aux différents risques présentés par le travail de bureau, l'INRS met en lumière les démarches à mettre en œuvre pour l'entreprise en cas de soupçon d'une mauvaise qualité de l'air intérieur et s'intéresse aux enjeux de l'acoustique des espaces de bureau ouverts et de l'éclairage du lieu de travail.b Le dossier mentionne également les conséquences sur la santé liées aux nouvelles conditions de travail dans le domaine du tertiaire, notamment s'agissant de l'utilisation des technologies de l'information et de la communication (TIC) et plus particulièrement du travail sur écran.  

     

    www.inrs.fr

  • Santé et bien-être des salariés, performance des entreprises

    Auteur(s) : Malakoff Médéric
    Date de publication : avril 2016

    Depuis 8 ans, Malakoff Médéric interroge 3 500 salariés représentatifs du secteur privé français pour éclairer et comprendre  les liens entre santé des salariés et performance des entreprises.  70 questions sont posées pour connaitre la perception des salariés sur leur santé à travers 6 déterminants :  conditions de travail, organisation, management, vie quotidienne, état de santé et hygiène de vie.

    http://www.lecomptoirmm.com/sante-au-travail/etude-sante-bien-etre-salaries-performance-entreprises-2016/

  • Le stress au travail, un enjeu de santé

    Auteur(s) : Patrick Légeron
    Date de publication : septembre 2015
    Origine : Odile Jacob

    Le stress au travail peut mettre en péril la santé physique et mentale des individus. Il a aussi un coût économique gigantesque pour les entreprises et les économies nationales. Comment en sommes-nous arrivés là ? Comment cette formidable mécanique qui devrait être un moteur d’action est-elle devenue un vrai risque pour la santé ? Comment la société, les entreprises, les salariés ont-ils évolué sur cet épineux sujet ? Et quelles sont les actions possibles pour limiter les sources de stress ? Quinze ans après son ouvrage pionnier, référence sur le sujet, Patrick Légeron fait le point sur le stress au travail, ce véritable enjeu de santé, et détaille les stratégies efficaces à mettre en place pour ne pas se laisser entraîner vers l’épuisement ou la dépression, pour éviter cette souffrance humaine et ce gâchis économique. Comprendre et gérer le stress pour prévenir l’épuisement. Patrick Légeron est psychiatre à l’hôpital Sainte-Anne à Paris et fondateur de Stimulus, cabinet de conseil aux entreprises sur les problèmes du stress et du bien-être au travail. Pionnier et expert dans ce domaine, il est également l’auteur, avec Christophe André, de La Peur des autres.

    https://books.google.fr/books?hl=fr&lr=&id=LeuhCgAAQBAJ&oi=fnd&pg=PR80&dq=stress+au+travail&ots=q5wiie_1XE&sig=Ay7UWlFbc9SOvsZpClrcM0rPk0s#v=onepage&q=stress%20au%20travail&f=false

  • L’open space rend les salariés malades

    Auteur(s) : Scandinavian Journal of Work, Environment and Health
    Date de publication : juin 2014

    Le Scandinavian Journal of Work, Environment and Health a publié une étude qui devrait en intéresser/inquiéter plus d’un. Les salariés travaillant en open space seraient moins efficaces, moins heureux et plus stressés. Mais pour aller encore plus loin, l’étude affirme qu’ils seraient exposés à plus de germes donc plus susceptibles de tomber malades.

    http://www.sjweh.fi

  • Baromètre santé et entreprise

    Auteur(s) : Malakoff Médéric
    Date de publication : juin 2014
    Origine : Sociovision

    Les arrêts maladie représentent en moyenne 40 emplois à temps plein dans une entreprise de 1 000 salariés. Malakoff Médéric – qui assure la santé et la prévoyance de 3,7 millions de salariés - publie les résultats de son 5e baromètre santé et bien-être au travail et, pour la première fois, les données sur les arrêts maladie, issues de 16 500 entreprises.

    De manière stable sur les trois dernières années, les arrêts maladie représentent en moyenne, dans une entreprise de 1 000 salariés, l’équivalent de 40 emplois à temps plein. Si les arrêts maladie sont un indicateur de l’état de santé des salariés, ils trouvent leurs origines dans de nombreux facteurs. Ainsi, d’après le baromètre Malakoff Médéric sur la santé et le bien-être au travail, un salarié sur cinq souffre d’une maladie chronique. Autre facteur pouvant contribuer à expliquer en partie ce phénomène : la qualité de vie au travail. Dans un contexte de mutations (restructurations, réorganisations), les tensions peuvent être plus fortes du côté de l’équilibre vie privée/vie professionnelle, même si le niveau de satisfaction des salariés s’établit à un niveau élevé.

    malakoffmederic.com

  • Santé et bien-être des salariés, performance des entreprises

    Auteur(s) : Malakoff Médéric
    Date de publication : janvier 2014

    La santé des salariés français est un bien précieux, à titre individuel bien sûr, mais aussi pour notre économie et notre société. Elle dépend de plusieurs facteurs : personnels (âge, patrimoine génétique, hygiène de vie, environnement social...), professionnels (contraintes physiques et psychiques des métiers...) mais aussi de l’accès à l’offre de soins, sans parler de l’environnement.

    http://www.malakoffmederic.com/groupe/blobs/medias/s/2894cd5818c03295/AALZ1412-1285_Rapport_SBE_synthese_et_solutions_BD.pdf

  • La souffrance psychique en lien avec le travail chez les salariés actifs en France entre 2007 et 2012

    Auteur(s) : INSV
    Date de publication : juillet 2012


    La souffrance psychique en lien avec le travail prend de plus en plus d’importance dans les pathologies d’origine professionnelle. Or, celle-ci ne figure dans aucun tableau de maladie professionnelle reconnue par les différents régimes de sécurité sociale.

    http://invs.santepubliquefrance.fr/beh/2015/23/2015_23_2.html

  • Grossesse et travail

    Auteur(s) : Dominique Lafon, INRS
    Date de publication : janvier 2010
    Origine : Lafon, INRS

    Chaque année, près de 530 000 enfants naissent de mères ayant eu une activité professionnelle durant leur grossesse et la majorité d’entre eux sont en bonne santé. Cependant, malgré toutes les mesures prises, un certain nombre de grossesses présente des complications pouvant avoir des répercussions sur l’enfant : avortement, mort fœtale, naissance prématurée, retard de croissance intra-utérin, malformations congénitales, retard de développement psychomoteur. La part de responsabilité des expositions professionnelles sur ces issues défavorables suscite des interrogations fréquentes.

    http://www.inrs.fr/inrs-pub/inrs01.nsf/IntranetObject-accesParReference/Pdf%20CommuniqueAvisExpertsGrossesse/$File/CommuniqueAvisExpertsGrossesse.pdf

  • Enquête européenne des entreprises sur les risques nouveaux et émergents

    Auteur(s) : Esener, Agence européenne pour la sécurité et la santé au travail
    Date de publication : janvier 2010

    Alors que notre société évolue sous l’influence des nouvelles technologies et de conditions économiques et sociales changeantes, nos lieux de travail, nos pratiques de gestion et nos processus de production se transforment en permanence. Ces nouvelles situations de travail apportent avec elles des risques nouveaux et émergents qui, à leur tour, exigent des approches politiques, administratives et techniques propres à assurer des niveaux élevés de santé et de sécurité au travail. D’après les résultats de l’enquête ESENER, il semble que les entreprises européennes recourent à des actions formelles (basées sur des politiques ou des procédures) pour gérer à la fois les questions générales de SST et les risques psychosociaux, mais aussi à des actions moins formelles (ad hoc), tout particulièrement en ce qui concerne les risques psychosociaux.

    http://osha.europa.eu/fr/publications/reports/fr_esener1-summary.pdf

  • Les absences au travail : une analyse à partir des données françaises du Panel européen des ménages

    Auteur(s) : CHAUPAIN-GUILLOT (Sabine) ; GUILLOT (Olivier)
    Date de publication : janvier 2008
    Origine : ECONOMIE ET STATISTIQUE (Revue) n° 408-409

    D'après les chiffres de la dernière vague d'enquête française du Panel européen des ménages, réalisée à l'automne 2001, un salarié sur dix a été au moins un jour absent de son travail, pour raisons de santé ou non, au cours des quatre dernières semaines. Durant la période 1994-2001, cette proportion a peu varié. Les femmes sont un peu plus nombreuses que les hommes à s'absenter. Ce constat vaut pour l'ensemble des absences comme pour les seuls arrêts maladie. Toutefois, s'agissant du nombre d'épisodes de maladie ou du nombre total de jours de maladie au cours des douze derniers mois, il n'y a guère de différence entre hommes et femmes.Pour analyser les effets des caractéristiques individuelles sur la probabilité d'absence au travail, séparément chez les hommes et chez les femmes, des régressions sur données en coupe (2001) et sur données longitudinales (1998-2001) ont été mises en oeuvre. Trois facteurs ont un rôle déterminant : l'état de santé, le degré de satisfaction dans l'emploi et, chez les femmes, les contraintes de conciliation entre vie familiale et vie professionnelle. Dans le cas des hommes, on observe une relation négative entre le salaire horaire estimé et la probabilité d'avoir été en arrêt maladie, à un moment ou un autre, durant les douze derniers mois. Chez les femmes, en revanche, la probabilité d'absence ne semble guère dépendre du niveau de rémunération.

    http://www.insee.fr/fr/ffc/docs_ffc/Ecostat_B.pdf

  • Les salariés âgés face au travail "sous pressions"

    Auteur(s) : Céline Mardon, Serge Volkoff
    Date de publication : janvier 2008
    Origine : centre d'études de l'emploi

    L’intensification du travail par accumulation de diverses contraintes temporelles constitue une évolution avérée dans les pays industrialisés. Simultanément, on constate un vieillissement de la population active, peut-être renforcé à l'avenir par l'allongement de la vie professionnelle. Dans ce contexte, comment les salariés les plus âgés vivent-ils le travail sous pression temporelle ? Et quelles en sont les incidences sur la santé ? Selon une enquête menée auprès de 11 000 salariés de plus de 50 ans, 80 % des quinquagénaires exposés à la pression jugent cette contrainte difficile (en particulier si elle remet en cause la qualité de leur travail) et déclarent, davantage que les autres, des troubles de santé (douleurs, fatigue, digestion difficile), révélateurs d'un mal-être. Ces troubles sont toutefois atténués lorsque les salariés réussissent à mettre en oeuvre des stratégies protectrices. De tels constats incitent à rechercher des modèles d'organisation du travail facilitant le maintien de la santé et des compétences tout au long de l'itinéraire professionnel.

    http://www.cee-recherche.fr/fr/connaissance_emploi/age_travail_sous_pression_ce52.pdf

  • La prévention durable des TMS : quels freins ? Quels leviers d'action ? Recherche-action 2004-2007

    Auteur(s) : CAROLY (Sandrine) ; COUTAREL (F.) ; ESCRIVA (Evelyne) ; ROQUELAURE (Y.) ; SCHWEITZER (Jea
    Date de publication : janvier 2008
    Origine : EDITIONS DE L'ANACT (Editeur

    Trois laboratoires de recherche universitaires (l'Institut cognitique, département d'ergonomie-Université Victor Segalen Bordeaux 2, le Centre de Recherches Innovation Socio-Technique et Organisations industrielles à Grenoble (CRISTO), le Laboratoire d'Ergonomie et d'Epidémiologie en Santé au Travail (LEEST) ­ CHU Angers) et le réseau Anact ont mené pendant trois ans, une recherche-action pour éclairer, à travers d'interventions en entreprises, les freins à une prévention durable des troubles musculo-squelettiques (TMS) mais aussi, les leviers d'action. Parmi les freins, on relève le manque de temps, la non intégration de l'évaluation des risques TMS dans le document unique, la non prise en compte des connaissances sur le travail, la faible considération de la santé par la hiérarchie, l'hétérogénéité de la participation des salariés dans les projets d'amélioration des conditions de travail, les types d'actions réalisées par les entreprises avec des démarches davantage portées sur l'individu que sur une approche collective, les changements permanents dans les modes de gestion. Les leviers d'action se situent au niveau de la conduite de projet, les modalités de construction des gestes professionnels, les améliorations de l'organisation du travail, des ingrédients favorisant la gouvernance de l'entreprise, les actions en santé publique.

    http://www.actdoc.anact.fr/Record.htm?idlist=73&record=19153413124919716959

  • Travailler plus longtemps, vivre mieux - Le point sur toutes les étapes de la vie

    Auteur(s) : Foundation
    Date de publication : janvier 2008
    Origine : Eurofound

    Les modifications des schémas et des modes de vie impliquent la nécessité de réévaluer les systèmes de répartition du temps et des revenus. Les récents développements se sont concentrés sur l’extension de la flexibilité de la politique de répartition du temps pour promouvoir la redistribution des revenus et/ou du temps tout au long de la vie, afin de répondre aux nouvelles conditions spécifiques régissant la vie individuelle et sociétale. Cette fiche d’information fait partie du dossier documentaire de la Fondation intitulé «Working Longer, Living Better – Europe’s coming of age» («Travailler plus longtemps, vivre mieux: l’Europe prend de l’âge»). Ce dossier examine l’impact du vieillissement de la société et des forces de travail, donne un aperçu des initiatives prises au niveau de l’UE, des pays et des entreprises.

    http://www.eurofound.europa.eu/publications/htmlfiles/ef08244_fr.htm

  • Sens du travail, santé mentale et engagement organisationnel

    Auteur(s) : MORIN (Estelle)
    Date de publication : janvier 2008
    Origine : INSTITUT DE RECHERCHE ROBERT-SAUVE EN SANTE ET EN SECURITE DU TRAVAIL (Editeur )

    Un travail auquel on attribue du sens a des effets bénéfiques sur la santé mentale du travailleur et stimule son engagement envers l'organisation, alors qu'un travail qui n'en a pas favorise l'apparition de symptômes de stress, voire de détresse. C'est un des constats de l'étude publiée par l'Institut de Recherche Robert-Sauvé (IRSST, Québec) sur le sens du travail, la santé mentale et l'engagement organisationnel dont les résultats viennent d'être publiés. À l'aide de questionnaires, l'équipe pilotée par la chercheuse Estelle Morin a réuni des données auprès du personnel de quatre organisations : un hôpital, un centre de santé et de services sociaux, un centre de recherche et une société conseil en ingénierie. Il s'agit de démontrer que des caractéristiques telles l'utilité du travail, la rectitude morale du travail, les occasions d'apprentissage et de développement, l'autonomie, la reconnaissance et la qualité des relations humaines ont un lien avec le sens que les gens attribuent à leur travail. Les chercheurs ont aussi observé qu'un travail qui est vu comme étant utile à la société et qui permet d'apprendre, est un facteur qui influence la perception que les gens en ont. D'autres hypothèses relatives à l'influence positive ou négative du sens attribué au travail sur le bien-être ou la détresse psychologiques se sont aussi avérées.

    http://www.actdoc.anact.fr/Record.htm?idlist=63&record=19154558124919727309

  • Qualité de vie et santé au travail. Guide pour le management et la négociation des conditions de travail dans la société de l'information.

    Auteur(s) : LASFARGUE Y. ; MATHEVON P.
    Date de publication : janvier 2008
    Origine : Travail et activités humaines. Octarès éditions

    Après l'ère du management des stocks, puis celles du management des temps, des projets, de la qualité des produits et enfin du management des technologies de la communication, il est temps de s'intéresser aux conditions de travail qui déterminent la qualité de vie et la santé au travail des salariés. Mettre en oeuvre ce management qui est inséparable de la négociation relative aux conditions de travail, suppose une profonde remise en cause des pratiques actuelles en matière de sécurité et de santé au travail, non seulement des managers eux-mêmes, mais aussi de tous les autres acteurs concernés au titre de leur métier, de leur fonction ou de leur mandat. Même s'il fait une large place aux apports théoriques, cet ouvrage est d'abord un guide pour le management et la négociation des conditions de travail. Les auteurs proposent en synthèse des pistes simples d'action, appuyées sur des outils méthodologiques. Principaux chapitres : repérez les changements qui font évoluer votre travail ; vivre les changements : quelles conséquences pour les hommes et les femmes ? ; analysez vos réactions personnelles face aux évolutions du travail ; évolutions des conditions de travail : dégradation ou amélioration ? ; mesurez le niveau de votre ergostressie ; mesurez votre temps de travail complet pour être lucide sur l'équilibre de vos activités ; effets des évolutions du travail sur la santé ; comment agir pour améliorer vos conditions de travail : de la lucidité individuelle à l'action collective ; performances, pénibilité et plaisir : comment assurer l'équilibre ?

    http://www.inrs.fr/

  • Handicap et prévention : se protéger "comme tout le monde".

    Auteur(s) : BRASSEUR G.
    Date de publication : janvier 2008
    Origine : Travail et sécurité, n° 680, janvier 2008, pages 36 à 37

    L'établissement et service d'aide par le travail (ESAT) de Sainte-Menehould (Marne) a démontré que la gestion du handicap et l'application d'une politique de prévention ambitieuse pouvaient aller de pair. C'est même un atout quand il s'agit de mener les personnes sur le chemin de l'autonomie sociale et professionnelle. Présentation des différents ateliers existant de l'ESAT (espaces verts, atelier peinture, restauration, sous-traitance industrielle, et blanchisserie/pressing).

    http://www.inrs.fr/

  • Troubles musculo-squelettiques : à quand une prévention durable?

    Date de publication : janvier 2008
    Origine : SANTE ET TRAVAIL (Revue n°62)

    Les troubles musculo-squelettiques (TMS) sont en constante augmentation malgré les actions de prévention mises en oeuvre par les entreprises. Ils représentent un grave problème de santé au travail qui touche un nombre de plus en plus important de salariés quel que soit leur âge. Au-delà de la souffrance humaine, ils sont à l'origine de déficits fonctionnels gênant l'activité professionnelle. Ils représentent un coût économique pour la société en raison du nombre croissant de maladies reconnues et du taux d'absentéisme qu'ils génèrent. Sans compter les difficultés de reclassement d'un salarié atteint... L'organisation du travail est clairement mise en cause : dans les nouvelles organisations en flux tendus, juste à temps... le renouvellement permanent de la production entraîne celui des modes opératoires des salariés, ce qui constitue une source de tension et de contraintes propices aux atteintes musculo-squelettiques. Un rapport remis au ministère du Travail réalisé dans le cadre d'une recherche-action, éclaire sur les leviers et les freins d'une prévention durable. Parmi les freins, sont pointés : le manque d'autonomie, les stratégies commerciales low cost à la recherche du profit maximal, le cloisonnement entre les services et les salariés, l'instabilité du management. Prévenir efficacement les TMS requière un modèle productif qui articule qualité du produit ou du service et conditions de travail de qualité. Cela passe également par une adaptation de la gouvernance des sociétés, avec des acteurs formés, capables de porter la prévention aussi bien dans la gestion des ressources humaines que dans le dialogue social et dans la conduite de projet d'investissement. On ne saurait insister sur le rôle essentiel joué par les CHSCT, de par leur connaissance des situations de travail, de leur capacité à détecter les TMS et à lancer des alertes en direction de l'encadrement comme des acteurs de la prévention

    http://www.actdoc.anact.fr/Record.htm?idlist=138&record=19154857124919720399

  • Rapport d'information déposé en application de l'article 145 du règlement par la commission des affaires culturelles, familiales et sociales en conclusion des travaux de la mission sur la pénibilité au travail

    Auteur(s) : : POISSON (Jean-Frédéric)
    Date de publication : janvier 2008
    Origine : ASSEMBLEE NATIONALE (Editeur

    Jean-Frédéric Poisson député et président-rapporteur de la mission d'information sur la pénibilité au travail a présenté le 27 mai, les conclusions de ses travaux devant la commission des Affaires sociales de l'Assemblée nationale. Il préconise d'organiser une campagne nationale de prévention, ciblée et phasée, de renforcer la formation de l'encadrement aux questions liées à la pénibilité et aux conditions de travail ; de renforcer la présence et le rôle des comités d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT) ; d'inciter à l'aménagement et l'adaptation des postes de travail en vue de réduire la pénibilité au travail par une défiscalisation totale des dépenses engagées à cette fin ; de réformer le document unique ; de généraliser la gestion prévisionnelle des carrières afin d'accompagner l'évolution des parcours professionnels ; de renforcer le rôle des intervenants locaux et des réseaux d'expertise extérieurs aux entreprises en doublant le budget annuel du réseau Anact-Aract ; de réformer la médecine du travail. La mission propose d'étudier, par ailleurs, la mise en place du "curriculum laboris", instrument qui permettrait d'identifier, de décrire, de qualifier et de suivre tous les postes de travail occupés par le salarié au cours de son parcours professionnel. Enfin, elle suggère un dispositif de compensation et de réparation de la pénibilité avec l'ouverture de plein droit à une réduction du temps de travail ou un départ anticipé à la retraite.

    http://www.actdoc.anact.fr/Record.htm?idlist=30&record=19155886124919730689

  • Les conditions de travail sont-elles les seules raisons des absences au travail ?

    Auteur(s) : WOLFF (François-Charles)
    Date de publication : janvier 2007
    Origine : ECONOMIE ET STATISTIQUE (Revue n°408-409)

    http://www.actdoc.anact.fr/Record.htm?idlist=11&record=19156962124919741449

  • Âges, santé, travail : quelles évolutions ? Quinze ans de travaux du Créapt

    Auteur(s) : CRÉAPT-EPHE
    Date de publication : janvier 2007
    Origine : centre d'études de l'emploi

    Actes du séminaire Vieillissement et Travail (année 2006

    http://www.cee-recherche.fr/fr/rapports/actes_vieillissement_travail_2006_37.pdf

  • Santé mentale et activité professionnelle dans l'enquête décennale santé 2003 de l'Insee

    Auteur(s) : COHIDON (C.) ; SANTIN (Gaëlle
    Date de publication : janvier 2007
    Origine : INSTITUT DE VEILLE SANITAIRE (Editeur

    L'objectif de ce rapport est d'étudier les associations entre la déclaration de symptômes dépressifs et certaines conditions de travail au sein des catégories sociales. Il s'appuie sur les données de l'enquête décennale santé 2002- 2003 menée en France en 2003 par l'Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE) et mises à la disposition de l'Institut de veille sanitaire (INVS). La population étudiée correspond aux actifs occupant un emploi au moment de l'enquête (6 082 hommes, 5 521 femmes). La dépressivité, mesurée par le Ces-d (Center for Epidemiological Studies-Depression Scale), la description de l'emploi exercé ainsi que des conditions de travail relatives aux horaires atypiques, aux contraintes psychosociales et à la pression temporelle, ont été les principales données étudiées. La prévalence de dépressivité parmi les actifs au travail est d'environ 11 %. Elle varie selon les catégories sociales et les secteurs d'activité. Les associations entre les contraintes de travail et la dépressivité varient selon la catégorie sociale et le sexe. Seule "l'aide insuffisante pour mener à bien sa tache" est systématiquement associée à la dépressivité quelle que soit la catégorie sociale. En dépit de certaines limites, l'exploitation de cette enquête dans le domaine de la santé mentale au travail constitue un apport des connaissances jusqu'à présent peu disponibles en France, et pourrait permettre, dans un objectif de surveillance épidémiologique, d'orienter des interventions prioritaires et d'en évaluer les effets

    http://www.invs.sante.fr/publications/2007/sante_mentale/rapport_sante_mentale.pdf

  • Screen test. (Les risques liés aux ordinateurs).

    Auteur(s) : COOK N.
    Date de publication : janvier 2007
    Origine : Occupational Safety and Health Journal, Royaume-Uni, volume 37, n° 2, février 2007, pages 16 à 20

    Cet article rapporte les actions des préventeurs d'une entreprise de plus de 18 000 salariés dans le cadre de la prévention des risques liés au travail sur ordinateur : stress, troubles musculosquelettiques des membres supérieurs, fatigue visuelle, vision trouble et migraines sont les symptômes les plus fréquemment rencontrés. Leur rôle consiste donc à proposer des mesures pouvant réduire ces risques. Ils ont par exemple introduit des espaces de travail communs réservés au travail sur ordinateur. Les salariés sont alors invités à ajuster le poste de travail à leur taille ce qui les sensibilise au confort et aux bonnes pratiques. Un deuxième exemple relate un autre changement des méthodes de travail par la fourniture d'ordinateurs portables à des enseignants afin de préparer leurs cours et de communiquer avec l'établissement. Pour chacun de ces deux cas, l'auteur fait le bilan de ces aménagements en relevant aussi les défauts signalés par les utilisateurs.

    http://www.inrs.fr/

  • Management de la santé et de la sécurité au travail. Un champ de recherche à défricher.

    Auteur(s) : ABORD DE CHATILLON E. (Ed) ; BACHELARD O. (Ed).
    Date de publication : janvier 2007
    Origine : Conception et dynamique des organisations. L'Harmattan

    Face à l'intensification du travail, le salarié devient, à son corps défendant, la dernière possibilité de flexibilité. L'homme au travail va ainsi subir la pression d'une hiérarchie soumise au résultat immédiat, cette dernière étant elle-même dépendante d'une organisation de la production de plus en plus intense quels que soient les secteurs concernés. De nombreuses questions se posent sur la meilleure manière de gérer les organisations et leurs conditions de travail pour éviter que ne se produisent des accidents et que ne se développent des troubles médicaux et/ou psychologiques. L'intérêt porté aux questions de santé et de sécurité au travail amène à examiner de plus près non seulement les origines de ces pathologies, mais également l'ensemble des dispositifs de management, de prévention et de traitement qui vient s'y greffer. Dans cet ouvrage, les coordinateurs proposent de faire le point sur ces thématiques et notamment d'interroger le rôle de la GRH en matière de santé - sécurité au travail. Principaux thèmes développés : la position des acteurs ; les fondements de l'action de prévention ; organisation et management de la santé - sécurité au travail ; dispositifs de prévention ; maladies et risques professionnels ; conditions de travail et santé ; violences au travail ; émotions et souffrances au travail ; mesurer et évaluer le stress professionnel ; traiter le stress professionnel ; acteurs et politiques de santé - sécurité au travail ; santé - sécurité au travail : le cas du secteur hospitalier.

    http://www.inrs.fr/

  • Guide pour la mise en place par étapes d'un système de management de la santé et de la sécurité au travail : 123 Sécurité

    Date de publication : janvier 2007
    Origine : ASSEMBLEE DES CHAMBRES FRANCAISES DE COMMERCE ET D'INDUSTRIE (Editeur

    La mise en place d'un système de gestion de la santé, sécurité au travail peut contribuer de manière efficace à réduire et anticiper les risques et accroître la productivité de l'organisme. Il permet également au chef d'entreprise de remplir ses obligations d'organisation de la santé et de la sécurité au travail. La démarche proposée dans ce guide vise à mettre en place de manière progressive, par étapes, une démarche de gestion de la santé et sécurité au travail en trois niveaux. Elle s'adresse à tous les organismes, mais en particulier aux PME/PMI. Les niveaux 1+2+3 correspondent à la mise en place d'un système de management conforme aux principes directeurs de l'ILO-OSH 2001 dans son ensemble, sans préjudice des référentiels existants (OHSAS 18001, MASE, DT 78,...). Chaque niveau se décompose en plusieurs étapes successives pour faciliter la mise en place du niveau correspondant. Chaque étape présente les objectifs à atteindre, une méthode indicative pour répondre à ces objectifs, les résultats à atteindre et des recommandations pédagogiques. Certaines étapes peuvent être mentionnées à plusieurs niveaux pour décrire la progressivité de la mise en place. Chaque niveau repose sur la méthodologie Planifier, Mettre en oeuvre, Contrôler, Agir (PDCA) selon le principe d'amélioration continue validée par la revue de direction

    http://www.actdoc.anact.fr/Record.htm?idlist=50&record=19152517124919707999

  • Les arrêts de travail des seniors en emploi

    Auteur(s) : MISSEGUE (Nathalie)
    Date de publication : janvier 2007
    Origine : DIRECTION DE LA RECHERCHE, DES ETUDES, DE L'EVALUATION ET DES STATISTIQUES (Editeur )

    Les seniors en emploi se distinguent-ils de leurs cadets en termes de recours aux arrêts de travail ? Les seniors ne déclarent pas plus d'arrêts que leurs cadets, alors qu'ils se jugent en plus mauvaise santé. Toutefois, lorsqu'ils interrompent leur travail pour des raisons de santé, il s'arrêtent pour des durées plus longues. Il ressort également qu'à âge équivalent, tous les actifs ne se ressemblent pas : par exemple, les indépendants s'arrêtent moins et moins longtemps que les ouvriers. Ces derniers sont d'ailleurs les plus touchés par les arrêts de travail allant de pair avec une pénibilité liée à leur profession. On note aussi que les salariés du commerce s'arrêtent moins souvent mais plus longtemps que ceux de l'industrie. Cette étude s'appuie sur l'enquête décennale Santé 2002-2003 réalisée pour l'INSEE.

    http://www.sante.gouv.fr/IMG/pdf/article200702.pdf

  • Noise at work 2007 : premier forum européen sur les solutions efficaces pour maîtriser les risques du bruit au travail

    Auteur(s) : LEMAIRE (Philippe) ; PICOT (G.) ; GAULUPEAU (Aline) ;
    Date de publication : janvier 2007
    Origine : ECHO BRUIT (Revue 118-19)

    Cet article présente cinq communications diffusées lors du Forum sur les solutions efficaces pour réduire les risques liés au bruit au travail organisé en juillet 2007 : - Mise en oeuvre de la directive 2003/10 sur le bruit au travail : la lutte contre le bruit au travail est une priorité aui a été renforcée par par la directive 2003/10/ce. Au niveau de la région Nord-Pas-de-Calais, elle a été définie comme l'une des priorités d'action à travers le plan régional santé travail. - Analyse du travail et pistes de réduction du bruit au travail : l'analyse du travail préconisée par la norme française de mesurage des niveaux d'exposition au bruit des travailleurs permet aussi d'avancer dans la recherche de pistes de réduction du bruit au travail. - Les différents outils de mesure et de calcul pour la réduction du bruit au poste de tavail : démarches méthodologiques intégrant l'utilisation d'outils de mesure et d'outils de modélisation acoustiques. - Etude de deux cas spécifiques en établissements de soin : la réglementation relative à la limitation du bruit dans les établissements de santé prévoit les performances acoustiques des locaux courants, supposés accueillir des activités bien définies et pour lesquels l'observance des dispositions réglementaires est à priori satisfaisante. Mais on trouve, en milieu hospitalier ou dans les établissements de soin, des cas particuliers qui, soit, n'entrent pas dans la nomenclature des locaux du champ réglementaire; soit, méritent un traitement adapté. - Etre ou ne pas être un centre d'appels : exemple de l'organisation de centres d'appels dans trois pme. Dans la mise en oeuvre d'un centre d'appels, il n'y a bien souvent pas d'organisation spécifique mise en oeuvre, ni de réflexions particulières quant aux exigences qu'il y a à créer ce type d'espaces de travail. En abordant la question des conditions de travail à partir bien souvent des plaintes des opérateurs présents dans ces structures, cette communication cherche à objectiver la pénibilité de ces situations, à la faire partager à l'entreprise et à chercher des améliorations

    http://www.actdoc.anact.fr/Record.htm?idlist=50&record=19152325124919705079

  • Women and violence at work

    Auteur(s) : HURLEY (John) ; RISO (Sa
    Date de publication : janvier 2007
    Origine : FONDATION EUROPEENNE POUR L'AMELIORATION DES CONDITIONS DE TRAVAIL (Editeur

    La Fondation européenne a publié un rapport de fond sur les femmes et la violence au travail. Ce rapport est basé sur un état de la question et sur les résultats du EWCS (European Working Conditions Survey). Le rapport établit une distinction évidente entre le harcèlement (violence morale, psychologique) et le comportement sexuel indésirable (violence physique, sexuelle) au travail. Selon ce rapport, il apparaît que les femmes sont plus souvent victimes des deux formes de violence que les hommes. Dans les secteurs où beaucoup de femmes sont actives, tels que l'enseignement ou les soins de santé, le harcèlement se produit plus souvent. Aussi dans les grandes entreprises et en cas de contact direct avec des personnes externes (clients, étudiants, patients, ...), le risque de violence morale et sexuelle est plus important

    http://www.actdoc.anact.fr/Record.htm?idlist=233&record=19152135124919703179

  • Améliorer la qualité et la productivité au travail : stratégie communautaire 2007-2012 pour la santé et la sécurité au travail

    Date de publication : janvier 2007
    Origine : COMMISSION DES COMMUNAUTES EUROPEENNES (Editeur

    On a enregistré, pendant la période couverte par la stratégie communautaire 2002-2006, une baisse importante du nombre d'accidents du travail. La nouvelle stratégie pour 2007-2012 propose d'être plus ambitieux encore et de réduire de 25 % le taux d'incidence global des accidents du travail d'ici à 2012 dans l'UE-27, en améliorant la protection de la santé et de la sécurité des travailleurs, contribuant ainsi de manière essentielle au succès de la stratégie pour la croissance et ssance et l'emploi.

    http://www.actdoc.anact.fr/Record.htm?idlist=3&record=19151799124919799719

  • Santé au travail : un enjeu social

    Auteur(s) : MELIN (Marie-Hélène) ; Directeur PERETTI (Jean-Marie)
    Date de publication : janvier 2006
    Origine : PERSONNEL ANDCP (Revue n° 273)

    Depuis le début des années 2000, les DRH manifestent un nouvel intérêt pour le management de la santé. Il existe plusieurs raisons à cela : sur le plan quantitatif, les chiffres des maladies professionnelles et de l'absentéisme deviennent inquiétants. Au niveau qualitatif, les enquêtes font ressortir un niveau croissant du stress, des troubles médicaux et psychologiques, des situations d'épuisement professionnel, des attentes insatisfaites en matière de qualité de vie au travail. L'allongement de la vie professionnelle et le vieillissement de la population salariée accroissent les risques provoqués par un management de la santé insuffisant et par les addictions qui affectent l'ensemble des catégories professionnelles. La sensibilisation des entreprises est rendue, encore plus nécessaire par la législation qui renforce leur responsabilité. Les contributions rassemblées dans ce dossier traduisent l'importance des enjeux et des initiatives des entreprises. La santé au travail devient un domaine d'action pour les DRH et leurs partenaires sensibles à l'importance croissante des enjeux humains et managériaux.

    http://www.actdoc.anact.fr/Record.htm?idlist=11&record=19144039124919622119

  • Contraintes posturales et articulaires au travail

    Auteur(s) : ARNAUDO (Bernard) ; HAMON-CHOLET (Sylvie) ; WALTERS (David
    Date de publication : janvier 2006
    Origine : PREMIERES SYNTHESES (Revue

    Selon l'enquête SUMER 2003, 32 % des salariés sont exposés à des situations fatigantes : fréquents déplacements à pied, position debout prolongée, gestes répétitifs à cadence élevée. 21 % des salariés sont confrontés à des postures pénibles : à genoux, les bras en l'air ou dans une position en torsion. Enfin, 10 % des salariés sont exposés à des contraintes cervicales. Au total, près d'un salarié sur deux subit au moins une contrainte posturale ou articulaire qui peut être jugée lourde. Les postures pénibles concernent en premier lieu les ouvriers de type artisanal, mais également les femmes employées dans le commerce ou les services aux particuliers. Les postures fatigantes touchent plutôt les ouvriers de type industriel. Les ouvrières de l'industrie sont particulièrement concernées par les gestes répétitifs, les femmes employées et cadres par les contraintes cervicales

    http://www.actdoc.anact.fr/Record.htm?idlist=36&record=19130101124919583839

  • Le travail isolé : prévention des risques. Synthèse et application

    Auteur(s) : GUILLEMY (Nathalie) ; LIEVIN (Daniel) ; PAGLIERO (Daniel
    Date de publication : janvier 2006
    Origine : INSTITUT NATIONAL DE RECHERCHE ET DE SECURITE (Editeur

    La question du travail isolé n'est pas nouvelle et elle a fait l'objet d'études à l'INRS depuis les années quatre-vingt. En 2003, les évolutions constatées dans l'environnement de la prévention mais aussi, les demandes des entreprises l'ont conduit à réaliser un nouveau bilan du travail isolé. C'est à partir des résultats de ce bilan que l'INRS publie cette synthèse, dont l'objectif est d'aider les entreprises dans leur démarche de prévention. Organisé en quatre parties, ce document expose la problématique du travail isolé, son ampleur et les risques qui y sont associés. Il présente également la prise en compte de l'isolement dans la démarche de prévention de l'entreprise et propose une démarche pour le choix de dispositifs d'alarme (DATI) lorsque de tels équipements sont mis en oeuvre

    http://www.inrs.fr/inrs-pub/inrs01.nsf/IntranetObject-accesParIntranetID/OM:Document:C96F31C677B4C74A4125726E003945AA/$FILE/ed985.pdf

  • Compressed working weeks

    Auteur(s) : TUCKER (Philip)
    Date de publication : janvier 2006
    Origine : BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL (Editeur )

    Cette étude fournit un examen complet de l'état actuel de la connaissance concernant les effets des horaires comprimés : productivité et rendement au travail, absentéisme et chiffre d'affaires, périodes de sommeil et de récupération, les risques potentiels...

    http://www.actdoc.anact.fr/Record.htm?idlist=11&record=19141534124919697169

  • Management de la santé et de la sécurité au travail : un champ de recherche à défricher

    Auteur(s) : Directeur ABORD DE CHATILLON (Emmanuel) ; Directeur BACHELARD (Olivier)
    Date de publication : janvier 2006
    Origine : EDITIONS L'HARMATTAN (Editeur )

    Cet ouvrage, issu des travaux des premières journées de recherche sur le management de la santé et de la sécurité au travail d'Annecy, se propose de répondre à la question que se posent aujourd'hui tous les acteurs de la prévention : comment manager les organisations de manière à améliorer la santé et la sécurité au travail ? Face à ces interrogations, des chercheurs de différentes disciplines, des praticiens et des experts nous font part de leurs réflexions et de leurs échanges sur ce vaste champ de recherche qu'est le management de la santé et de la sécurité au travail (SST) et les thèmes qui lui sont associés : l'action de prévention et les dispositifs de prévention, l'organisation de la SST, les maladies professionnelles , les conditions de travail, les violences au travail, les émotions et les souffrances au travail, l'évaluation du stress professionnel et les stratégies d'intervention, les acteurs et les politiques de SST, la SST dans le secteur hospitalier.

    http://www.actdoc.anact.fr/Record.htm?idlist=33&record=19130369124919585419

  • Conditions de travail et santé au travail des salariés de l’Union européenne : des situations contrastées selon les formes d’organisation

    Auteur(s) : Antoine Valeyre
    Date de publication : janvier 2006
    Origine : centre d'études de l'emploi

    Ce document de travail étudie les conditions de travail et la santé au travail des salariés de l’Union européenne selon les formes d’organisation du travail. Il s’appuie sur les données de la troisième enquête européenne sur les conditions de travail réalisée en 2000. La première partie présente le cadre méthodologique de la recherche et la typologie des formes d’organisation du travail – formes apprenantes, en lean production, tayloriennes et de structure simple - sur laquelle elle se fonde. Les trois parties suivantes comparent les conditions de travail des salariés européens selon ces quatre formes d’organisation du travail. Elles examinent successivement les conditions physiques de travail, les conditions horaires de travail et les pressions temporelles dans le travail. La cinquième partie porte sur les risques et les atteintes à la santé au travail qu’elle confronte selon les formes d’organisation du travail. Le résultat majeur de cette recherche comparative est de montrer que les conditions de travail et la santé au travail sont très différentes dans les nouvelles formes d’organisation du travail, les formes apprenantes et en lean production. Elles sont bien meilleures dans les organisations apprenantes que dans les organisations en lean production ou tayloriennes et souvent moins bonnes dans les organisations en lean production que dans les organisations tayloriennes. Ce résultat conduit à s’interroger en conclusion sur les fortes différences que l’on observe entre les nouvelles formes d’organisation du travail.

    http://www.cee-recherche.fr/fr/doctrav/travail_conditions_sante_europe_73.pdf

  • Charge, absentéisme, usure au travail

    Auteur(s) : BERTIN (Jérome) ; FRAIX (Nicolas) ; PALJKOVIC (Gérard) ; SASSO (Marie-Odile)
    Date de publication : janvier 2005
    Origine : ARACT ARAVIS (Editeur )

    Stress, violence, harcèlement, mal-être, usure,... autant de mots et de références qui connaissent une large diffusion dans le monde du travail, autant de termes qui permettent d'exprimer le malaise des salariés. Au-delà de ce que chacun y met, ces expressions peuvent être des indices d'une entrée en crise du système du travail.

    http://www.aravis.aract.fr/upload/File/Fiche17.pdf

  • Santé et emploi : les DRH, observateurs et acteurs essentiels

    Date de publication : janvier 2005
    Origine : PERFORMANCES (Revue n°23)

    Le chef d'établissement est tenu de mettre en place un mode d'organisation de l'entreprise propre à garantir au mieux la sécurité et la santé des différents salariés de l'entreprise. Dans ce cadre, la fonction ressources humaines joue un rôle essentiel, car elle va devoir gérer les problèmes liés à la santé des salariés : embauche, handicap, invalidité, reclassement professionnel, stress professionnel, handicap... Les deux premiers articles du dossier permettent de prendre la mesure des enjeux ; l'un porte sur les conditions de travail et leurs conséquences sur la santé des européens, l'autre expose une approche historique de la santé-sécurité au travail et des ressources humaines. Les trois articles qui suivent, envisagent des domaines particuliers. Le premier étudie les convergences entre santé au travail et préoccupations managériales de l'entreprise. Le second s'intéresse à l'évolution de la perception de l'absentéisme dans l'entreprise par les managers. Le troisième et dernier article propose une approche économique des troubles musculo-squelettiques.

    http://www.actdoc.anact.fr/Record.htm?idlist=11&record=19137091124919552739

  • Introductory report : decent work - safe work

    Auteur(s) : TAKALA (Jukka)
    Date de publication : janvier 2005
    Origine : INTERNATIONAL INSTITUTE FOR LABOUR STUDIES (Editeur )

    A travers le monde, il est de plus en plus admis que les accidents du travail et les madadies professionnelles ont des conséquences non seulement sur la vie privée des salariés, sur leurs familles et leurs avenirs professionnels , mais aussi sur la productivité et la rentabilité des entreprises et finalement sur le bien-être de la société. En bref, maintenir des normes acceptables concernant la sécurité et la santé au travail est un élément essentiel du développement de la société, de la réduction de la pauvreté et de la notion d'"emploi convenable". Ce rapport fournit un aperçu des plus récentes estimations sur les accidents liés au travail et les maladies professionnelles dans le monde entier et ce que font l'OIT et ses Etats membres pour améliorer les conditions de travail des millions de salariés se trouvant dans des situations à risque.

    http://www.actdoc.anact.fr/Record.htm?idlist=11&record=19153026124919712089

  • Ancienneté des salariés et pérennité des entreprises : quelle relation ?

    Auteur(s) : Richard Duhautois
    Date de publication : janvier 2005
    Origine : centre d'études de l'emploi

    Il existe de nombreuses raisons à la mobilité des salariés. Parmi ces raisons, l’une d’entre elles occupe une place particulière : les disparitions d’entreprises. Aux États-Unis, environ un quart des pertes d’emplois est lié à la fermeture d’établissements (Farber, 2003). Puisqu’il existe de nombreuses disparitions parmi les plus petites entreprises, cela explique pourquoi, à un instant donné, l’ancienneté moyenne des salariés dans les petites est plus faible que dans les grandes entreprises. En utilisant, pour la France, un fichier apparié employeurs/salariés entre 1985 et 1999, on montre que, si on contrôle la pérennité des entreprises, toutes choses égales par ailleurs, les salariés des entreprises de moins de vingt personnes restent plus longtemps dans leur entreprise que les salariés des plus grandes entreprises. En cohérence avec ce résultat, en prenant en compte l’ancienneté au moment de la mobilité, on observe que les salariés des entreprises de moins de vingt personnes ont moins de chance de connaître une mobilité si on contrôle la démographie des entreprises.

    http://www.cee-recherche.fr/fr/doctrav/anciennete_salaries_perennite_entreprises.pdf

  • L’impact des conditions de travail sur la santé : Une expérience méthodologique

    Auteur(s) : Thomas Coutrot et Loup Wolff
    Date de publication : janvier 2005
    Origine : centre d'études de l'emploi

    Ce travail s’est donné pour objectif de comparer systématiquement les performances des modèles dits « naïfs », expliquant la prévalence des troubles de santé par les seules caractéristiques actuelles du travail des salariés, avec des modèles plus rigoureux au plan théorique, incluant un historique de certaines expositions professionnelles passées (modèles statiques rétrospectifs), ou étudiant l’incidence (au lieu de la prévalence) des troubles en fonctionsoit de l’exposition à la date initiale(modèles longitudinaux standards), soit de l’évolution de l’exposition (modèles dynamiques). [ ... ]

    http://www.cee-recherche.fr/fr/rapports/conditions_travail_sante.pdf

  • La prévention : une stratégie globale. Promouvoir la sécurité et la santé au travail. Rapport du BIT en vue de la Journée mondiale sur la sécurité et la santé au travail

    Auteur(s) : Bureau interantional du travail
    Date de publication : janvier 2005
    Origine : BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL (Editeur

    Ce rapport examine la question de la sécurité et de la santé au travail axée sur la prévention, et plus particulièrement dans deux cas : la prévention des accidents du travail et des maladies professionnelles dans le secteur de la construction (BTP) et la prévention des accidents et des atteintes à la santé chez les jeunes travailleurs et chez les travailleurs âgés. Ce rapport sert également de présentation de ces deux thèmes et de préparation pour la Journée mondiale sur la sécurité et lsa santé au travail du 28 avril 2005. (document papier en français, document numérique en anglais)

    http://www.ilo.org/public/english/protection/safework/worldday/products05/report05_en.pdf

  • Statistiques nationales des accidents du travail, des accidents de trajet et des maladies professionnelles, année 2003

    Auteur(s) : DIRECTION DES RISQUES PROFESSIONNELS
    Date de publication : janvier 2005
    Origine : CAISSE NATIONALE DE L'ASSURANCE MALADIE DES TRAVAILLEURS SALARIES (Editeur

    Les statistiques de la CNAMTS font état non pas d'une augmentation du nombre des accidents du travail, mais d'une augmentation des différents indicateurs de risques. Le taux de fréquence des accidents avec arrêt de travail passe de 25,4 % à 26,9 % en 2003. Ce taux est en hausse dans les services, le travail temporaire, les transports. Les accidents du travail suivis d'une incapacité permanente de travail augmentent de 3,75 % en 2003 par rapport à 2002. Le nombre de maladies professionnelles donnant à réparation financière pour la première fois croissent. Les affections périarticulaires sont en tête des maladies professionnelles

    http://www.actdoc.anact.fr/Record.htm?idlist=46&record=19119007124919372899

  • La santé émotionnelle au travail.

    Auteur(s) : AMHERDT C.H.
    Date de publication : janvier 2005
    Origine : Santé/Bien-être/Développement personnel. Les Editions Demos

    Comment développer la performance de l'organisation en même temps que la qualité de vie de ceux qui la composent ? Le concept de santé émotionnelle dont il est question dans cet ouvrage s'appuie sur deux corpus théoriques développés ces vingt dernières années : la santé psychologique et l'intelligence émotionnelle. Ce nouveau concept pourrait représenter une dimension aussi essentielle au bien-être et à la qualité de vie des personnes que celui de santé mentale qui a fait son apparition avec la création de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) au milieu du siècle dernier. La santé mentale apparaissait alors comme le complément indispensable à la santé physique. L'ouvrage met en évidence successivement l'importance que revêt le fait de comprendre les émotions, puis le concept central de santé émotionnelle au travers de son évaluation et enfin, un certain nombre d'applications de la santé émotionnelle dans les organisations.

    http://www.inrs.fr/

  • Départs en retraite et « travaux pénibles ». L’usage des connaissances scientifiques sur le travail et ses risques à long terme pour la santé

    Auteur(s) : Gérard Lasfargues en collaboration avec Anne-Françoise Molinié et Serge Volkoff
    Date de publication : janvier 2005
    Origine : centre d'études de l'emploi

    L’état de santé des travailleurs en fin de vie active et au-delà dépend des conditions de travail et plus globalement de la pénibilité de leur travail passé. Certains « travaux pénibles » sont susceptibles d’entraîner des effets à long terme, irréversibles, sur la santé. Il en est ainsi des travaux en horaires alternants ou de nuit, des travaux à la chaîne ou sous cadence imposée, des travaux de manutention et plus globalement de la pénibilité physique du travail, ou encore des expositions professionnelles à des agents toxiques cancérogènes. Les conséquences sur la santé sont mesurables, suivant les situations, en termes d’augmentation de morbi-mortalité pour les principales causes de décès comme les maladies cardiovasculaires ou les cancers, de diminution de l’espérance de vie sans incapacité, de vieillissement prématuré ou d’altération de la qualité de vie au grand âge. Cette pénibilité objective devrait être considérée de façon prioritaire dans l’hypothèse de compensations à apporter à des sujets en fin de vie active et soumis durablement à ce type de « travaux pénibles » dans leur parcours professionnel.

    http://www.cee-recherche.fr/fr/rapports/retraite_travail_sante_lasfargues.pdf?utm_source=pdf&utm_medium=retraite_travail_sante_lasfargues

  • Les évolutions de la santé au cours de la vie professionnelle : altération, préservation, construction

    Auteur(s) : CRÉAPT-EPHE
    Date de publication : janvier 2005
    Origine : centre d'études de l'emploi

    L'organisme humain se transforme au fil des années. On ne peut pas raisonner comme si l'état fonctionnel de chaque individu était immuable tout au long de sa vie de travail. Mais ces évolutions, souvent modérées aux âges d'activité professionnelle, très variables selon les personnes et selon les fonctions étudiées, peuvent être renforcées, atténuées, ou encore révélées, par le travail lui-même. Le contexte social (réformes des modalités de cessation d’activité, négociations sur la pénibilité du travail, difficultés nouvelles en matière de recrutement pour des raisons de conditions de travail…) renforce l’intérêt d’un examen attentif de ces relations de long terme entre travail et santé. On remarque notamment que les régulations « protectrices » qui permettaient une relative mise à l’abri des plus âgés vis-à-vis de certaines contraintes du travail sont de plus en plus difficiles à mettre en œuvre, en raison de l’accroissement du nombre de ces salariés et des évolutions des conditions et de l’organisation du travail (Guignon, Pailhé, 2004). Par ailleurs, comme le rappelle Molinié (2006, à paraître), « les médecins du travail ont de plus en plus de mal à trouver des solutions pour permettre à des salariés âgés de rester en emploi quand ils souffrent de problèmes de santé, grâce à des aménagements de postes, des réaffectations, etc., alors même que les possibilités de sortir prématurément de l’activité dans des conditions financièrement acceptables se restreignent fortement ». Ce contexte incite à réactiver le débat scientifique sur les relations entre la santé et le déroulement de la vie professionnelle. Plusieurs disciplines peuvent être mobilisées dans ce sens. La session 2004 du séminaire annuel « Vieillissement et Travail » organisé par l’École pratique des hautes études et le CREAPT visait à confronter certaines de ces approches, mises en œuvre dans des situations spécifiques (telle entreprise ou tel secteur) ou dans l’ensemble de la population au travail, en privilégiant les analyses « diachroniques » [ … ]

    http://www.cee-recherche.fr/fr/rapports/actes_vieillissement_travail_2004.pdf

  • Bruit au travail : une nuisance qui touche 3 salariés sur 10

    Auteur(s) : Dr. Isabelle MAGAUD-CAMUS (DRTEFP Rhône-Alpes), Marie-Christine FLOURY, Lydie VINCK, Dominique WALTISPERGER (Dares).
    Date de publication : janvier 2005
    Origine : Publication DARES

    Près de 7 % des salariés sont exposés à des bruits nocifs et 25 % à d’autres bruits, certes moins dangereux pour la santé, mais pas sans conséquences.

    http://www.travail-solidarite.gouv.fr/IMG/pdf/Publications_PIPS_25.3_juin_2003_bruit_au_travail.pdf

  • L'absentéisme : comprendre et agir. Une démarche de diagnostic et des outils d'intervention

    Auteur(s) : GALLOIS (Pascal)
    Date de publication : janvier 2005
    Origine : EDITIONS LIAISONS (Editeur )

    Depuis 1997, l'absentéisme en France augmente de 7% à 8% environ par an. Les indemnités journalières sont en hausse de 46% de 1997 à 2002. Au-delà de l'absence, se dissimule un véritable malaise social. Cet ouvrage propose une démarche de diagnostic de la situation d'absentéisme et des outils d'intervention afin d'aider les entreprises à agir. Le premier chapitre offre un état des lieux. Les trois chapitres suivants livrent un ensemble d'outils pour mesurer et analyser l'absentéisme. Le dernier chapitre fait l'inventaire des moyens d'action pour réduire ou juguler l'absentéisme.

    http://www.actdoc.anact.fr/Record.htm?idlist=11&record=19138072124919562549

  • Les capacités des travailleurs vieillissants. Une approche conditionnelle

    Auteur(s) : Catherine Delgoulet, Michel Millanvoye et Serge Volkoff
    Date de publication : janvier 2005
    Origine : Futuribles n° 314

    La France, comme l'Europe, vieillit. Le constat n'est pas d'aujourd'hui mais la situation va s'aggravant, la génération du baby-boom rejoignant de plus en plus massivement la population des retraités (dont l'espérance de vie s'accroît) alors même que les générations suivantes, moins nombreuses, ne garantissent plus, par leurs cotisations, l'équilibre du système de pensions. Une des solutions avancées, pour endiguer ce déséquilibre financier, consisterait à retarder l'âge de la retraite ou, mieux encore, à allonger la durée d'activité sur la durée de vie. Or, dans les faits, la tendance, tout au moins en France, est plutôt à une sortie précoce (avant même l'âge légal de départ) du marché du travail. Une des raisons de ces sorties précoces tient au fait que le système de travail ne favorise pas l'emploi des travailleurs vieillissants, jugés parfois moins performants que les jeunes actifs. Catherine Delgoulet, Michel Millanvoye et Serge Volkoff étudient depuis longtemps les capacités des travailleurs vieillissants. S'appuyant sur les multiples recherches menées, en France et à l'étranger, sur diverses catégories de travailleurs, ils présentent ici la réalité de leur situation, remettant en cause un certain nombre d'idées reçues. En particulier, ils soulignent que la performance au travail « ne décline pas forcément avec l'âge et que c'est plutôt la méthode de mesure de cette performance qu'il faut questionner ». Ils montrent aussi que cette performance est largement fonction des conditions de travail, certaines situations engendrant davantage de difficultés pour les travailleurs âgés que d'autres (horaires décalés, postures pénibles...). Ils soulignent surtout que les travailleurs âgés savent tenir compte des faiblesses qui les atteignent au fil des ans et les compensent dans la pratique, soit individuellement, soit dans l'organisation collective de leur travail. Une adaptation qui prouve bien que la prolongation de la vie professionnelle est possible, sous réserve, bien entendu, de faire un réel effort en matière d'organisation du travail, de formation tout au long de la vie et d'optimisation de l'expérience professionnelle des salariés vieillissants.

    http://www.futuribles-revue.com/index.php?option=article&access=dkey&dkey=10.1051/futur:20053145&lang=fr

  • Dossier âge et emploi. Synthèse des principales données sur l'emploi des seniors

    Auteur(s) : LERAIS (Frédéric) ; MARIONI (Pierre)
    Date de publication : janvier 2004
    Origine : DIRECTION DE L'ANIMATION DE LA RECHERCHE DES ETUDES ET DES STATISTIQUES (Editeur )

    Ce document fournit, sous forme de fiches synthétiques, les principales informations statistiques actuellement disponibles sur l'activité des 50 ans et plus, ainsi que des références de publications. On trouve des données générales de cadrage sur l'emploi et le chômage des salariés âgés, de prospective, sur les pratiques actuelles des entreprises en direction des seniors, sur leur santé et leurs conditions de travail, sur les dispositifs publics mis en oeuvre pour aider leur embauche et leur cessation anticipée d'activité, sur l'âge de départ à la retraite dans différents pays et des pratiques étrangères de relèvement des taux d'emploi. Disponible par téléchargement à l'adresse suivante :

    http://www.travail.gouv.fr/etudes/pdf/DE82.pdf

     

    http://www.actdoc.anact.fr/Record.htm?idlist=34&record=19116478124919346509

  • Pathologies psychiques liées au travail : quelle reconnaissance en Europe ?

    Auteur(s) : EUROGIP
    Date de publication : janvier 2004
    Origine : EUROGIP (Editeur

    Les treize pays interrogés dans le cadre de l'étude réalisée par Eurogip, reconnaissent comme accident du travail les suites psychiques ou psychologiques d'un évènement accidentel, mais pas comme maladies professionnelles les troubles ou pathologies psychiques liés à des risques psychosociaux. A ce jour, une telle reconnaissance est possible dans six pays : Belgique, Danemark, France, Italie et Suède. Toutefois, ce type de pathologies n'est inscrite sur aucune des listes de maladies professionnelles de ces pays et c'est donc dans le cadre du système complémentaire que la victime doit faire sa demande de reconnaissance, en apportant la preuve du lien entre sa maladie et le travail. Sept pays : Allemagne, Autriche, Espagne, Finlande, Irlande, Luxembourg et Suisse n'offrent, pour l'instant, aucune possibilité de reconnaissance des maladies psychiques en tant que maladies professionnelles. Les maladies psychosociales se placent parmi les maladies qui font l'objet du plus grand nombre de demandes de reconnaissance/de déclarations notamment au Danemark, en Suède et aux Pays-Bas. L'augmentation des demandes, la progression du nombre de cas reconnus ainsi qu'une demande sociale de plus en plus forte contribuent à ce que des réfexions soient menées. Elles ont pour objectif de mieux définir le cadre de reconnaissance et d'indemnisation des maladies psychosociales

    http://www.actdoc.anact.fr/Record.htm?idlist=218&record=19116380124919345629

  • Ages et travail : le vieillissement dans l'entreprise

    Auteur(s) : DEVIN (Bernard)
    Date de publication : janvier 2003
    Origine : ARACT DES PAYS DE LOIRE (Editeur )

    Alors que la part des actifs de plus de 50 ans augmente et atteint 25%, plus des deux tiers des établissements prennent peu en compte la question du vieillissement de leurs salariés. Or, du fait des départs en retraite ou de leur dynamique propre de création d'emplois, les branches et les entreprises devront rivaliser d'efforts pour attirer et fidéliser les salariés. Les difficultés de recrutement, potentielles ou déjà ressenties, mais aussi la préservation des savoir-faire, imposent dès maintenant de reconsidérer les perspectives et les conditions de maintien des seniors dans l'emploi.

    http://www.actdoc.anact.fr/Record.htm?idlist=34&record=19117259124919354319

Enjeux humains

  • Quelles mobilités géographiques des salariés du privé durant la crise sanitaire ?

    Auteur(s) : DARES
    Date de publication : mars 2022

    Entre les mois d’avril 2020 et 2021, les salariés du privé déménagent davantage qu’au cours des douze mois précédents (12,3 % contre 11,8 %), mais un peu moins souvent à plus de 100 kilomètres. Ceux qui déménagent au-delà de cette distance quittent plus fréquemment qu’entre avril 2019 et avril 2020 les départements comptant une grande métropole, et s’y installent un peu moins. C’est particulièrement le cas en Ile-de-France : les départs à plus de 100 kilomètres de Paris augmentent de 34 % sur un  an et les arrivées reculent de 12 %, accentuant une tendance déjà entamée avant la crise sanitaire. Les professions recourant le plus au télétravail contribuent particulièrement à ces mouvements. La structure des déménagements à moins de 100 kilomètres se modifie également, prolongeant là aussi un mouvement déjà à l’œuvre avant la crise liée au Covid-19 : au sein des cinq plus grandes unités urbaines, les salariés du privé délaissent la commune-centre pour s’installer de plus en plus loin du centre urbain.

    https://dares.travail-emploi.gouv.fr/publication/quelles-mobilites-geographiques-des-salaries-du-prive-durant-la-crise-sanitaire

  • La reconnaissance au travail

    Auteur(s) : Moodwork
    Date de publication : mars 2022

    Réalisée par le pôle recherche de Moodwork, spécialiste de l’accompagnement des salariés dans leur démarche de santé mentale, auprès de 1146 personnes, l'enquête montre tout d’abord l’importance de la reconnaissance au travail après deux années de crise et, pour beaucoup, de travail à distance. Que provoque la reconnaissance sur celui qui la reçoit ? Voici le top 5 des mots évoqués en réponse par les participants : motivation (41%), satisfaction (28%), fierté (26%), joie (18%) et confiance (15%).

     

     

    https://www.myhappyjob.fr/les-salaries-francais-sont-ils-en-manque-de-reconnaissance-au-travail/

  • Baromètre annuel Télétravail et Organisations hybrides

    Auteur(s) : Malakoff Humanis
    Date de publication : février 2022

    Tout pousse à croire que si 2020 fut l’année du télétravail imposé, 2021 sera l’année du travail hybride mi-présentiel mi-distanciel. C’est cette combinaison qu’il faut maintenant penser. Découvrez les résultats du baromètre annuel Télétravail 2021 de Malakoff Humanis, des témoignages et des bonnes pratiques de chefs d’entreprises confrontés aux problématiques managériales et en terme de prévention santé soulevé par le télétravail et l’organisation du travail hybride à mettre en place.

     

    https://lecomptoir.malakoffhumanis.com/dossiers/vers-une-hybridation-du-travail-barometre-annuel-teletravail-2021/

  • Pratiques et représentations associées au télétravail en Europe

    Auteur(s) : Fondation Jean Jaurès
    Date de publication : janvier 2022

    Réalisée auprès des populations actives exerçant une activité professionnelle dans les pays du « Big 5 » européen, l’objectif de cette enquête est de mettre en perspective les pratiques et représentations associées au télétravail en France, mieux connues depuis le début de la crise sanitaire, avec celles de ses voisins dont, à l’inverse, peu d’informations sont jusqu’à présent remontées. La France représente-t-elle une exception dans la manière d’appréhender cette organisation du travail ou s’inscrit-elle au contraire dans les pas des autres pays ?

    https://www.jean-jaures.org/publication/pratiques-et-representations-associees-au-teletravail-en-europe/

  • Impact de la crise sanitaire sur les entreprises industrielles

    Auteur(s) : Institut Mines-Télécom
    Date de publication : janvier 2022

    Face à l’accélération des évolutions des métiers et des compétences due à la transformation digitale et dopée par la crise Covid, il devient toujours plus nécessaire de disposer d’une offre de formations en adéquation permanente avec les besoins exprimés par les acteurs de terrain. L’Observatoire des métiers et des compétences de l’Institut Mines-Télécom représente dans ce contexte de transformations et de mutations multiples un outil stratégique pour faire de la veille et de la prospective, identifier les tendances qui se profilent et ainsi informer, orienter les formations en fonction des transformations en cours et à venir. Cette enquête, en analysant comment la crise économique due à la pandémie a affecté le secteur industriel à travers quatre thématiques, permet de comprendre ce qui a changé pendant cette période particulière et ainsi d’anticiper sur ses conséquences

     

    https://www.imt.fr/wp-content/uploads/2021/12/20211126_-IMT_impact-de-la-crise-sanitaire_web-.pdf

  • Travail/Bureau: les jeunes imposent de nouveaux modèles

    Auteur(s) : IFOP/SFL
    Date de publication : octobre 2021

    SFL publie les résultats du 8e baromètre Paris Workplace, réalisé en partenariat avec l’IFOP (1600 salariés interrogés, travaillant dans un bureau, à Paris et première couronne). Cette huitième édition mesure les effets des confinements successifs sur les attentes des salariés et notamment celles de la jeune génération en matière de lieu de travail. Avec ce constat paradoxal : si les moins de 35 ans sont les plus heureux de retrouver leurs bureaux, ils ont aussi élevé sensiblement leurs niveaux d’exigence vis-à-vis de celui-ci. Le lieu de travail, confronté à la concurrence du domicile, va devoir prouver sa capacité à satisfaire les attentes en matière de bien-être et de relations sociales, mais aussi à avoir un impact sur son environnement de façon positive.

    https://evidence.wimi.pro/shared/#/folder/84a4ade83dcedd9ed0021f1249018c20037c0d30dee852655d651bee7c146eff

  • Baromètre Wimi-Ipsos du Travail Ouvert : 2020, année zéro du télétravail dans le secteur public

    Auteur(s) : Wimi / Ipsos
    Date de publication : janvier 2021

    Le Baromètre Wimi-Ipsos du Travail Ouvert est la première étude consacrée au télétravail dans la sphère publique. Réalisée pendant le second confinement auprès d’un échantillon représentatif de 1000 actifs, l’enquête dresse un comparatif inédit entre public et privé. Le Covid va-t-il bouleverser l’organisation et la culture de travail dans la fonction publique plus profondément que des décennies de réformes de l’Etat ? C’est à cette question – entre autres – que le 1er Baromètre WIMI-Ipsos du Travail Ouvert propose de répondre. Alors que seuls 13% des agents télétravaillaient avant la crise, la moitié des agents ont été amenés à travailler à distance pendant les confinements. Quels enseignements les agents tirent-ils de cette expérience ? Quels sont les freins ou les atouts pour démocratiser le travail à distance ? Autrement dit, l’année 2020 est-elle une simple parenthèse ou l’amorce d’une révolution durable ? Avec l’explosion de l’utilisation du Cloud, se pose la question de la protection des données professionnelles, données particulièrement sensibles dans l’administration. Les agents font-ils confiance dans les logiciels, souvent américains, qu’ils utilisent au quotidien ?

     

    https://www.ipsos.com/fr-fr/barometre-wimi-ipsos-du-travail-ouvert-2020-annee-zero-du-teletravail-dans-le-secteur-public

  • L’impact de la crise sur l’organisation du travail et la santé des salariés

    Auteur(s) : Malakoff Humanis
    Date de publication : juin 2020

    Alors que redémarrent les discussions autour de la santé au travail et que les partenaires sociaux entament une réflexion sur l’avenir du télétravail, le Comptoir de la nouvelle entreprise de Malakoff Humanis décrypte l’impact de la crise sur l’organisation du travail et la santé des salariés, à travers ses études Flash Télétravail et Absentéisme réalisées tous les mois depuis mars 2020. Sept salariés sur dix souhaitent et pensent que la crise va transformer profondément les modes de travail, et 84 % des télétravailleurs déclarent vouloir continuer à télétravailler à l’issue du confinement. Un plébiscite qui ne doit pas occulter les risques liés à cette pratique dont la mise en place impose un encadrement et une vigilance en matière de santé notamment. La seconde partie de cette analyse concerne les arrêts maladie - dont 26 % en avril sont liés au Covid - et le report des soins durant le confinement (maladies chroniques, absence de dépistage…). Ces reports ainsi que l’augmentation des risques psychologiques liés au retour en entreprise (qui inquiète 56 % des salariés du secteur privé) et à l’utilisation des transports en commun (un motif d’inquiétude pour 40 % des salariés en Ile-de-France) pourraient avoir un impact sur les arrêts de travail.

     

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  • Les salariés français face à l’épidémie de COVID-19

    Auteur(s) : CFDT / KANTAR
    Date de publication : avril 2020

    Près de 7 salariés français sur 10 ont vu leur situation professionnelle affectée par la crise liée à l'épidémie de COVID-19. Ainsi, un quart des salariés français interrogés continue à travailler, mais différemment, et 28% sont en inactivité totale (chômage partiel ou arrêt de travail). C'est également plus d'1/4 des salariés (28%) qui indique une perte de salaire. Il se crée ici un écart très net entre les salariés des petites structures et les autres : en dessous de 50 salariés, plus de 40% constatent une telle perte. Trois grandes situations professionnelles prédominent en période de confinement : ceux qui continuent à travailler sans changement de rythme ni de lieu (28%), et ceux-là s'estiment fortement exposés aux virus (87% de ceux qui continuent à travailler au même endroit), en particulier dans les commerces et autres établissements recevant du public. En revanche, seuls 13% ont vu leur salaire diminuer depuis le début de l'épidémie, et ils sont 56% à affirmer que la crise n'impactera pas leur salaire ; ceux qui sont en chômage partiel (à 100% pour plus de la moitié d'entre eux) ou en arrêt : 42%. 56% d'entre eux subissent une perte de revenu, et c'est chez eux qu'on trouve aussi les plus hauts niveaux d'inquiétude (et d'isolement chez ceux qui sont sans activité) ; ceux qui continuent à travailler au même rythme, mais en télétravail. Ceux-là (25%) sont assez satisfaits de leur sort et notamment de leurs conditions de travail. Ils ressentent moins l'isolement que ceux qui sont en chômage partiel. S'ils ont pour l'instant peu subi de baisse de salaire (17% d'entre eux), ils sont 39% à en anticiper une du fait de la crise actuelle. A noter : Il y a moins de 7% qui cumulent télétravail et chômage partiel.

    Dans ce contexte, les sentiments dominants parmi les salariés oscillent entre l'inquiétude (51%), la patience (46%) et l'impuissance (37%). Chez ceux qui ont cessé de travailler, l'isolement est également un sentiment largement exprimé (36% contre 26% pour ceux encore en activité). Cette inquiétude se confirme par ailleurs lorsque l'on interroge les salariés sur leur situation professionnelle en particulier : 56% des salariés se disent plus ou moins inquiets en ce qui concerne les conséquences de l'épidémie sur leur situation professionnelle (dont 18% très inquiets). Cette inquiétude culmine chez les ouvriers (63%) et est inégalement distribuée entre les salariés du public (48%) et du privé (61%), et en fonction de la taille d'entreprise (seuls 42% des salariés d'entreprises de plus de 5000 salariés se disent inquiets). 79% des salariés interrogés anticipent un impact sur l'avenir de leur entreprise ou administration, dont 35% un impact grave (40% dans le privé). Tous les secteurs sont également concernés. Les inquiétudes sont diverses : augmentation du temps de travail, dégradation des conditions de travail, baisse de salaire, suppressions d'emploi et même de son propre emploi chez 26% des salariés (31% des salariés du privé). La crainte d'une baisse de salaire est particulièrement élevée parmi les ouvriers et salariés des PMEs, et chez ceux dont la situation professionnelle a été impactée par la crise.

     

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  • Les managers français sont à bout de souffle

    Auteur(s) : Ipsos
    Date de publication : octobre 2019
    Origine : Boston Consulting Group (BCG)

    Etre manager ne fait plus rêver, en France comme ailleurs dans le monde. Telle est la conclusion de l’étude menée par le cabinet de conseil en stratégie Boston Consulting Group (BCG) avec l’institut de sondage Ipsos, dévoilée le 18 septembre.

    Après avoir questionné, entre le 14 juin et le 15 juillet 2019, 5 000 employés et managers issus d’entreprises de plus de 200 salariés dans cinq pays - la Chine, la France, l’Allemagne, le Royaume-Uni et les États-Unis -, ils relèvent que dans les pays occidentaux, seul 1 employé sur 10 aspirerait désormais à devenir manager et 37% des managers entendraient le rester dans les prochaines années.

     

    http://media-publications.bcg.com/BCG_Theendofmanagement-vimpression.pdf

  • Baromètre Paris Workplace IFOP-SFL

    Auteur(s) : IFOP/SFL
    Date de publication : juin 2019

    Comment les interactions au bureau créent de la performance ? Les principaux enseignements :

    Isolement au travail, le mal du siècle : 26 % des salariés interrogés se disent souvent isolés (et donc plus stressés, moins performants et moins fidèles à leur entreprise).

    Le télétravail favorise le sentiment d’isolement (36 % des télétravailleurs réguliers contre 19 % pour ceux qui ne télétravaillent pas) et génère une forte crainte d’être licencié (24 % vs 8 %). NB : 4 franciliens sur 10 télétravaillent au moins une fois par semaine ((au sens large : hors lieu de travail, y compris dans un café ou un autre tiers lieu).

    Trop de téléphone et de mails coupent les salariés du monde. Il faut se parler. Seuls les échanges physiques, en face à face, réduisent le risque d’isolement, qui est divisé par deux quand on parle à plus de trois collègues en face à face dans la journée. A contrario, l’augmentation des échanges par mail, messageries ou téléphone, ne permettent pas de sortir un salarié de l’isolement. Au-delà de 20 interactions par mail par jour, le sentiment d’isolement se renforce.

    Trop de relations tue la relation. Il existe un juste niveau de relations, situé entre 3 et 10 interlocuteurs par jour. Passé un certain seuil (20 collègues / jour), la multiplication des interactions a des effets indésirables : source de stress, de tensions entre collègues, et de perte de performance.

    Bien-être au travail : il vaut mieux avoir des collègues sympas qu’un gros salaire. La qualité des relations a aussi un effet spectaculaire sur le sentiment de bien-être au travail, beaucoup plus par exemple que le niveau de rémunération, qui ne joue qu’à la marge dans le bien-être perçu.

    Le bureau est d’abord un espace social avant d’être un espace de travail : les salariés viennent au bureau d’abord pour « la vie sociale avec leurs collègues » à 42 %. C’est la première raison citée, avant même le fait de « travailler efficacement ». Les critères favorisant le plus la fréquence des relations sont : la présence de bureaux partagés (idéalement, de 2 à 6 personnes), la présence d’espaces de convivialité, la présence d’espaces de travail collaboratifs.

     

     

    http://parisworkplace.fr

  • Le Grand Paris, vers de nouvelles centralités

    Auteur(s) : Colliers International France
    Date de publication : juin 2019

    La région parisienne attend avec impatience l’arrivée du Grand Paris Express ! Au sein de Colliers International France, nous sommes convaincus que la réalisation de cet équipement va fortement impacter l’organisation générale du territoire. 

    La banlieue disposera enfin d’un moyen de transport à la mesure de sa croissance et de ses enjeux par la création de connexions entre des écosystèmes résidentiels et économiques complémentaires. De nouvelles centralités émergeront et entreront, à coup sûr, directement en concurrence avec l’hypercentre parisien.

     Le premier volet de notre nouvelle étude « GRAND PARIS : vers de nouvelles centralités » offre une vision prospective sur le devenir d’une région capitale !

    https://www2.colliers.com/fr-FR/etudes/2019-Grand-Paris-nouvelles-centralites

  • Les actifs et les nouvelles formes de travail

    Auteur(s) : Freelance.com / Ifop
    Date de publication : mars 2019

    En 2016, les indépendants représentaient 35% de la force de travail aux Etats-Unis, on estime qu’ils seront 50% en 2027. En France en 2018 ils ne représentent que 5% de la population active. Cependant, 14% des actifs en poste aujourd’hui envisagent de devenir travailleurs indépendants d’ici 5 ans, soit une augmentation de +180% par rapport à aujourd’hui.

    Face à ces profondes mutations du monde professionnel, L’IFOP et Freelance.com se sont associés pour réaliser une vaste étude sur les actifs et les nouvelles formes de travail.

    https://www.freelance.com/wp-content/uploads/2019/03/Les-actifs-et-les-nouvelles-formes-de-travail_etude-IFOP.pdf

  • Les Français soutiennent-ils leur chef en cas de problème ?

    Auteur(s) : Qapa
    Date de publication : février 2019

    8% des Français n’aident pas leur supérieur en cas de difficulté. Plus de 76% ne soutiennent pas un chef menacé de licenciement. Pour 81%, un chef en difficulté n’est pas autant défendable qu’un autre collègue.

    https://www.qapa.fr/news/francais-chef-cas-probleme-193/

  • Le système éducatif prépare-t-il les jeunes à intégrer le marché de l’emploi ?

    Auteur(s) : WISE/Ipsos
    Date de publication : février 2019

    On dit qu’ils sont inconsistants, pas motivés, mais décidés à s’engager. Selon les résultats d’une étude menée par Ipsos, les jeunes sont surtout peu accompagnés quand il s’agit de leur orientation professionnelle. 

    C’est comment, de bosser avec les millennials ? Il paraît qu’ils seraient plus intéressés par la QVT que par le salaire. Qu’ils veulent bosser en CDI mais pas à temps plein. Qu’ils sont ceux qui demandent le plus de ruptures conventionnelles… Bref, pour les recruter, mieux vaut un peu savoir à quoi s’attendre. JobTeaser, société spécialisée dans le recrutement des jeunes talents en Europe, et WISE, sommet mondial de l’innovation pour l’éducation, ont cherché à dresser en une étude comment les jeunes envisagent le monde professionnel. Une enquête menée par Ipsos auprès de 3 000 personnes dans 5 pays d’Europe met en évidence leurs principales préoccupations.

    https://www.ipsos.com/fr-fr/france-seuls-37-des-jeunes-estiment-que-le-systeme-educatif-les-prepare-bien-entrer-sur-le-marche

  • Baromètre national de l'emploi

    Auteur(s) : Qapa
    Date de publication : janvier 2019

    Des demandeurs d'emploi de plus en plus diplômés en 2019

    29% de CAP/BEP, 21% de Bac, 23% de Bac+2, 9% de Bac+3 à +5 et 3% de Bac +5 ou plus

    Les candidats sans expérience baissent à 18% en janvier 2019

    Une inadéquation entre demandes des candidats et recruteurs toujours aussi forte

    Les contrats qui cartonnent en 2019 : les CDI à 48% et l'Intérim à 32%

    Les 5 secteurs qui payent le plus : Commerce, Banque-assurance, Audit-comptabilité, Industrie et Informatique

    Les rémunérations par régions :

    TOP : Ile-de-France, ARA, Grand-Est, Nouvelle Aquitaine et Bretagne

    FLOP : Corse, Hauts-de-France, PACA, Normandie, et Occitanie

    www.qapa.fr
  • Le flex office vu par les salariés

    Auteur(s) : Colliers International France
    Date de publication : janvier 2019

    Colliers International France a réalisé une enquête inédite sur la perception des salariés en environnements flexibles, à l’heure où la flexibilité est au cœur de toutes les problématiques d’entreprise. Quels sont les bénéfices de ces environnements de travail, quelles faiblesses peut-on observer et quels sont les retours d’expériences des salariés ? 

     

    https://www.colliers.com/-/media/files/emea/france/research/flex_office_livre_blanc_colliers_international_france.pdf?la=fr-FR

     

  • The Workforce View in Europe 2018

    Auteur(s) : ADP
    Date de publication : décembre 2018

    Il ne fait aucun doute que l'Europe de 2018 n’est plus celle des années précédentes. La croissance économique généralisée et la baisse du chômage marquent une période de relative stabilité, bien que le paysage politique présente encore de nombreuses incertitudes. La stabilité apparente de l'économie et de l'emploi masque un fait important : le continent avance plus vite que nous ne l'avions imaginé ; la technologie y étant pour beaucoup. Au premier plan de ce changement rapide figure l’environnement de travail, dans lequel les entreprises cherchent frénétiquement à tirer parti des innovations qui émergent et à progresser dans un monde de plus en plus concurrentiel. Mais que signifie ce changement pour les salariés confrontés à de nouvelles exigences de compétences, à de nouvelles méthodes de travail et à la menace de l'automatisation ? The Workforce View in Europe 2018 se présente aussi comme un baromètre indispensable pour mesurer l’état d’esprit des salariés puisque l’enquête a été menée auprès d’environ 10 000 personnes en Allemagne, en Espagne, en France, en Italie, aux Pays-Bas, en Pologne, au Royaume-Uni et en Suisse. En mettant l’accent sur les sujets les plus pertinents du moment, y compris l'automatisation, les compétences, le travail indépendant, la productivité et l'égalité, cette enquête se révèle essentielle à qui désire centrer ses efforts sur la construction d'une ressource plus humaine.

     

    https://www.fr.adp.com/donnees-thematiques-tendances-rh/engagement-des-salaries-gestion-des-talents/strategies-engagement-salaries-2018

  • Innover pour l'emploi : les attentes des jeunes à l'égard des entreprises

    Auteur(s) : Harris Interactive
    Date de publication : décembre 2018
    Origine : BFM Business

    Harris Interactive a réalisé pour BFM Business un sondage sur les attentes des jeunes à l'égard des entreprises. 

    Qu’attendent-ils d’une entreprise ? Quel est leur emploi idéal et quels sont leurs critères prioritaires pour choisir leurs futures entreprises ? Sur ce sujet, Harris Interactive a mené un sondage auprès des 18-29 ans. - Innover pour l’emploi, une émission de BFM Business avec: Marie Valognes, notre journaliste. Jean-Daniel Levy, directeur du département Politique et Opinion d’Harris Interactive. Hélène Leduc-Fonnesu, vice-présidente en charge des Ressources Humaines de McDonald’s France. Florence Réal, directrice du recrutement France et Benelux d’Accenture. Et Estelle Barthélemy, cofondatrice de Mozaïk RH.

    https://bfmbusiness.bfmtv.com/mediaplayer/video/innover-pour-l-emploi-les-attentes-des-jeunes-en-entreprise-22-12-1127497.html

  • Comment les futurs managers voient leurs espaces de travail à la sortie de l'école ?

    Auteur(s) : ESSEC
    Date de publication : octobre 2018

     

    Réalisée par la toute nouvelle Chaire Workplace Management de l’ESSEC, « cette enquête révèle la manière dont les étudiants d’une grande école de management imaginent leur bureau de demain, à la sortie de l’école. Elle met surtout en évidence, cette année, le fait que le bureau non attitré (flex-office et co-working) n’attire pas les faveurs des futurs managers, contrairement aux idées reçues » comme l’explique Ingrid Nappi-Choulet, professeur-chercheur à l’ESSEC et titulaire de la Chaire Workplace Management. L’enquête a été menée en ligne du 16 septembre au 8 octobre 2018 .

    Quatre enseignements majeurs ressortent de cette enquête :

    Le premier réside dans le fait que, contrairement aux années précédentes, le bureau classique individuel et fermé semble être de retour dans les préférences des étudiants. Le second tient au fait qu’alors que l’on pourrait penser que les modes de travail « modernes » tels que le flex-office ou le co-working ont le vent en poupe, il s’avère qu’ils n’attirent que très peu les futurs managers. La troisième information essentielle à retenir est que Paris se place en tête des localisations attractives où travailler à la sortie de l’école, suivie par les métropoles régionales, l’étranger puis enfin la région parisienne. Notons surtout que l’origine géographique des étudiants influence leur choix de localisation du futur bureau : ils souhaitent travailler au sein de leur territoire d’origine. Enfin, le quatrième concerne l’importance du végétal pour le bien-être au travail de notre jeune génération.

    https://sites.google.com/a/essec.edu/chaire-workplace-management/mon-bureau-de-demain/mon-bureau-de-demain-iii

  • Les Français aimeraient-ils partir en vacances avec leur chef ?

    Auteur(s) : Qapa
    Date de publication : juillet 2018

    Les Français aimeraient-ils partir en vacances avec leur chef ?

     41% de ces personnes voulaient partager un bon moment avec leur boss ou se lier d'amitié pour 34%

    49% des personnes qui ont refusé cette proposition ne voulaient pas mélanger travail et congés

    62% des Français aimeraient bien partir en vacances avec leurs collègues ou leur supérieur 

     

    En cette période de vacances, Qapa.fr, l'agence d'intérim 100% online, a interrogé les 4,5 millions de candidats de la plateforme pour savoir s'ils étaient disposés à partir en congés avec leur chef. Un sondage* qui montre que, loin des a priori, la plupart des Français seraient prêts à se rapprocher davantage de leur hiérarchie, jusqu'à partir en vacances avec leur boss. Lien officiel : www.qapa.fr

  • Les situations de fragilité des salariés

    Auteur(s) : Malakoff Médéric
    Date de publication : juin 2018

    Une récente étude vient de révéler que 56% des salariés se disent en situation de fragilité, personnelle ou professionnelle.

     

    Difficulté financière, situation d’aidant, maladie grave, perte de sens, conciliation vie professionnelle et vie personnelle, etc., les fragilités des salariés, qu’elles soient d’origine personnelle ou professionnelle, sont une réalité dans les entreprises. 56 % des salariés déclarent en connaître actuellement au moins une, tandis que 91 % des dirigeants d’entreprise déclarent employer au moins un salarié dans une telle situation.

     

    http://www.malakoffmederic.com/groupe/media/presse-actualites/espace-presse/resultats-etude-situations-de-fragilite-des-salari.htm

  • Les préoccupations des moins de 35 ans en matière d'emploi

    Auteur(s) : DOMPLUS/BVA
    Date de publication : février 2018

    DOMPLUS et BVA ont interrogé un échantillon représentatif de 1002 Français âgés de 18 à 34 ans afin de faire le point sur leurs préoccupations professionnelles (opinions, optimisme, attentes, équilibre avec la vie personnelle). Les résultats de cette enquête sont diffusés en partenariat avec La Tribune et BFM Business.

    L’emploi, un sujet qui préoccupe fortement les moins de 35 ans…qui se montrent assez peu optimistes sur leur avenir professionnel

    • Pour 82% des moins de 35 ans, réussir sa vie professionnelle est compliqué. De plus, 73% des moins de 35 ans se disent optimistes concernant leur avenir sur le plan personnel, ils ne sont que 58% d’optimistes quant à leur avenir professionnel.

    • Leurs ressources financières et leur carrière professionnelle sont les principales préoccupations quotidiennes des moins de 35 ans : 86% se disent préoccupés au quotidien par leurs ressources financières et 80% par leur carrière professionnelle.

    Une vie professionnelle qui peine à générer une satisfaction large et le sentiment de voir les choses différemment de leurs collaborateurs plus âgés

    • Uniquement 64% des moins de 35 ans se disent satisfaits de leur vie professionnelle.

    • Seuls 47% considèrent que leur vision de la vie professionnelle est proche de celle de leurs collaborateurs.

    • Leurs choix semblent par ailleurs plutôt élaborés selon des critères de confort matériel ou social : 71% déclarent que leur salaire est l’élément qui compte le plus dans leurs choix professionnels devant l’ambiance de travail (62%) alors que le contenu, la nature des tâches effectuées (45%) se situe en retrait.

    Une génération en attente d’améliorations concernant la conciliation vie personnelle / vie professionnelle

    • Pour 88% d’entre eux il est indispensable d’établir une frontière entre vie personnelle et vie professionnelle mais 56% jugent qu’il est difficile aujourd’hui de séparer vie personnelle et vie professionnelle. 

    • Signe d’améliorations possibles, 75% des moins de 35 ans estiment qu’ils parviennent à concilier leur vie professionnelle et leur vie privée de façon satisfaisante.

    Des souhaits importants d’implication à l’égard des entreprises, sur des éléments de confort plus que de contenu

    • 84% des moins de 35 ans jugent qu’il est important que leur employeur prenne en compte leur vie personnelle…quand uniquement 55% jugent que leur entreprise prend bien en considération le poids de leurs contraintes personnelles.

    • Seuls 30% des moins de 35 ans estiment que les entreprises s’impliquent suffisamment pour favoriser l’emplois des jeunes. 

    • Les domaines dans lesquels on trouve le plus d’attentes à l’égard du monde professionnel sont notamment l’ambiance générale dans les équipes de travail (47%), les avantages sociaux et salariaux (42%) et la possibilité de progresser professionnellement dans l’entreprise (41%).

    https://www.bva-group.com/sondages/preoccupations-de-35-ans-matiere-demploi/

  • Les chiffres du télétravail en 2016

    Auteur(s) : Kronos
    Date de publication : août 2017
    Origine : CGET

    Le cabinet de conseil RH Kronos a rendu publiques des estimations en matière de télétravail pour l’année 2016. Il estime que 16,7 % des Français télétravaillent plus d’une journée par semaine, la majorité (64 %) le faisant de chez eux, et 21 % dans des bureaux mis à disposition par leur entreprise. Pour 71 % des personnes interrogées, le télétravail est une « véritable révolution». 96 % d’entre elles pensent que ce mode de travail améliore le bien-être des salariés.

     

    http://www.cget.gouv.fr/chiffres-teletravail-2016

  • L’engagement des employés dans les espaces de travail à travers le monde

    Auteur(s) : Steelcase
    Date de publication : juillet 2017

    Le rapport d'étude internationale Steelcase dévoilent cinq observations clés sur les facteurs influençant la satisfaction vis-à-vis de l'espace de travail et l'engagement, notamment que l'engagement des employés est directement correlé à la satisfaction vis-à-vis de l'espace de travail. Les données montrent que les travailleurs fortement satisfaits de plusieurs aspects de leur environnement sont aussi ceux qui ont les plus hauts niveaux d'engagement. Pourtant, seuls 13 % des travailleurs dans le monde sont à la fois fortement engagés et très satisfaits de leur environnement de travail. Ce tableau vous permet de voir les niveaux d'engagement par pays en un clin d'œil.

    https://info.steelcase.com/comparaison-de-lengagement-des-employés-dans-les-espaces-de-travail-à-travers-le-monde?hsCtaTracking=e07e5d14-1e5d-4db1-b26c-21dc3b5b45dc%7C8abc832e-5927-491b-acdd-22898bf97058#compare-about-the-report

  • Etude JLL : ce que les Français attendent de leurs bureaux

    Auteur(s) : JLL France
    Date de publication : juin 2017
    Origine : CSA

    Travail liquide, augmenté, disrupté. Pour quel futur les Français sont-ils prêts ?

    Face à un environnement économique de plus en plus chahuté et fréquemment ≪ disrupté ≫, les Français aspirent bien plus au changement que ce que l’on tend à penser.

    http://ridethewave.jll.com/fr/

  • Pourquoi les Français n’aiment pas leur job

    Auteur(s) : Sharp
    Date de publication : avril 2017

    Près de deux tiers des Français ont une mauvaise opinion de leur cadre de travail. Méthodes désuètes, outils de travail dépassés… Sharp étudie les nombreux facteurs qui entraînent une baisse de motivation chez les collaborateurs.

    https://fr.sharpmarketing.eu/web/unlock

    http://www.ladn.eu/nouveaux-usages/etude-marketing/pourquoi-les-francais-naiment-ils-pas-leur-travail/?utm_source=newsletter_ladn&utm_medium=email&utm_campaign=news_mars_2017&utm_content=20170321

     

  • Évolutions technologiques et sociales au travail

    Auteur(s) : JLL France
    Date de publication : avril 2017
    Origine : CSA

    Une véritable révolution dans le rapport au travail est en marche. Elle questionne les employeurs sur le ≪ package ≫ qu’ils pourront demain proposer à leurs collaborateurs, au-delà du contrat de travail.
    Le bureau tel que nous le connaissons est mort.
    42% des Français déjà séduits par le 100% nomade et la fin du bureau comme lieu de travail principal.
    Le bureau de demain sera de plus en plus flex, agile, smart : avec un cœur plus restreint, et une capacité inégalée à s’étendre ≪ à la demande ≫ en fonction des besoins.

    http://ridethewave.jll.com/fr/

  • Expatriation : les Français sont les salariés les moins mobiles d'Europe

    Auteur(s) : Opinion Matters et ADP
    Date de publication : février 2017

    Malgré un climat qui peut sembler morose, les salariés français envisagent moins l'expatriation que leurs voisins européens, selon l'étude "The Workforce View in Europe 2017" réalisée par Opinion Matters pour ADP.

    http://www.fr.adp.com/actualite-documentation/livres-blancs/workforce-view

  • Famille et entreprise 2016

    Auteur(s) : La Maison Bleue et Le Figaro
    Date de publication : novembre 2016
    Origine : ViaVoice

    La dernière vague de l’Observatoire Famille et Entreprise réalisé par Viavoice pour La Maison bleue et Le Figaro met en perspective les difficultés croissantes des entreprises pour fidéliser leurs collaborateurs et attirer de nouveaux talents, en premier lieu les plus jeunes issus de la fameuse « génération Y ».

    Une attractivité-employeur mise en difficulté dans de nombreuses entreprises

    Ainsi, la moitié (50 %) des dirigeants d’entreprises de plus de 50 salariés chefs d’entreprises et DRH jugent « de plus en plus difficile » de « fidéliser les salariés de manière générale et leur donner envie de rester dans l’entreprise ».

    Attirer de nouveaux salariés compétents est également de plus en plus compliqué pour plus d’un dirigeant sur deux (51 %) qui avoue avoir du mal à attirer de nouveaux « talents ».

    Difficultés à conserver les meilleurs éléments, difficulté à en attirer de nouveaux... l’attractivité-employeur est dès lors mise en difficulté dans un grand nombre d’entreprises. Un phénomène porté notoirement par les jeunes générations, puisque 63 % des décideurs jugent particulièrement difficile de garder leurs salariés de moins de 30 ans, c’est-à-dire cette fameuse « génération Y » dont les aspirations semblent s’imposer, de plus en plus, à l’ensemble des collaborateurs.

    Au-delà du salaire et des avantages, des attentes de considération et de prise en compte des besoins personnels (horaires aménagées et articulation famille-travail)

    Ces difficultés nouvelles, pour les entreprises, sont liées à des évolutions sociétales rendant les salariés plus exigeants dans leur rapport à l’entreprise : exigences salariales et statutaires, exigence de considération au quotidien, exigence aussi – d’une meilleure prise en compte des contraintes et des aspirations de chacun.

    Ainsi, les salaires ne sont plus la première revendication des salariés français, si l’on en juge par les perceptions des dirigeants : si 61 % d’entre eux pensent que « des salaires élevés » sont de plus en plus demandés, ils sont surtout 74 % à mesurer une demande croissante « de reconnaissance et d’écoute au quotidien ». 

    http://www.la-maison-bleue.fr/uploads/presse/6906_D__couvrez_l_ensemble_des_r__sultats_de_l___tude.pdf

  • Les générations Y et Z réinventent l'entreprise

    Auteur(s) : JLL
    Date de publication : octobre 2016

    Engagement, nouveaux espaces de travail, entreprise libérée... Découvrez comment les générations Y et Z réinventent l’entreprise. 

    Quelles sont les attentes des talents de demain ? L’entreprise libérée est-elle si séduisante aux yeux de la génération montante ? A quoi ressemblera le travail dans les bureaux de 2030 ? Afin de répondre à ces questions, JLL a engagé une réflexion prospective et créative auprès des générations Y et Z : lycéens, étudiants, jeunes entrepreneurs et start-upers.

    http://www.jll.fr/france/fr-fr/etudes

  • Quel travail dans 10 ans ?

    Auteur(s) : ANACT
    Date de publication : août 2016

    Dans le cadre des travaux engagés par France Stratégie, l'Anact a produit une note sur les transformations du travail, ses conditions et la protection des actifs pour la décennie 2017-2027. Les choix opérés en matière d’organisation du travail et l’usage des outils numériques seront déterminants pour construire un monde du travail soutenable…ou non.

    http://www.anact.fr/node/11129 

  • L'aspiration des salariés de moins de 30 ans

    Auteur(s) : Great place to work
    Date de publication : mai 2016

    73% des jeunes salariés ont confiance en leur avenir professionnel
    L’Institut Great Place to Work® révèle les aspirations des salariés de moins de 30 ans

    Ils ne feront sans doute pas toute leur carrière dans la même entreprise, alors ils ont décidé de miser sur eux-mêmes. Les jeunes font preuve d’optimisme face à leurs ainés en doute vis-à-vis de la conjoncture française, des perspectives au sein de leur entreprise ou de leur propre avenir professionnel. Tel est le constat de l’étude réalisée par l’Institut Great Place to Work® qui accompagne les entreprises dans leur transformation culturelle pour construire des environnements de travail performants. Immersion au coeur des aspirations professionnelles de la génération Y.

    Plus de 7 jeunes salariés sur 10 ont confiance en l’avenir.

    Malgré la crise économique, les salariés de moins de 30 ans sont plus positifs que l’ensemble des salariés. Ils sont 73% à être optimistes quant à l’évolution de leur propre situation professionnelle (contre 54% sur l’ensemble des salariés) et plus d’1 sur 2 à croire en l’évolution de leur niveau de rémunération (54% vs 38%).

    Par ailleurs, les jeunes salariés ne font plus de réelle différence entre vie professionnelle et vie personnelle. Le travail est devenu aspirationnel puisque 74% d’entre eux estiment que leur activité professionnelle est en phase avec leurs valeurs et ambitions personnelles. Ils ressentent par conséquent moins de lassitude par rapport à leur travail que l’ensemble des salariés (36% vs 43%).

    Cette confiance donne envie aux jeunes de découvrir de nouveaux horizons. Plus enclins au changement, ils n’ont plus un poste à vie. Tentés par l’international, ils sont près d’1 sur 2 (47%) à envisager une expérience à l’étranger pour quelques années et 1 sur 4 pour y travailler longtemps voire toute leur carrière (27%).

    68% des jeunes salariés sont sensibles aux attentions de leur entreprise pour leur bien-être.

    http://www.greatplacetowork.fr/publications-a-evenements/blogs-et-actualite/837-etude-aspirations-des-salries-de-moins-de-30-ans

  • L’évolution professionnelle des femmes aujourd’hui

    Auteur(s) : Opinion Way pour LinkedIn
    Date de publication : décembre 2015

    Une étude réalisée par Opinion Way pour LinkedIn, le plus grand réseau professionnel en ligne au monde avec 400 millions de membres dont plus de 10 millions en France, met en évidence de fortes différences de perception entre hommes et femmes sur l’évolution professionnelle des femmes aujourd’hui. « Les réseaux professionnels tels que LinkedIn ont un rôle à jouer pour aider les femmes à accélérer leur carrière et à développer leur réseau », d’après Laurence Bret Directrice Marketing chez LinkedIn pour la région EMEA. « LinkedIn permet de promouvoir son identité professionnelle en mettant en avant ses compétences ou en se faisant recommander. C’est aussi un moyen de faire valoir son expertise, auprès de son réseau professionnel, en publiant des billets. Autant de possibilités qui permettent d’oser plus faire son auto-promotion dans un contexte professionnel ».

    http://fr.slideshare.net/LinkedInFrancePresse/lvolution-professionnelle-des-femmes-aujourdhui 

  • 50 minutes en moyenne du domicile au travail

    Auteur(s) : Dares
    Date de publication : novembre 2015
    Origine : Ministère du Travail

    La durée moyenne du trajet aller-retour domicile-travail s'est accrue de 25 % en dix-sept ans. L’aller-retour entre le domicile et le lieu de travail prend, en moyenne, 50 minutes chaque jour. Cette moyenne cache des différences importantes entre la région parisienne et les autres zones géographiques. Selon l’organisation de la semaine de travail, les temps de déplacement varient également : dans les semaines où les durées journalières travaillées sont les plus faibles (semaine de demi-journées et semaine aux journées courtes ou variées), les temps de trajet sont moindres.

    29 % des actifs en emploi effectuent plus d’un aller-retour quotidien entre leur domicile et leur travail, le plus souvent pour le déjeuner. Ces déplacements sont plus fréquents pour les actifs qui connaissent une coupure importante entre deux moments travaillés dans la journée. Pour se déplacer de leur domicile à leur lieu de travail, 74 % des actifs en emploi utilisent une voiture et 11 % empruntent les transports en commun. L’usage de la voiture apparaît plus répandu dans les semaines aux journées dont les horaires sont décalés par rapport aux horaires standard, en particulier le matin.

    http://dares.travail-emploi.gouv.fr/dares-etudes-et-statistiques/etudes-et-syntheses/dares-analyses-dares-indicateurs-dares-resultats/article/les-temps-de-deplacement-entre-domicile-et-travail-des-disparites-selon-l

  • L'engagement dans le travail

    Auteur(s) : Observatoire du travail
    Date de publication : novembre 2014
    Origine : BVA

    Les principaux enseignements de ce sondage :

    1 - Les salariés se sentent très engagés dans leur travail (7,8/10), le Mexique et la Roumanie se situant en tête de classement. Le sentiment d’engagement est moins élevé en France ainsi qu’en Belgique, aux Pays Bas et au Royaume Uni.

    2 - Le sentiment d’engagement progresse (44%) ou est stable (43%) depuis un an. Il ne diminue que pour 13% des salariés.

    3 - Si les salariés sont fiers d’exercer leur métier (85%) et de travailler pour leur entreprise (81%), les facteurs qui contribuent le plus à l’engagement sont l’équilibre vie professionnelle vie privé, l’ambiance de travail et le sentiment d’être rémunéré à sa juste valeur.

    Les salariés qui se sentent les plus engagés sont ceux qui souhaitent changer de métier ou créer leur entreprise.

    http://www.bva.fr/fr/sondages/l_engagement_au_travail.html

  • Observatoire Tissot des relations au travail

    Auteur(s) : Editions Tissot
    Date de publication : juin 2014
    Origine : OpinionWay

    Étude réalisée auprès d’un échantillon représentatif de 1002 salariés, échantillon lui même issu d’un échantillon de 2162 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. L’échantillon a été constitué selon la méthode des quotas, au regard des critères de sexe, d’âge, de catégorie socioprofessionnelle, de catégorie d’agglomération et de région de résidence.

    opinion-way.com

  • Le temps de travail redevient une préoccupation majeure des salariés européens

    Auteur(s) : Edenred, Ipsos
    Date de publication : juin 2014

    Edenred et Ipsos dévoilent la neuvième édition du Baromètre sur le bien-être et la motivation des salariés européens. Si la gestion des compétences reste le casse-tête des organisations dans une Europe du Sud où le maintien de l’emploi (et du pouvoir d’achat) demeure la priorité n°1, le temps de travail revient sur le devant de la scène chez les salariés anglais, allemands ou suédois. Avec à la clé un autre challenge RH de taille pour les entreprises : (re)définir l’organisation du travail à l’ère du « blurring1 », qui accroit les tensions et déséquilibres, en particulier chez les managers.

    ipsos.fr

  • Coworking et télétravail : retour d'expérience sur l'Agglomération Côte basque - Adour

    Auteur(s) : Antic
    Date de publication : juin 2014

    Sous l'impact du développement des technologies, les territoires, les activités et les usages se transforment. En particulier, depuis quelques temps, de nouvelles formes de travail et leurs lieux associés apparaissent. Les notions de Télétravail et Coworking sont devenues une réalité et font référence à des problématiques de développement économique et durable pour nos territoires. Dans le cadre de sa mission de prospective sur les nouveaux usages et services numériques, l'antic a mené une expérimentation de coworking au sein de ses locaux dès le mois de juillet 2012. Il s'agissait de : identifier les différents profils d'utilisateurs potentiels ; définir les conditions favorables à la mise en œoeuvre de telles pratiques ; évaluer la nature et la valeur de leurs impacts pour le territoire.

    http://www.antic-paysbasque.com/images/Documents/rapport_coworking_2013.pdf

     

  • Etude OpinionWay pour Brother : 68% des entreprises françaises sont intéressées par le télétravail

    Auteur(s) : Brother
    Date de publication : juin 2014
    Origine : OpinionWay

    Alors que l’environnement économique est de plus en plus complexe, les entreprises sont à la recherche de moyens pour réduire leurs coûts de fonctionnement et optimiser leur productivité. C'est ce que démontre une étude OpinionWay pour Brother réalisée auprès d’un échantillon de 1010 entreprises de 0 à 49 salariés. Ainsi, le travail à distance se démarque particulièrement car il favorise fortement la compétitivité des entreprises françaises. En effet, aujourd'hui, près de 88% d'entre elles dépensent jusqu'à 50 000 euros par an en déplacements professionnels. Cette étude démontre également - contrairement aux idées reçues - que les solutions de vidéoconférence, qui permettent notamment le télétravail, ne sont pas seulement destinées aux entreprises de grandes tailles. Les multiples atouts comme le travail à distance, l’optimisation de la productivité, la réduction des coûts, les échanges collaboratifs...sont désormais accessibles aux TPE/PME grâce à la solution de webconférence.

     

    brother.fr

  • Comment travaillerons-nous en 2020 ?

    Auteur(s) : Metropolis magazine, Business Interiors
    Date de publication : juin 2014
    Origine : Staples

    Rapid and dramatic changes are remaking how we work. The tools we work with have changed and continue to evolve at a break-neck pace. The modern office is adjusting to the “work everywhere” approach. Today systems thinkers who explore all facets of sustainability, accessibility, material innovation, and technology shape the design of everything. The workplace is smack in the middle of this massive rethink.

    http://www.metropolismag.com/Workplace-Of-The-Future/

  • Un regard féminin sur l’Industrie

    Auteur(s) : Elles bougent
    Date de publication : avril 2011

    En 2009, sur un total estimé de 681 400 ingénieurs, 118 800 femmes ont le diplôme d’ingénieur en France soit 17,4 %. A l’instar de nombreux pays développés, le nombre d’ingénieurs a augmenté deux fois moins vite que celui de l’ensemble des ingénieurs diplômés entre 2007 et 2008 traduisant une perte d’attractivité de la filière [...].

    http://www.ellesbougent.com/association/documents.php

  • Les pratiques de 430 entreprises françaises face au stress

    Auteur(s) : ANACT, ENWHP
    Date de publication : mars 2011

    En 2009, l’ANACT est l'opérateur retenu pour la déclinaison française de la campagne européenne "Work in tune with life". Orchestrée par le réseau ENWHP dans 18 pays de l'Union, celle-ci vise à promouvoir la prévention du stress et des risques psychosociaux (RPS) au travail. Six mois plus tard, grâce à la mise en œuvre du site mieuxvivreautravail.anact.fr et de son questionnaire en ligne, 431 entreprises françaises ont pu étalonner leur politique de prévention. Outre la construction d'un score permettant de se situer, les répondants recevaient par mail une évaluation de leur situation et des conseils pour agir. Au terme de la campagne, la France arrive en tête pour la participation, avec près du quart des réponses pour toute l'Europe. Mais cette mobilisation apparente ne s'est pas répercutée dans le score obtenu en termes de promotion de la santé mentale : la note française s'établit à 38 contre 53 en moyenne en Europe. Une analyse plus fine des réponses permet, cependant, de tirer quelques enseignements sur la situation dans les entreprises françaises de l'enquête : La santé au travail est placée au cœur des "valeurs" affichées par les entreprises (80%) mais ne se traduit que timidement en termes de stratégie et de politique opérationnelle (58%).

    http://www.mieuxvivreautravail.anact.fr/actualites/view/46

  • Pourquoi les entreprises françaises sont-elles si réticentes vis-à-vis du télétravail ?

    Auteur(s) : Observatoire de l'informatique et des télécoms au service des nouvelles organisations du travail (IDC), Bouygues Telecom
    Date de publication : mars 2011

    Pourquoi les entreprises françaises sont-elles si réticentes vis-à-vis du télétravail ? Seuls 24% y ont recours d'après IDC. L'une des révolutions apportée par les nouvelles technologies, c'est la possibilité de pouvoir travailler depuis chez soi. Si les indépendants en profitent pleinement, les entreprises sont encore frileuses à se laisser tenter. Une étude réalisée par IDC pour le compte de Bouygues Telecom et portant sur 240 compagnies a ainsi montré que seules 24% d'entre elles avaient des employés en télétravail à domicile. Et pour 81% ce faible pourcentage qui déclare y avoir recours, ce type de travail à distance ne concerne que 10% de la masse salariale. En moyenne, les travailleurs soumis à ce "régime" spécial ne l'appliquent qu'un seul jour par semaine. Pourtant, 82% des entreprises interrogées disposent d'un intranet/extranet/réseau social, 77% ont un VPN, 72% un webmail, 53% un système d'audioconférence, 50% un outil de partage de documents professionnels, 47% une messagerie instantanée, 42% la visio et webconférence et 38% ont une messagerie unifiée. Ce ne sont donc pas les moyens qui font défaut. La réticence des entreprises françaises à adopter ce nouveau mode de fonctionnement se fait d'ailleurs bien sentir sur une base de calcul annuelle, car par rapport à mars 2010, les chiffres sont restés stables dans 93% des organisations. Et dans les 7% restants ? On y compte 4% de recul et 3% de baisse.

    http://www.slideshare.net/RFONNIER/observatoire-de-linformatique-et-des-tlcoms-au-service-des-nouvelles-organisations-du-travail-idc-bouygues-telecom

  • Redonner du sens au travail, réintroduire le collectif & faciliter les engagements citoyens

    Auteur(s) : BPI-BVA-L’Express
    Date de publication : février 2011

    L'Observatoire du travail BPI-BVA-L'Express montre qu'il est urgent de réinstaurer le dialogue avec les collaborateurs. Malgré la multiplication des signes d'accalmie et de sortie de crise, les Français conservent un petit moral en ce début de 2011. Selon l'institut BVA, qui a réalisé du 9 au 16 février 2011 une enquête sur les relations "salariés-employeurs".

    http://www.groupe-bpi.com/fr/magazine/etudes/ResultatOT18.pdf

  • Entreprise : regards croisés salariés et DRH

    Auteur(s) : DRH Entreprise & Personnel, Sociovision
    Date de publication : janvier 2011

    L’étude croise les regards d’une centaine de DRH et de 2 000 salariés. Son premier constat est amer. A peine un collaborateur sur cinq (21%) estime que « l’intérêt des entreprises et celui des salariés vont dans le même sens ». Quelque 80% des sondés jugent aussi que, dans l’entreprise, « toutes les décisions se prennent d’en haut » –un avis partagé par 63% des DRH. De même, près d’un salarié sur deux (46 %) affirme ne pas être consulté pour des décisions qui, pourtant, le concernent. Tandis qu’un DRH interrogé sur trois avoue, à titre personnel, être d’accord avec l’affirmation : « Dans mon entreprise, ce ne sont pas les dirigeants qui décident, mais les actionnaires. » Autre phénomène : 35 % des salariés déclarent que leurs soucis professionnels ont de fortes répercussions sur leur santé et leur vie sociale. Ils n’étaient que 25%avant la crise, en 2007. Ils souffrent notamment « d’un manque de reconnaissance », souligne l’étude. Quelque 60 % des sondés affirment même : « que je travaille plus ou moins ne fait pas de différence ». Et 78% jugent que « leurs capacités et leur motivation sont sous-utilisées ». Surprenant, aux yeux d’une majorité de DRH (64%), le potentiel des équipes serait effectivement sous-employé dans leur société. Malgré ce flot de critiques, 76 % des salariés se disent fiers de leur entreprise. En 1998, ils n’étaient que 49% à l’afficher et 68%en 2005. 67 % des salariés seraient prêts à s’investir davantage si leur employeur le leur demandait. C’est 11 % de plus qu’en 2001 !

    http://www.entreprise-personnel.com/#/entre-nous/activites/publications/autres-publications/enquete-ep-et-sociovision

  • Les Français adeptes de longues journées au bureau

    Auteur(s) : Reuters, Regus
    Date de publication : janvier 2011

    Les Français travaillent-ils moins que les autres? Non, répond clairement la société Regus, fournisseur d'espaces de travail. Elle vient de réaliser une étude auprès de 12.000 entreprises, réparties dans une soixantaine de pays. Et selon elle, 56% des Français passent plus de 9 heures au travail, contre 48% pour la moyenne des autres pays. À titre de comparaison, 46% des Anglais et des Américains travaillent plus de 9 heures, 32% des Chinois ou encore 47% des Japonais. Allemands (59%), Indiens (55%) ou Brésiliens (60%) sont quant à eux plus nombreux à travailler autant. L'étude va même plus loin, en affirmant que 14% des Français travaillent plus de 11 heures, contre seulement 10% en moyenne à l'étranger, 10% pour les Anglais, 11% les Américains, 13% les Allemands, 10% les Indiens, 5% les Chinois, mais 17% les Brésiliens. "Loin des préjugés habituels, les collaborateurs hexagonaux semblent s'investir davantage au travail que leurs homologues internationaux" rapporte le document. Les hommes seraient en France 64% à passer plus de 9 heures par jour au bureau, contre 39% pour les femmes. Et ce sont les salariés des PME françaises qui obtiennent la palme du dévouement. Selon Regus, 60% des employés des petites entreprises travaillent plus de 9 heures par jour. "La frontière entre vie privée et professionnelle s'étiole" Les Français ne s'arrêtent pas non plus de travailler une fois franchies les portes du bureau. Pas moins de 46% des actifs emportent du travail à leur domicile plus de trois fois par semaine pour le terminer le soir, contre 43% au niveau international. Le chiffre des Français est égal à celui des Brésiliens, supérieur à celui des Anglais (43%), des Allemands (39), ou des Indiens (44%), mais largement inférieur à celui des Américains (56%). "Cette étude démontre que la frontière entre vie privée et vie professionnelle s'est très nettement étiolée. En France, la surconsommation de travail à long terme pourrait avoir des conséquences négatives à la fois sur la santé des actifs et sur la productivité dans son ensemble dans la mesure où des employés surmenés courent le risque de devenir insatisfaits et de souffrir d'un véritable déséquilibre entre la sphère privée et la sphère professionnelle", commente Frédéric Bleuse, directeur général France de Regus.

    http://lexpansion.lexpress.fr/carriere/les-francais-adeptes-des-longues-journees-au-bureau_270411.html

  • Les priorités des DRH

    Auteur(s) : Boston Consulting Group (BCG), World Federation of People Management Associations (WFPMA)
    Date de publication : octobre 2010
    Origine : BCG, WFPMA

    Quels sont les grands enjeux mondiaux en termes de ressources humaines ? Le Boston Consulting Group (BCG) vient de livrer la dernière édition de son étude mondiale, réalisée en association avec la World Federation of People Management Associations (WFPMA). Le millésime 2010 retient par rapport à 2008 quatre chantiers considérés comme prioritaires pour les DRH du monde entier sur les 21 points analysés dans le rapport. 1 - Le développement du leadership ; 2 - La gestion des talents ; 3 - L'engagement des collaborateurs ; 4 - La planification stratégique des effectifs.

    http://osha.europa.eu/fr/publications/reports/fr_esener1-summary.pdf

  • Stress au travail : des craintes et des remèdes

    Auteur(s) : Observatoire de la Vie au Travail (OVAT
    Date de publication : octobre 2010

    Pour la deuxième année consécutive, l'Observatoire de la vie au travail vient de livrer ses conclusions : les nouvelles ne sont pas bonnes. Cet automne, 65 % des salariés se sentent très exposés au stress, selon la seconde enquête nationale de l'Observatoire de la vie au travail, l'OVAT. Ils n'étaient que 55 % en 2009.

    http://blog.mars-lab.com/Evenements/ovat/ovat_2010/ovatmarsime10.pdf

  • L’emploi dans les très petites entreprises en juin 2009

    Auteur(s) : , Ministère de l’économie, de l’industrie et de l’emploi, Ministère du travail, des relations sociales, de la famille, de la solidarité et de la ville
    Date de publication : mars 2010
    Origine : DARES, Ministère, MINEFI

    Les très petites entreprises (TPE) regroupent 20 % de l’emploi salarié concurrentiel hors agriculture et hors intérim. Ces entreprises de 1 à 9 salariés recourent davantage à des formes d’emploi à durée limitée, au temps partiel ou à des contrats aidés par l’État que les entreprises de 10 salariés ou plus. Le temps partiel progresse dans les TPE, après un recul quasi régulier depuis juin 2002. En juin 2009, 26 % des salariés des TPE travaillent à temps partiel. En juin 2009, près de 10 % des salariés des TPE sont en contrat aidé, contre plus de 20 % dix ans auparavant. Sur le long terme, les dispositifs de formation en alternance représentent une part croissante des emplois aidés dans les TPE (78 % en juin 2009). La durée hebdomadaire moyenne de travail d’un salarié à temps complet s’établit à 36,6 heures dans les TPE en juin 2009. Cette durée moyenne est stable depuis 2006. En revanche, la durée hebdomadaire de travail des salariés des TPE à temps partiel recule en juin 2009, du fait de la progression des temps partiels très courts.

    http://www.travail-solidarite.gouv.fr/IMG/pdf/2010-014.pdf

  • Évaluer la performance économique, le bien-être et la soutenabilité

    Auteur(s) : Conseil d’analyse économique
    Date de publication : janvier 2010

    Le Conseil d’analyse économique (CAE) et son homologue allemand, le Conseil allemand des experts en économie, ont publié un rapport conjoint en décembre dernier. Celui-ci fait suite aux travaux de la commission Stiglitz-Sen-Fitoussi comme demandé par Angela Merkel et Nicolas Sarkozy. Ce rapport confirme les limites du PIB comme indicateur unique du bien-être, composante inséparable de la performance économique. Il souligne la variété des données nécessaires pour en fournir une mesure plus proche de la réalité mais rappelle également qu’un nombre restreint d’indicateurs reste nécessaire pour assurer une certaine lisibilité et donc utilité dans la prise de décisions. Enfin, il insiste sur l’importance de considérer le bien-être dans la durée et donc d’assurer un financement de la croissance à moyen-long terme (ce qui va à l’encontre des théories de la décroissance). Pour respecter ces différents objectifs, ce document présente un tableau de bord de 25 indicateurs relatifs à la performance économique, à la qualité de la vie et à la soutenabilité du bien-être dont vous pourrez trouver la liste ci-dessous. Le choix de ces 25 indicateurs a reposé sur 3 critères : la pertinence, la validité théorique reconnue par les chercheurs et la mesurabilité. Performance économique et Bien-être matériel 1. PIB par habitant, 2. PIB par heure travaillée, 3. Taux d’emploi pour les 15-64 ans, 4. Revenu national net par habitant, 5. Consommation finale par habitant, y compris la consommation finale des administrations, 6. Rapport inter-quintile dans la distribution des revenus (S80/S20). Qualité de la vie 7. Santé : Années potentielles de vie perdues, 8. Education : Étudiants âgés de 15 à 24 ans en pourcentage de la population du même groupe d’âge, 9. Activités personnelles : Employés en travail posté, 10. Participation à la vie politique et à la gouvernance : « Être à l’écoute et rendre compte », 11. Liens et rapports sociaux : Fréquence du temps passé avec d’autres personnes lors d’activités sportives, culturelles et communautaires, 12. Conditions environnementales : Exposition de la population urbaine à la pollution atmosphérique par particule, 13. Insécurité physique et économique : Taux d’absence de risque de pauvreté. Soutenabilité 14. Investissement net du secteur privé rapporté au PIB 15. Investissement dans la recherche et développement (R&D) rapporté au PIB 16. Solde budgétaire corrigé des variations cycliques 17. Ecart de soutenabilité des finances publiques représenté par l’indicateur « S2 » 18. Ratio du crédit privé total rapporté au PIB 19. Cours réel des actions (déflaté par les prix à la consommation) 20. Prix immobiliers réels (déflaté par les prix à la consommation) 21. Niveau des émissions de gaz à effet de serre 22. Emissions nationales de gaz à effet de serre par habitant 23. Productivité des matières premières de l’économie (PIB/DMI) 24. Consommation intérieure de matières premières par tête (DMC/habitant) 25. Indice d’abondance des oiseaux communs (36 espèces communes des champs)

    http://www.cae.gouv.fr/spip.php?article178

  • Baromètre de la conciliation entre vie professionnelle et vie familiale

    Auteur(s) : Observatoire de la Parentalité en Entreprise en 2010
    Date de publication : janvier 2010
    Origine : Viavoice

    En mars 2010, l’OPE a révélé les résultats du Baromètre de la conciliation entre vie professionnelle et vie familiale, une enquête réalisée par Viavoice sur 1000 salariés parents d’au moins un enfant de moins de 25 ans habitant au domicile. Pour 97% d’entre eux, l’équilibre entre vie professionnelle et vie familiale est un sujet de préoccupation important. 47 % des personnes interviewées s’estiment peu ou pas écoutées au sein de leur entreprise en tant que salariés-parents, et 72% d’entre eux pensent que l’entreprise pour laquelle ils travaillent « ne fait pas beaucoup de choses » pour les aider dans la conciliation de leur vie professionnelle et leur vie familiale.

    http://www.observatoire-parentalite.com/public/documents/resultats-volet-salaries-barometre-2010-de-la-conciliation-entre-vies-pro-et-familiale.pdf

  • L’entreprise du futur : pour 8 salariés sur 10, collaboration rime avec innovation

    Auteur(s) : Google Enterprise par Future Foundation, observatoire international des tendances sociétales et de consommation
    Date de publication : janvier 2010
    Origine : Google, Future Foundation

    Aujourd’hui, le monde du travail a évolué, c’est certain ! Alors que 81 % des salariés placent l’innovation en tête de leur préoccupation, 57 % plébiscitent l’aspect collaboratif. Percevant cet intérêt, Google Enterprise a confié la réalisation d’une étude sur « L’entreprise du futur » à Future Foundation, l’observatoire international des tendances sociétales et de consommation. Ce rapport indépendant met en évidence des conclusions primordiales sur l’impact de l’innovation technologique sur l’environnement de travail à venir pendant la prochaine décennie, en France, aux Etats-Unis, au Royaume-Uni, en Allemagne et au Japon. Le Web a considérablement modifié la façon de travailler au 21ème siècle d’un point de vue managérial, sociologique, psychologique et législatif. En effet, plus de 70 % des salariés des pays occidentaux interrogés estiment que les nouvelles technologies ont facilité leur vie professionnelle. En outre, 4 pays sur 5 affirment que la première évolution résultant de l’arrivée des nouvelles technologies dans leur entreprise est un assouplissement des méthodes de travail. Grâce à l’émergence des outils collaboratifs et aux technologies dites de « cloud computing », les utilisateurs n’ont jamais pu aussi facilement contribuer à la créativité du groupe, partager des idées et avis ou encore, atteindre un objectif commun.

    http://ftp-developpez.com/gordon-fowler/Google%20Enterprise%20-%20Etude%20Future%20of%20Work%20-%2007%2005%2010.pdf

  • Quel équilibre entre vie privée et vie professionnelle ?

    Auteur(s) : Eurofound
    Date de publication : novembre 2008

    Eurofound, la Fondation européenne pour l’amélioration de la qualité de vie et des conditions de travail a publié en novembre 2008 les premières conclusions de sa deuxième étude menée sur la qualité de vie en Europe auprès des 27 pays de l’Union européenne. Cette deuxième étude sur la qualité de vie en Europe constitue, selon Vladimir Spidla, commissaire européen chargé de l’Emploi, des Affaires sociales et de l’Egalité des chances, « une tentative hors norme d’apprécier la qualité de vie dans une large palette de pays ». Revenus, niveau de vie, santé, relations familiales… Autant de sujets sur lesquels 35 000 Européens des 27 pays de l’Union, ont exprimé leur niveau de satisfaction. Si les Européens se déclarent globalement satisfaits de la qualité de leur vie, ils sont en revanche plus sévères lorsqu’il s’agit d’évaluer l’équilibre qu’ils trouvent entre leur vie privée et leur vie professionnelle. Ainsi, 48 % des personnes bénéficiant d’un emploi rémunéré se déclarent être plusieurs fois par mois trop fatiguées par leur travail pour effectuer leurs tâches ménagères. 22 % disent l’être plusieurs fois par semaine. Enfin, près de 30 % des personnes interrogées avouent avoir du mal à faire face à leurs responsabilités familiales en raison du nombre d’heures passées au travail plusieurs fois par mois, et 11 % plusieurs fois par semaine.

    http://www.eurofound.europa.eu/publications/htmlfiles/ef0852.htm

  • Quelle mobilité géographique liée au travail ?

    Auteur(s) : Commission européenne
    Date de publication : octobre 2008

    Financée par la Commission européenne dans le cadre du sixième Programme-cadre pour la recherche et le développement technologique en Europe, cette vaste étude, qui a mobilisé une vingtaine de sociologues en France, en Suisse, en Allemagne, en Pologne, en Espagne et en Belgique, s’est attachée à étudier les mobilités géographiques professionnelles, leurs causes et leurs conséquences sur la qualité de vie des individus. Une personne active sur deux a fait l’expérience de la mobilité géographique pour raisons professionnelles : telle est la première conclusion de cette étude, qui montre par ailleurs que les déplacements quotidiens longues distances représentent la forme la plus fréquente de mobilité. 41 % des personnes mobiles passent au moins deux heures par jour dans les transports pour se rendre au travail et en revenir ; 29 % d’entre elles passent au moins 60 nuits par an loin de leur foyer. De façon paradoxale, les Européens se révèlent en revanche très enracinés. 14 % seulement ont déménagé à l’intérieur de leur pays, et l’émigration demeure très marginale. Si l’expérience de la mobilité professionnelle croît incontestablement, les Européens déménagent donc peu… et n’ont pas envie de le faire : ils envisagent plus facilement de faire des navettes vers leur lieu de travail, même si celui-ci est relativement éloigné. Selon les responsables de cette étude, « cette préférence, qui correspond à l’actuelle distribution des formes de mobilité, indique qu’ils cherchent un compromis entre des liens affectifs avec leur lieu de résidence et l’exigence de mobilité du marché du travail ».

    http://www.jobmob-and-famlives.eu/download/PressRelease_JobMobilitiesandFamilyLives_French.pdf

  • Le paradoxe du syndicalisme français : un faible nombre d’adhérents, mais des syndicats bien implantés

    Auteur(s) : Loup WOLFF
    Date de publication : janvier 2008
    Origine : Publication DARES

    Depuis une quinzaine d’années, la part des salariés syndiqués tend à se stabiliser autour de 8 %. Malgré la faiblesse du nombre de leurs adhérents, les organisations syndicales sont assez largement présentes sur les lieux de travail. Leur présence s’est même renforcée entre 1996 et 2005. Plus de 40 % des salariés déclarent en 2005 qu’un syndicat est présent sur leur lieu de travail, plus de la moitié dans leur entreprise ou leur administration

    http://www.travail-solidarite.gouv.fr/IMG/pdf/2008.04-16.1.pdf

  • Domicile-travail. Les salariés à bout de souffle

    Auteur(s) : LE BRETON (Eric)
    Date de publication : janvier 2008
    Origine : LES CARNETS DE L'INFO (Editeur )

    Ce livre s'inscrit dans un programme de recherche-action de l'Institut pour la ville en mouvement. De 2002 à 2005, l'auteur a exploré, grâce à des enquêtes auprès de jeunes en insertion et de demandeurs d'emploi, les liens existant entre mobilité quotidienne et insertion sociale et professionnelle. En 2006, il a enrichi ce travail en se centrant sur la question des mobilités quotidiennes et a enquêté auprès de salariés, de chefs d'entreprise, représentants syndicaux et patronaux. Eric Le Breton, maître de conférences à l'Université Rennes 2, fait, à partir de ces travaux, trois constats. Tout d'abord, la double fragmentation des espaces de la vie quotidienne et du travail crée des problèmes insolubles à un nombre croissant de salariés : il faut aller travailler de plus en plus loin, avec une zone périurbaine en explosion. Le transport devient une charge lourde. L'allongement des distances complique également la question de la garde des enfants. Enfin, sur un marché du logement de plus en plus tendu, l'accès au logement est un troisième élément à prendre en compte : les travailleurs doivent s'éloigner de plus en plus des zones périurbaines pour acquérir leur habitation. Mobilité quotidienne, mobilité résidentielle et garde d'enfants constituent ce que l'auteur appelle le "péri-travail". Ce livre présente les innovations qui existent dans ces trois domaines. Néanmoins, à l'heure de la flexicurité, l'auteur invite les pouvoirs publics et acteurs de l'entreprise à se saisir des enjeux qui émergent à la croisée des transformations des territoires et du travail

    http://www.actdoc.anact.fr/Record.htm?idlist=13&record=19156402124919746849

  • Qualité en matière de travail et d’emploi chez les femmes et les hommes – Un écart à prendre en considération

    Auteur(s) : Foundation
    Date de publication : janvier 2008
    Origine : Eurofound

    La prise en compte des questions de genre fait partie intégrante des recherches réalisées par la Fondation européenne pour l’amélioration des conditions de vie et de travail. L’analyse de la participation au marché du travail, des conditions de travail et de la situation qui en résulte sur le marché du travail fait apparaître des différences manifestes entre les hommes et les femmes. Le présent rapport insiste sur les principaux problèmes relatifs à la situation des femmes sur le marché du travail et indique en quoi consistent les barrières qui entravent leur participation à ce marché.

    http://www.eurofound.europa.eu/publications/htmlfiles/ef0839_fr.htm

  • La discrimination à l'emploi des seniors aux Etats-Unis

    Auteur(s) : NEUMARK (David)
    Date de publication : janvier 2008
    Origine : CONNAISSANCE DE L'EMPLOI (Revue 53)

    l'activité des travailleurs âgés constitue un sujet de préoccupation majeur pour les pouvoirs publics. Des mesures ont été prises pour lever les obstacles juridiques et limiter les désincitations monétaires à la poursuite d'une activité professionnelle. Une politique fédérale a été mise en place pour combattre les discriminations selon l'âge. Mais le cadre légal apparaît insuffisant, de nombreuses études ayant mis en évidence des pratiques discriminatoires. Pour aider les décideurs politiques à relever le défi du vieillissement démographique, l'auteur conclut que la recherche devrait s'attacher à mieux comprendre les mécanismes des discriminations, en incluant celles liées au genre, à l'origine ethnique ou géographique.

    http://www.actdoc.anact.fr/Record.htm?idlist=88&record=19155587124919737699

  • Un travail attractif pour tous: Contributions à la stratégie de Lisbonne au niveau de l’entreprise

    Auteur(s) : Housset, Bernard
    Date de publication : janvier 2008
    Origine : Eurofound

    Le projet de Eurofound «Un travail attractif pour tous: Contributions à la stratégie de Lisbonne au niveau de l’entreprise» a pour but d’identifier et analyser des études de cas d’entreprises dans 7 pays (Autriche, France, Allemagne, Italie, Pays-Bas, Suède et Royaume-Uni), en montrant comment la stratégie de Lisbonne a été comprise et appliquée sur le terrain au niveau des entreprises. L’engagement des partenaires sociaux au niveau des entreprises et des secteurs représente un aspect significatif du développement de ces politiques et de leurs résultats

    http://www.eurofound.europa.eu/pubdocs/2008/29/fr/1/ef0829fr.pdf

  • A propos du "travail soutenable". Les apports du séminaire interdisciplinaire "Emploi soutenable, carrières individuelles et protection sociale

    Auteur(s) : GOLLAC (Michel) ; GUYOT (Sandrine) ; VOLKOFF (Serge
    Date de publication : janvier 2008
    Origine : CENTRE D'ETUDES DE L'EMPLOI (Editeur

    Entre juin 2005 et janvier 2007 un séminaire a réuni, au Centre d'études de l'emploi, des chercheurs de diverses disciplines, sociologie, ergonomie, économie, gestion, démographie, épidémiologie, psychologie, autour de la thématique générale "Emploi soutenable, carrières individuelles et protection sociale". Quatorze sessions d'une demi-journée ont eu lieu, espacées de quelques semaines. Les participants étaient, soit des membres permanents, soit des orateurs sollicités pour une séance particulière, soit plus rarement, d'autres chercheurs ou praticiens directement concernés par le thème abordé. Chaque séance comportait un ou deux exposés et un large temps de discussion. Les auteurs ont cherché à regrouper dans une même séance des exposés portant sur un objet commun, mais abordé au travers de prismes disciplinaires et/ou méthodes d'analyse différents. Les séances ont fait l'objet d'une retranscription analytique, et non littérale, sous la responsabilité des animateurs scientifiques du séminaire : M. Gollac, S. Guyot et S. Volkoff. Ces retranscriptions, ainsi qu'une présentation synthétique de l'ensemble, rédigée par ces trois auteurs, constituent ce rapport.

    http://www.cee-recherche.fr/fr/rapports/48-travail-soutenable-seminaire-interdisciplinaire-carriere-individuelle-protection-sociale.pdf

  • Rapport d'activité 2007-2008 et compte rendu des travaux sur le thème " Orientation et insertion professionnelle : vers un rééquilibrage entre femmes et hommes dans tous les métiers"

    Auteur(s) : GAUTIER (Gisèle)
    Date de publication : janvier 2008
    Origine : SENAT (Editeur )

    La délégation du Sénat aux droits des femmes et à l'égalité des chances entre les hommes et les femmes s'est plus particulièrement intéressée au thème de l'orientation et de l'insertion professionnelle, sous l'angle d'un nécessaire rééquilibrage entre femmes et hommes dans l'ensemble des métiers. Les réflexions de la délégation sur ce thème s'articulent autour de trois axes dans ce rapport : - la réussite scolaire des femmes n'a pas encore eu raison de leur ségrégation professionnelle ; - la contribution du système éducatif à l'égalité passe par une révision du système d'orientation et une complémentarité de tous les acteurs ; - freinée par un déficit d'information, l'insertion professionnelle des femmes dans des métiers traditionnellement masculins doit être facilitée. La délégation propose, en vingt-cinq recommandations, quelques mesures susceptibles de favoriser une plus grande mixité professionnelle dans tous les secteurs d'activité.

    http://www.actdoc.anact.fr/Record.htm?idlist=15&record=19156561124919747439

  • Nouvelles technologies et gestion des personnes

    Auteur(s) : SILVA (François
    Date de publication : janvier 2008
    Origine : PERSONNEL ANDRH (Revue n°489)

    L'objectif de ce dossier est de comprendre les transformations que l'organisation du travail vit actuellement. Quelle part peut être imputée aux nouvelles technologies ? Quelles sont les conséquences de leur utilisation ? Le processus d'appropriation des utilisateurs n'est souvent pas si simple. Il faut du temps dans la mise en place de ces technologies avec ses conséquences organisationnelles et techniques. Les entreprises subissent donc par à-coups ces transformations sans anticiper véritablement les conséquences. Hors, il est de la responsabilité des entreprises de bien comprendre les impacts économiques, sociales et environnementales intégrant notamment le débat sur l'éco-conception qui intègre les notions d'efficacité et d'efficience. Les outils nomades de communication permettent d'avoir une certaine autonomie mais aussi, des astreintes et des sollicitations permanentes. Une entreprise se doit donc d'être proactive sur ces questionnements

    http://www.actdoc.anact.fr/Record.htm?idlist=111&record=19155563124919737459

  • Working conditions and social dialogue

    Auteur(s) : Auteur moral FONDATION EUROPEENNE POUR L'AMELIORATION DES CONDITIONS DE VIE ET DE TRAVAIL
    Date de publication : janvier 2008
    Origine : FONDATION EUROPEENNE POUR L'AMELIORATION DES CONDITIONS DE VIE ET DE TRAVAIL (Editeur

    Elaboré à partir de synthèses nationales, ce rapport européen examine les liens qui peuvent exister entre conditions de travail et dialogue social. Il met en évidence des cas où le dialogue social a eu un impact sur les conditions de travail. Cet impact est pris en compte à tous les niveaux - national, sectoriel, ainsi qu'au niveaux des entreprises et des lieux de travail. Le rapport s'intéresse particulièrement à la question de la santé et la sécurité au travail. La première partie s'intéresse aux rapports de recherche, en mettant en évidence les conclusions des enquêtes, à la fois quantitatives et qualitatives, qui ont identifié un lien entre le dialogue social et les conditions de travail. La deuxième partie recence des études de cas où un impact du dialogue social sur les conditions de travail a été observé. Quelques expériences de dialogue social inachevées sont également présentées, avec une analyse des facteurs d'échec. Enfin, le rapport tire des enseignements pour l'avenir.

    http://www.actdoc.anact.fr/Record.htm?idlist=142&record=19155278124919734509

  • L'intégration dans l'entreprise. Travailler en coopération

    Auteur(s) : MAURICE-DESBAT Odile
    Date de publication : janvier 2008
    Origine : EDITIONS DE L'ANACT (Editeur )

    L'intégration des salariés dans l'entreprise ne va pas de soi. Nombreux sont les nouveaux embauchés qui rompent leur contrat de travail avant la fin de la période d'essai. La mécanique de prise de fonction et de fidélisation des salariés n'est pas un processus évident. L'ouvrage expose quelques points de repère et des modalités concrètes qui s'appuient en particulier sur les coopération entre les acteurs de l'entreprise, les personnes en recherche d'emploi et les acteurs intermédiaires qui jouent un rôle entre le besoin de recrutement et les personnes qui peuvent y répondre. Les auteurs développent trois phases du processus d'intégration qui passe par l'analyse des besoins et des attentes, le recrutement et le temps d'adaptation et la stabilisation et fidélisation dans l'entreprise. Par ailleurs, ils présentent sept démarches de coopération qui illustrent soit une partie du processus, soit l'ensemble et démontrent la réalité et les potentialités de cette large approche d'intégration dans les entreprises.

    http://www.somabec.com/9782913488502/L_INTEGRATION_DANS_L_ENTREPRISE__TRAVAILLER_EN_COOPERATION.htm?ANACT

  • Entre grèves et conflits : les luttes quotidiennes au travail

    Auteur(s) : Sophie Béroud, Jean-Michel Denis, Guillaume Desage, Baptiste Giraud, Jérôme
    Date de publication : janvier 2008
    Origine : centre d'études de l'emploi

    Les mouvements de grève dans les services publics déclenchent, de façon récurrente, des commentaires « définitifs » sur des conflits du travail devenus l’apanage de quelques « catégories privilégiées ». Les agents du public, cheminots en tête, abuseraient de l’arme de la grève alors que, dans un secteur industriel exsangue, les salariés confrontés aux délocalisations et aux fermetures d’usine, s’orienteraient vers des formes d’action radicales. L’objet de ce rapport consiste à déconstruire ces représentations dominantes en les soumettant à un examen critique et informé. La réalité des conflits du travail en France, dans l’ensemble du secteur marchand, demeure, de fait, largement méconnue. L’intensité des grèves dans les entreprises s’est indéniablement affaiblie au cours des trois dernières décennies, sans pour autant signifier la disparition des conflits dans le monde du travail. L’exploitation d’enquêtes statistiques initiées par le ministère de l’Emploi tend même plutôt à montrer une hausse significative du nombre d’établissements touchés par des conflits sociaux entre 1998

    http://www.cee-recherche.fr/fr/rapports/49-greves-conflits-luttes-travail.pdf

  • Litterature study on migrant workers

    Date de publication : janvier 2008
    Origine : AGENCE EUROPEENNE POUR LA SECURITE AU TRAVAIL (Editeur

    Dans un rapport de l'Agence européenne pour la sécurité et la santé au travail (EU-OSHA), l'Observatoire des risques (ERO) donne un aperçu des problèmes de sécurité et de santé au travail des travailleurs migrants. L'immigration offre aux travailleurs des possibilités de carrière. Toutefois, elle implique aussi, souvent, une déqualification et une perte de mobilité sociale qui sont à l'origine de problèmes de santé et de séc

    http://www.actdoc.anact.fr/Record.htm?idlist=3&record=19153023124919712059

  • Place et sens du travail en Europe : une singularité française ?

    Auteur(s) : DAVOINE (Lucie) ; MEDA (Dominique)
    Date de publication : janvier 2008
    Origine : CENTRE D'ETUDES DE L'EMPLOI (Editeur )

    L'examen des données françaises et européennes montre que les Français entretiennent un rapport singulier au travail. Plus encore que les autres Européens, les Français déclarent en effet que le travail est très important dans leur vie, mais, plus que les autres, ils souhaitent que le travail prenne moins de place dans leur vie. Comment expliquer ce paradoxe ? L'objectif premier de cette étude est de comprendre la diversité des perceptions en Europe et de proposer des interprétations qui permettraient d'avancer dans la résolution de ce paradoxe. Son originalité provient en partie de la confrontation des résultats des diverses enquêtes françaises et internationales sur ces questions, qui restent aujourd'hui épars et peu diffusés. Dans un premier temps, les auteurs analysent les déterminants de l'importance accordée au travail et les sens que peut revêtir cette notion. Deux hypothèses sont mobilisées pour expliquer les réponses des Français : d'une part, le taux de chômage élevé, la prégnance de l'emploi précaire et un fort sentiment d'insécurité de l'emploi ; d'autre part, les attentes plus fortes à l'égard de l'intérêt du travail. Les Français se distinguent en effet par des attentes de réalisation dans le travail plus intenses que celles de leurs voisins européens. Dans une seconde partie, les auteurs cherchent à comprendre pourquoi les Français considèrent que ce serait une bonne chose que le travail occupe une place moins grande dans leur vie.

    http://www.actdoc.anact.fr/Record.htm?idlist=63&record=19155986124919731689

  • Le champ des conditions de travail aux USA

    Auteur(s) : PELLETIER (Julien)
    Date de publication : janvier 2008
    Origine : EDITIONS DE L'ANACT (Editeur )

    Les Etats-Unis présentent un très faible taux de chômage depuis longtemps et figurent toujours largement en tête du classement mondial de la productivité par personne employée. L'accélération de la croissance de la productivité aux États-Unis a ainsi distancé celle de nombreux autres pays industrialisés. Dans le même temps, les statistiques du BLS (bureau des statistiques du ministère du travail américain) indiquent une diminution très significative des accidents mortels au travail, des accidents graves et des TMS. La Mobilité professionnelle est très forte et le turn-over important. Enfin, le taux d'activité des seniors était de 4 points pour les USA en 2004 (pour seulement 2 en France). Emploi, productivité, santé au travail, mobilité professionnelle, activité des seniors... Julien Pelletier, Responsable Veille, Prospective et International de l'Anact, a réalisé un voyage d'étude aux USA où il a rencontré des acteurs oeuvrant sur le champ des conditions de travail : institutionnels, chercheurs universitaires, organismes privés d'enquêtes, consultants, l'AFL-CIO ainsi que le conseiller social de l'ambassade de France. Fruit de ce voyage d'étude, son rapport d'étonnement "le champ des conditions de travail aux USA" n'a pas pour objectif d'évaluer les USA et leurs pratiques, ni même de les comparer aux nôtres. Ce qui a guidé Julien Pelletier lors de son investigation est un double objectif : * La recherche des convergences entre des praticiens ou des approches de chaque côté de l'Atlantique, afin de mettre en place des coopérations et des échanges. * Mettre à jour des différences pertinentes afin de susciter l'innovation.

    http://www.actdoc.anact.fr/Record.htm?idlist=101&record=19155969124919731419

  • Sens du travail et rapports vie de travail

    Auteur(s) : CAMPS E.
    Date de publication : janvier 2008
    Origine : Psychologie du travail et des organisations, volume 14, n° 1, pages 77 à 92

    Le télétravail, appelé aussi travail à distance, se décline selon trois formes de base : le télétravail à domicile, le travail en mode alterné et le télétravail nomade. Ces formes sont comparées entre elles et à la forme d'emploi classique pour identifier leurs effets respectifs sur la centralité relative du travail, la représentation sociale de celui-ci et les rapports vie de travail - vie hors travail. Le télétravail nomade s'accompagne d'une plus forte centralité du travail alors que le travail en mode alterné conduit à une augmentation de la centralité de la famille. Sur le plan de la représentation, le travail ne peut être envisagé sans la notion de contraintes chez les télétravailleurs nomades et les travailleurs classiques. Au niveau des échanges entre la vie de travail et la vie hors travail, les travailleurs classiques séparent leurs domaines de vie alors que les travailleurs en mode alterné et les télétravailleurs à domicile les concilient. Cette étude corrobore l'idée selon laquelle il est préférable, non pas de raisonner globalement pour étudier le travail à distance, mais de tenir compte des spécificités de chacune des formes de télétravail implantées ou à instaurer au sein d'une organisation.

    http://www.inrs.fr/

  • La loi d'obligation d'emploi des travailleurs handicapés du 10 juillet 1987 : éléments de bilan

    Auteur(s) : AMIRA (Selma)
    Date de publication : janvier 2008
    Origine : PREMIERES SYNTHESES (Revue n°28.1)

    La loi d'obligation d'emploi des travailleurs handicapés du 10 juillet 1987 a été la première à imposer une contrepartie financière pour les établissements qui ne remplissent pas leur quota d'emploi de travailleurs handicapés. Jusqu'en 2005, fin de la période d'application de cette loi, un tiers des établissements assujettis ont choisi d'utiliser la seule contribution financière pour remplir leur obligation plutôt que d'avoir recours aux autres modalités possibles que sont l'emploi direct de personnes handicapées, leur accueil comme stagiaires de la formation professionnelle, la sous-traitance avec le secteur du travail protégé et la conclusion d'un accord spécifique à l'insertion professionnelle de personnes handicapées. Néanmoins au cours des années, les établissements ont combiné de plus en plus ces différentes modalités. Les établissements relevant d'un accord spécifique ont été de plus en plus nombreux à partir des années 2000. L'emploi direct de travailleurs handicapés a aussi augmenté de 2000 à 2005. Les petits établissements continuent à employer proportionnellement moins de salariés handicapés que les grands. Par ailleurs, ce sont les secteurs de la construction et de l'industrie qui en emploient proportionnellement le plus, secteurs où les accidents du travail et les maladies professionnelles sont les plus fréquents.

    http://www.travail-emploi-sante.gouv.fr/etudes-recherche-statistiques-de,76/etudes-et-recherche,77/publications-dares,98/dares-analyses-dares-indicateurs,102/2008-28-1-la-loi-d-obligation-d,8252.html

  • Annual review of working conditions in the EU 2007­2008

    Auteur(s) : FONDATION EUROPEENNE POUR L'AMELIORATION DES CONDITIONS DE VIE ET DE TRAVAIL
    Date de publication : janvier 2008
    Origine : FONDATION EUROPEENNE POUR L'AMELIORATION DES CONDITIONS DE TRAVAIL (Editeur

    http://www.eurofound.europa.eu/pubdocs/2008/53/en/1/ef0853en.pdf

  • Organisation du travail dans la semaine des individus et des couples actifs : Le poids des déterminants économiques et sociaux

    Auteur(s) : Laurent Lesnard et Thibaut de Saint Pol en 2008
    Date de publication : janvier 2008
    Origine : Science Po/CNRS

    Le recueil d’un semainier dans lequel les personnes actives ont noté leurs heures de travail pendant une semaine lors de l’enquête Emploi du temps, menée par l’Insee en 1999, permet d’analyser le rythme hebdomadaire du travail en France au regard de la position sociale et des caractéristiques sociodémographiques, individuelles et familiales. Une typologie des semaines de travail est construite en appliquant en deux étapes une méthode d’appariement optimal, d’abord sur les jours travaillés, puis sur les semaines simplifiées à l’aide des types de journées. Les journées contenues dans les semainiers sont de cinq types : des journées de travail standard, décalées, longues, fragmentées et des journées de repos. Les journées apparaissent fortement différenciées selon la catégorie socioprofessionnelle, le type d’emploi, le secteur d’activité, mais aussi le genre. De fortes régularités apparaissent également à l’échelle de la semaine.

    http://www.insee.fr/fr/ffc/docs_ffc/ES414C.pdf

  • La reconnaissance au travail. Outil de diagnostic, démarches GRH, enjeu de santé.

    Date de publication : janvier 2008
    Origine : Travail et changement, n° 317, janvier-février 2008, pages 1 à 15

    Si les salariés ont parfois le sentiment de ne pas être reconnus à leur juste valeur, la donne change aujourd'hui avec la baisse du chômage, le papy-boom et les difficultés pour recruter ou conserver un collaborateur. Le capital humain s'installe bien comme condition essentielle de la compétitivité et les conditions de travail deviennent alors des composantes incontournables de l'attractivité des entreprises. Ce numéro comporte 4 principaux volets : tout d'abord, les enjeux de cette problématique sont évoqués, ainsi que la nécessité de mettre en place un outil d'analyse et de diagnostic. Le 2e volet rapporte plusieurs témoignages des invités du réseau Anact qui développent les aspects suivants : la nécessité d'amener les salariés à se reconnaître dans leur travail ; la reconnaissance en tant que pratique à visage humain. La 3e partie est consacrée à l'expérience des entreprises (marketing, automatisation et systèmes de distribution, insertion sociale et professionnelle des handicapés, fabrication de mousses synthétiques, établissement hospitalier). Enfin, le dossier ouvre une réflexion sur les éléments incontournables pour guider l'action en évoquant 3 points de vigilance.

    http://www.inrs.fr/

  • Working conditions of an ageing workforce

    Date de publication : janvier 2008
    Origine : FONDATION EUROPEENNE POUR L'AMELIORATION DES CONDITIONS DE VIE ET DE TRAVAIL (Editeur

    bénéficient d'une bonne autonomie dans leur activité professionnelle et un faible niveau d'intensité au travail. Cependant, ils ont peu d'opportunité en ce qui concerne leur participation dans de nouvelles formes organisationnelles, l'accès à la formation et apprenant de nouvelles choses au travail. Dans ce contexte, il est important de contrôler les conditions de travail des salariés approchant de l'âge de la retraite pour déterminer les facteurs qui les poussent à une sortie précoce du marché du travail. Dans le même temps, il s'avère tout aussi opportun de contrôler le caractère durable de travail des salariés les plus jeunes et d'âge intermédiaire, qui sont confrontés à des risques de précarité de l'emploi et d'exposition de leur santé. Les conclusions de Fondation européenne sur cette enquête montrent que l'amélioration des conditions de travail facilite les trajectoires professionnelles à tous les âges, permet l'allongement de l'activité professionnelle et encourage ainsi le renforcement du taux d'emploi des travailleurs âgés. le rapport passe en revue les carrières et la sécurité de l'emploi, la santé et bien être, le développement des compétences, la conciliation vie professionnelle, vie

    http://www.eurofound.europa.eu/pubdocs/2008/17/en/2/EF0817EN.pdf

  • Quatrième enquête européenne sur les conditions de travail

    Auteur(s) : PARENT-THIRION (Agnès) ; VERMEYLEN (Greet) ;
    Date de publication : janvier 2008
    Origine : FONDATION EUROPEENNE POUR L'AMELIORATION DES CONDITIONS DE TRAVAIL (Editeur

    Les responsables politiques de l'Union européenne reconnaissent que l'amélioration des conditions de travail est cruciale pour réaliser une meilleure qualité de la vie professionnelle, accroître la productivité et augmenter l'emploi ­ les objectifs de Lisbonne. Dans ce contexte, l'enquête européenne sur les conditions de travail, réalisée tous les cinq ans par la Fondation, fournit des informations précieuses sur l'évolution des aspects clés du travail depuis 1990. Ce rapport analyse les résultats de la quatrième enquête européenne sur les conditions de travail, réalisée au cours de l'automne 2005 dans 31 pays, dont les 27 États membres de l'Union européenne. Basé sur les réponses de travailleurs, il donne un aperçu large et varié des dimensions physiques, intellectuelles et psychologiques du travail et de son impact sur l'épanouissement personnel et sur l'équilibre vie-travail

    http://www.actdoc.anact.fr/Record.htm?idlist=50&record=19153348124919715209

  • Intensité du travail et mobilité professionnelle

    Auteur(s) : AMOSSE T. ; GOLLAC M.
    Date de publication : janvier 2008
    Origine : Travail et emploi, n° 113, janvier-mars 2008, pages 59 à 73

    Partant du double constat de la rapide intensification du travail observée au cours des années 80 et 90 et de la difficulté qu'il peut y avoir à soutenir un travail intense, les auteurs examinent le lien qui existe entre les contraintes de rythme vécues dans le travail et les changements de situation professionnelle. A la lumière de la littérature, ils formulent l'hypothèse d'un double effet de l'intensité du travail sur les carrières : positif pour les salariés qui ont les moyens de faire face aux contraintes subies, négatif pour les autres. L'enquête sur la Formation et qualification professionnelle (FQP), qui comporte un calendrier professionnel sur 5 ans et un questionnement rétrospectif sur les conditions de travail, a permis de vérifier empiriquement cette hypothèse. Les auteurs trouvent, en effet, que les contraintes de rythme sont associées à des mobilités plus nombreuses et qu'elles contribuent à une certaine divergence des carrières. En conclusion, si la forte intensité du travail ne semble pas avoir d'effet uniformément néfaste sur les carrières, elle paraît bien associée à une plus grande incertitude et à une polarisation marquée des trajectoires. Ces résultats font écho au lien positif observé entre intensité et souffrance au travail dans des études antérieures. Si le travail lui-même crée de l'insécurité, aucun dispositif d'encadrement du marché du travail n'est susceptible de protéger efficacement les individus. Plus largement, ces résultats semblent poser la question du caractère soutenable des organisations du travail intensives non pas seulement pour les individus, mais pour la société dans son ensemble.

    http://www.inrs.fr/

  • Pourquoi travaillons-nous ? Une approche sociologique de la subjectivité au travail

    Auteur(s) : LINHART D. (Ed).
    Date de publication : janvier 2008
    Origine : Clinique du travail. Editions Erès

    La question que pose cet ouvrage est un enjeu central dans la compréhension du monde actuel, le phénomène des suicides au travail venant en rappeler régulièrement les aspects inquiétants. À partir de dix enquêtes de terrain, les auteurs proposent une analyse de l'engagement subjectif au travail dont le management entend faire, aujourd'hui, un outil de performance. Loin d'être une simple forme d'adhésion ou de subordination aux objectifs de leur entreprise, de se limiter à une seule aventure personnelle liée à une biographie particulière, l'implication subjective au travail traduit aussi un engagement envers la société qui autorise à parler de subjectivité collective. L'ouvrage cherche à définir de quoi elle est faite, la façon dont elle se manifeste et est investie par le management modernisateur, ainsi que son impact sur notre société et l'impact de notre société sur son contenu.

    http://www.inrs.fr/

  • Le faux consensus sur l'emploi des seniors

    Auteur(s) : Guillaume Huyez-Levrat
    Date de publication : janvier 2008
    Origine : centre d'études de l'emploi

    La CFDT, signataire de l’ANI sur l’emploi des seniors, a souhaité disposer d’éléments d’analyse sur la mise en œuvre d’actions pour l’emploi des seniors et sur la prise en compte de ces objectifs par ses équipes. L’étude analyse les raisons pour des entreprises (neuf monographies) d’agir sur l’emploi des seniors – soit pour chercher à les conserver, soit pour en recruter en réponse à leurs problématiques de ressources humaines ainsi que les raisons des salariés eux-mêmes de vouloir rester en emploi. Elle met en évidence un décalage entre ces raisons locales et les registres argumentatifs mobilisés par les pouvoirs publics et les partenaires sociaux à leur niveau central pour justifier les politiques de vieillissement actif. On est alors face à un « faux consensus » sur l’emploi des seniors. Les justifications de type économiques (pénurie de main d’œuvre, financement des systèmes de protection sociale par exemple) et civiques (lutte contre les discriminations âgistes) aux objectifs d’allongement des carrières mobilisés par les pouvoirs publics et les confédérations syndicales de travailleurs et patronale ne font majoritairement pas sens pour les acteurs locaux. En outre, l’utilisation des critères d’âges pour organiser les parcours professionnels et l’utilisation des plus âgés comme variable d’ajustement dans les opérations de recomposition quantitative et qualitative de la force de travail résulte d’un compromis social vieux de plus d’un siècle qu’il est difficile de renverser. Surtout, sortir de cette logique imposerait d’accepter que d’autres mécanismes soient mis en oeuvre pour organiser la sélection et la hiérarchisation des travailleurs et de forger un nouveau consensus social sur l’évaluation par les compétences. Un tel choix ne va pas de soi, notamment parce que faute de savoir quoi faire de ceux qui seraient les perdants d’un tel mécanisme, le risque est grand de voir s’accroître la polarisation du marché du travail. Quelques pistes d’action sont données pour dépasser ce faux consensus. Elles visent : les intermédiaires de l’emploi qui doivent être en capacité de casser l’homogénéité des recrutements ; les entreprises qui doivent pouvoir agir sur les différentes facettes de la motivation des travailleurs ; les équipes syndicales qui doivent pouvoir s’engager dans une négociation sur les compétences. Il ne s’agit pas ici de dire que ces trois acteurs doivent se limiter à un seul type d’action. Au contraire, intermédiaires de l’emploi, syndicats et organisations patronales (et en particulier les fédérations professionnelles) doivent être en mesure d’engager un dialogue soutenu sur chacune de ces questions. L’analyse s’appuie d’une part, sur un état des lieux de la littérature existante sur ce sujet afin de replacer les observations dans un cadre historique et social ; d’autre part, sur la réalisation de monographies dans neuf entreprises relevant de secteurs d’activités (Cafés-Hôtels-Restaurants, Transports routiers, Banque…) connaissant des problématiques en termes de pénurie de main d’oeuvre, de stabilisation du personnel et de changements organisationnels. L’observation a privilégié des secteurs connaissant des difficultés spécifiques liées à la pénurie de main d’oeuvre ou à la stabilisation du personnel qualifié, en faisant l’hypothèse que les entreprises de ces secteurs seraient plus sensibilisées à la question du maintien en emploi des seniors, voire à leur recrutement. Des entretiens ont été réalisés avec des salariés, des militants syndicaux et des responsables de ressources humaines.

    http://www.cee-recherche.fr/fr/rapports/44-Rapport-Huyez-Levrat.pdf

  • La reconnaissance au travail : outil de diagnostic, démarches GRH, enjeux de santé (dossier)

    Auteur(s) : JOUVENOT (Christian) ; PIERRE (Christèle) ; SARAZIN (Béatrice) ;
    Date de publication : janvier 2008
    Origine : TRAVAIL ET CHANGEMENT (Revue

    Compétition accrue, augmentation des exigences de qualité, de délais, devoir de réactivité ... Difficile dans ce contexte pour les dirigeants d'entreprise de se soucier de la performance sans considérer que la reconnaissance des salariés a une incidence forte sur leur engagement dans le travail. D'autant qu'il est avéré que l'absence de reconnaissance est un facteur négatif sur la santé des salariés. L'ambition de ce numéro est d'apporter une expertise aux entreprises pour favoriser la reconnaissance autrement que par la rémunération uniquement et en faire un objet du dialogue social. L'entreprise qui engage le dialogue de la reconnaissance pour améliorer ses pratiques, est amenée à comprendre comment les situations de travail, les relations de travail et les conditions d'emploi contribuent à la reconnaissance des individus, désireux d'être considérés comme des acteurs à part entière. Ce numéro propose une interview de G.Fernandez, de la chaire de psychologie du travail du CNAM, qui a mis en place des procédures et des dispositifs d'études des salariés en situation de travail pour les amener à se reconnaître dans leur travail. La parole est ensuite donnée à trois organisations syndicales, FO, CFE-CGC et UPA sur la reconnaissance en tant qu'élément fondamental des relations sociales et du dialogue dans les entreprises. Cinq cas d'entreprises illustrent le

    http://www.actdoc.anact.fr/Record.htm?idlist=50&record=19152514124919707969

  • Les services d'information, de conseil et d'orientation professionnelle des adultes : un appui aux transitions professionnelles

    Auteur(s) : PEREZ (Coralie) ; PERSONNAZ (Elsa) ; CUNTIGH (Philippe) ; SEGAS (Sébastien
    Date de publication : janvier 2008
    Origine : CENTRE D'ETUDES ET DE RECHERCHES SUR LES QUALIFICATIONS (Editeur

    Tout d'abord, les auteurs montrent comment s'est manifesté le regain d'intérêt pour l'orientation professionnelle des adultes ces dernières années et le contexte qui peut contribuer à l'expliquer. L'orientation professionnelle des adultes comme champ d'intervention publique apparaît segmentée selon le "public" concerné, et en recherche de régulation que ce soit au niveau national ou régional. Il semble pourtant que, quel que soit le segment (demandeurs d'emploi, salariés), une tendance forte est à l'oeuvre pour faire de l'orientation un "facilitateur" des transitions sur le marché du travail. Dans une seconde partie, ils traitent des manières dont l'orientation professionnelle est mise en pratiques par ses acteurs (privé, public) et les relations qui les unissent. Ils évoquent à ce propos le "quasi-marché" de l'orientation pour désigner le fait qu'un certain nombre de prestations (délivrées par des structures publiques et/ou privées) sont accessibles aux individus qui peuvent agir comme des clients face à une offre de service, à la différence qu'un tiers (le plus souvent l'État) paie la prestation. Cette caractérisation des relations économiques doit néanmoins être nuancée selon que ces services s'adressent aux demandeurs d'emploi ou aux salariés. La troisième partie aborde aussi la fourniture des services mais cette fois sous l'angle des professionnels : qui sont-ils (formation, expérience...) ? En quoi consiste leur activité ? Quelles sont leurs conditions d'emploi ? Comment leur activité est-elle "impactée" par les transformations à l'oeuvre dans ce champ ? Enfin, la dernière partie comporte une dimension comparative en intégrant les différents pays concernés par l'étude dans le cadre de la typologie des programmes et services d'orientation professionnelle. Issue de l'ensemble des études de cas réalisées, elle présente l'intérêt de tenter une synthèse, une mise en cohérence des différentes dimensions abordées précédemment : quels usagers sont concernés par quelles prestations, par qui sont-elles dispensées, sur quels types de marchés, avec quels objectifs et dans quelles conditions

    http://www.cereq.fr/pdf/relief27.pdf

  • Les individus sont-ils des "caméléons de bureau" ?

    Auteur(s) : OPP
    Date de publication : novembre 2007

    Une étude réalisée par OPP, spécialiste des questionnaires psychométriques, révèle que 50 % des employés européens disent adopter un comportement différent au travail et dans la vie privée. Une attitude qui peut avoir des conséquences sur le niveau de stress et la productivité de chacun. Cette enquête a été réalisée dans six pays européens : la Belgique, le Danemark, l’Allemagne, la France, l’Irlande, les Pays-Bas et le Royaume-Uni. 50 % des employés à temps plein disent avoir un comportement différent au travail et dans la vie privée. Un tiers des candidats affirment changer de personnalité lors de leur entretien d’embauche, 40 % ont une image de leur manager différente de celle qu’ils se faisaient pendant cet entretien. Si les Britanniques arrivent largement en tête (64 %), les Français ne sont pas en reste : 46 % reconnaissent modifier délibérément leur attitude au travail. Ce phénomène que les psychologues nomment la "désirabilité sociale", technique par lequel les individus tentent de contrôler l’image que les autres ont d’eux, n’est pas sans conséquence puisqu’il nuit à l’engagement personnel et contrarie les potentiels. Ainsi, 35 % des employés trouvent qu’il est éprouvant de changer de personnalité en fonction des situations. 28 % considèrent même que cela accroît leur niveau de stress. De ce fait, leur productivité et leur performance peuvent s’en trouver affectées.

    http://www.neodialogue.fr/wp-content/etudequidupequi.pdf

  • Enchantement et domination : le management de la docilité

    Auteur(s) : Vincent Petitet
    Date de publication : janvier 2007
    Origine : Ecole Normale Supérieure

    Cet ouvrage s’inscrit dans une approche communicationnelle de l’organisation, en analysant tous les dispositifs qui concourent à normaliser les comportements relationnels des consultants d’un grand cabinet de conseil étatsunien (Merton) implanté dans le monde entier. Pour ce faire, l’auteur décortique les mécaniques discursives, comportementales, relationnelles et managériales qui forgent un cadre normatif qui ne dit pas son nom, mais dont la puissance irrigue toute l’entreprise. Il invite son lecteur à entrer dans les coulisses de cette fabrication multiforme.

    https://communication.revues.org/3636

  • Les grands enjeux des ressources humaines en Europe à l'horizon 2015

    Auteur(s) : STRACK (Rainer)
    Date de publication : janvier 2007
    Origine : Boston Consulting Group (Editeur )

    A l'horizon 2015, les entreprises auront cinq grands défis à relever dans la "gestion du capital humain", indique cette étude sur les futurs enjeux RH dans 27 pays européens, réalisée par le BCG (Boston Consulting Group), l'EAPM (Association européenne pour la direction du personnel) et l'ANDRH (Association nationale des directeurs des ressources humaines). Selon le BCG, les entreprises devront d'abord apprendre à "gérer les talents", c'est-à-dire, "savoir attirer et gérer efficacement des individus à haut potentiel du monde entier". L'étude estime que le nombre d'entreprises délocalisant en Inde, notamment, pour y recruter des salariés hautement qualifiés, va tripler dans les cinq à huit prochaines années.Le second défi auquel doivent faire face les entreprises est d'ordre démographique : il leur faudra aussi "gérer une main-d'oeuvre vieillissante et des départs massifs à la retraite". L'étude suggère notamment de mettre en place des programmes d'incitation à se maintenir en bonne santé, afin de conserver un haut niveau de productivité chez les seniors.Autre chantier: s'adapter aux mutations des carrières et "réinventer la formation professionnelle à une époque où les individus changent régulièrement d'entreprise, voire de métier".

    http://www.actdoc.anact.fr/Record.htm?idlist=34&record=19148816124919660989

  • Organisation du travail et santé des seniors en Europe

    Auteur(s) : DEBRAND (Thierry) ; LENGAGNE (Pascale)
    Date de publication : janvier 2007
    Origine : INSTITUT DE RECHERCHE ET DOCUMENTATION EN ECONOMIE DE LA SANTE (Editeur )

    Les conditions de travail ont rapidement évolué au cours des dernières décennies dans les pays développés. Cette évolution s'est accompagnée de l'apparition de nouvelles formes d'organisation du travail s'avérant être sources de pénibilité et de risques pour la santé. Dans un contexte de vieillissement des populations, ces problèmes sont particulièrement préoccupants, en matière de santé, d'emploi et de financement des retraites. Cette étude s'intéresse aux liens existant entre l'organisation du travail et la santé des seniors (50 ans et plus). A partir des données de l'enquête SHARE 2004, les auteurs montreront que plusieurs facteurs liés à l'organisation du travail - tels qu'une forte demande psychologique, un manque de latitude décisionnelle, une récompense reçue par le travail insatisfaisante, l'absence de soutien dans le travail mais aussi l'insécurité de l'emploi - sont corrélés à l'état de santé des seniors. Dès lors, l'organisation du travail comme la santé constituent des déterminants importants de la sortie d'activité des seniors.

    http://www.actdoc.anact.fr/Record.htm?idlist=34&record=19140128124919683009

  • Après le Japon, la France... Faire du vieillissement un moteur de croissance

    Auteur(s) : GEISS (Romain)
    Date de publication : janvier 2007
    Origine : INSTITUT MONTAIGNE (Editeur )

    Dans cette Note de l'Institut Montaigne, l'auteur propose une analyse documentée de l'approche dynamique du vieillissement au Japon, considérant que le vieillissement est une source potentielle de croissance. Il montre également que la France pourrait utilement s'en inspirer et formule à cette fin huit propositions concrètes de politique publique.

    http://www.actdoc.anact.fr/Record.htm?idlist=92&record=19153187124919713699

  • Les temps des travailleurs, contraintes et aménagements

    Auteur(s) : DURAND J.P. (Ed) ; ROLLE P. (Ed).
    Date de publication : janvier 2007
    Origine : Homme et la société, n° 163-164, janvier-février 2007, pages 1 à 243

    Les modalités de l'action collective sont bouleversées. Non seulement les déstructurations/restructurations des collectifs modifient les capacités d'action des travailleurs, mais les variations rapides de la géométrie des entreprises brouillent les repères. Financiarisation et mondialisation de l'économie transforment le cadre du travail dans l'entreprise en réseau : l'éclatement des collectifs de travail et les mosaïques syndicales doivent faire face à une internationalisation managériale qui tend à unifier le commandement. En même temps, les formes d'emploi et les modes de rémunération accroissent les différenciations entre travailleurs, dans les vieux pays industrialisés comme dans les nouveaux mondes. A partir de terrains très différents et à partir de points de vue des travailleurs, les auteurs décortiquent l'inventivité managériale et mettent à jour les formes nouvelles de l'action collective des salariés. Les arrangements qui en résultent sont bien souvent inédits, autant dans leur réalité que dans leur traitement scientifique. Cette variété des configurations et des processus appelait ce renouvellement des analyses parce qu'elle donne, sans en avoir l'air, un nouveau statut au temps. Au sommaire de ce numéro : maturité des sciences du travail et approche plurielle ; la dévalorisation des relations de service ; régulation des relations de travail dans le secteur de la distribution sportive ; définition du travail dans le secteur public ; NTIC et articulation des temps sociaux ; restructuration de l'entreprise et des relations professionnelles ; subjectivité au travail ; action collective en Chine.

    http://www.inrs.fr/

  • Lieux de travail attrayants: Stratégies innovantes des entreprises pour la croissance et l’emploi

    Date de publication : janvier 2007
    Origine : Eurofound

    Afin d’atteindre les objectifs ambitieux fixés par le Conseil au printemps 2005, la Fondation a entrepris une étude visant à identifier les pratiques innovantes des entreprises et à démontrer comment celles-ci mettent en oeuvre la stratégie de Lisbonne. L’étude consistait à identifier et à analyser les études de cas d’entreprises de sept pays (Autriche, France, Allemagne, Italie, Pays-Bas, Suède et Royaume-Uni). Les 104 exemples de cas ont été classés selon six orientations thématiques reflétant les dimensions clés de la stratégie de Lisbonne.

    http://www.eurofound.europa.eu/publications/htmlfiles/ef0755_fr.htm

  • Temps de travail, revenu et emploi

    Auteur(s) : ARTUS (Patrick) ; CAHUC (Pierre) ; ZYLBERBERG (André)
    Date de publication : janvier 2007
    Origine : LA DOCUMENTATION FRANCAISE (Editeur )

    La France ne parvient pas à mobiliser efficacement ses ressources en main d'oeuvre. Le revenu par habitant aux États-Unis est 30 % plus élevé qu'en France, ce qui correspond presque exactement à l'écart séparant les deux économies en termes de nombre d'heures de travail par habitant. Ce déficit d'heures a une double origine : un non-emploi élevé, d'une part, et une durée du travail dans l'emploi réduite, de l'autre. Dans ce rapport, Patrick Artus, Pierre Cahuc et André Zylberberg s'interrogent sur la manière d'organiser et de réglementer la durée du travail. Il s'agit d'abord de rechercher des motivations économiques à l'intervention publique dans ce domaine. Ensuite, les auteurs montrent en quoi la réglementation de la durée du travail n'est jamais parvenue à créer des emplois. Plus précisément, un bilan des politiques de réduction du temps de travail est effectué, la question des heures supplémentaires, notamment de leur fiscalité, est abordée ainsi que celle relative au travail du dimanche. Le rapport se nourrit de nombreuses études empiriques s'appuyant sur des expériences françaises et étrangères. Enfin, Patrick Artus, Pierre Cahuc et André Zylberberg préconisent de simplifier la réglementation française en laissant une large part aux négociations collectives par branche, d'expérimenter sur une échelle réduite un allégement des prélèvements obligatoires sur les heures supplémentaires d'assouplir la législation concernant l'ouverture des commerces le dimanche.

    http://www.actdoc.anact.fr/Record.htm?idlist=55&record=19149736124919679189

  • Rapport global: "L'égalité au travail: relever les défis"

    Date de publication : janvier 2007
    Origine : BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL (Editeur )

    Le deuxième rapport global sur la discrimination, établi en vertu du suivi de la Déclaration de l'OIT relative aux principes et droits fondamentaux au travail, traite de l'évolution récente des discriminations et des inégalités au travail, des mesures prises pour y faire face ainsi que de l'expérience acquise par l'OIT, de ses réalisations et des défi s qu'elle doit relever.

    http://www.actdoc.anact.fr/Record.htm?idlist=15&record=19148248124919664209

  • The Good, the Bad, and the Unknown About Telecommuting: Meta-Analysis of Psychological Mediators and Individual Consequences

    Auteur(s) : HARRISON (David)
    Date de publication : janvier 2007
    Origine : AMERICAN PSYCHOLOGICAL ASSOCIATION (Distributeur )

    Deux chercheurs américains de l'université de Pennsylvanie, Ravi S. Gajendran et David A. Harrison, ont analysé 46 études récentes sur le télétravail concernant près de 13 000 salariés. Il en ressort que les salariés pratiquant le télétravail sont moins stressés et ont un meilleur équilibre que les autres. Les auteurs indiquent des effets bénéfiques à long terme tels qu'une plus grande satisfaction, des meilleures performances, un plus faible turn-over. En revanche, le télétravail pratiqué plus de 2,5 jours par semaine nuirait à la qualité des relations professionnelles.

    http://www.actdoc.anact.fr/Record.htm?idlist=99&record=19153347124919715299

  • Temps, travail et développement de carrière.

    Auteur(s) : FRACCAROLI F. ; SARCHIELLI G.
    Date de publication : janvier 2007
    Origine : Collection Le Travail en débats. Octarès Editions

    Le thème du temps est fondamental pour la psychologie du travail. Celle-ci, en effet, prend en compte l'inscription des conduites de travail qu'elle étudie dans les perspectives temporelles de leur construction et de leur transformation. Le temps du travail et le temps des individus : une relation instable, en adaptation continue, à la recherche d'équilibres originaux. Les temps du travail sont en train de se réduire, et de nouvelles formes d'utilisation du temps sont exploitées dans les organisations industrielles et les services. Le " temps de la flexibilité " se présente comme une nouvelle forme d'ordre temporel. Il peut constituer une menace en raison de ses conséquences négatives sur les significations du travail, la motivation, l'identité professionnelle et le sentiment de citoyenneté organisationnelle. Mais, le temps flexible peut aussi être une opportunité pour surmonter la répartition traditionnelle entre temps de travail et hors travail. L'ouvrage offre, du point de vue de la recherche scientifique et selon une perspective psychologique, les éléments essentiels pour comprendre l'interaction entre temps et travail au cours de la carrière. Au sommaire : introduction (le lien indissociable entre temps et travail ; l'expérience subjective du temps ; le temps comme vieillissement individuel et organisationnel). 1. L'éclatement du temps de travail : le défi des nouvelles structures de travail (le temps de travail de la tradition ; le temps dans les révolutions industrielles ; la fragmentation du temps de travail). 2. Le temps de la flexibilité (la crise de la synchronisation sociale ; les multiples formes de flexibilité ; personnaliser et gérer le temps ; exemples de flexibilité). 3. Le travail à horaires inhabituels (horaires de travail standards ou modulables ? ; les prisonniers de la spécificité temporelle : le travail posté ; le travail à schéma temporel variable : flextime et compressed work ; les principaux effets sur les personnes du travail dans des temps inhabituels ; les horaires de travail : un défi aussi pour la psychologie du travail). 4. Le temps sans travail (chômeurs et déstructuration temporelle ; chômage en tant que perturbation du système des activités ; le temps hors du travail). 5. La carrière : l'évolution de l'expérience professionnelle dans le temps (définition de la carrière ; temps, stabilité et changement ; carrière et construction de l'identité chez les jeunes ; la carrière des travailleurs peu qualifiés ; la transition vers la retraite). 6. Temps, âge et travail (le travailleur " mûr " ; travailleur âgé et marché du travail ; les performances professionnelles ; la formation professionnelle ; attitudes et bien-être psychologique).

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  • Faire face aux exigences du travail contemporain. Conditions du travail et management.

    Auteur(s) : UGHETTO P.
    Date de publication : janvier 2007
    Origine : Editions ANACT

    Les entreprises, les organisations syndicales, mais aussi les pouvoirs publics sont conscients du fait qu'il faut analyser le travail pour mieux en comprendre les nouvelles exigences. En effet, les salariés expriment leur difficulté à répondre aux contraintes cumulées d'objectifs, de réactivité, de qualité alors que l'on leur demande de s'investir au-delà de la réalisation de la tâche. Là où les interprétations les plus courantes parlent d'intensification du travail, cet ouvrage propose une grille de lecture revisitée des conditions de travail. L'auteur propose de chercher des solutions du côté des travailleurs, ceux qui se mobilisent pour mener à bien leur activité et de revaloriser leur point de vue, mais aussi de s'enquérir du côté des dirigeants sur la façon dont l'activité est organisée et sur la gestion de la montée des exigences. Celles-ci, lorsqu'elles ne sont pas bien gérées, contribuent à faire planer la morosité, à provoquer des réactions de retrait, à accroître le stress, devenant alors une menace pour la santé des salariés comme pour la performance de l'entreprise. Afin d'éviter de s'enfermer dans la seule dénonciation du sort vécu par les salariés, l'auteur a construit une perspective analytique qui croise les évolutions des stratégies d'entreprise, les transformations de l'activité de travail et les effets des outils de gestion.

    http://www.inrs.fr/

  • Management à contresens... Combien coûte la démotivation ? Les leviers pour développer l'engagement des salariés

    Auteur(s) : DOUSSET (Anne)
    Date de publication : janvier 2007
    Origine : EDITIONS D'ORGANISATION (Editeur )

    "Je crains que nos enfants n'aient pas d'aussi bons souvenirs professionnels que nous " : dans cet ouvrage, Anne Dousset, consultante en management des hommes et des organisations après avoir occupé pendant une quinzaine d'années des postes de DRH au sein de grandes entreprises, fait le constat des erreurs fréquemment commises par les managers, et propose des pistes pour que la mobilisation des salariés soit mise au service de la performance.Dans la première partie, elle décrit, au travers de trois récits, de réelles situations de management à contresens, ou comment l'enthousiasme fait place à l'amertume. La deuxième partie présente, d'une part, un modèle pour chiffrer la productivité du facteur humain. D'autre part, elle analyse ce qui a fait le succès des entreprises dans les vingt dernières années : les étapes et démarches qui leur ont permis de réussir leurs gains de productivité au travers de la révolution des organisations. La troisième partie propose de mettre en concordance les trois leviers que sont la fierté, la confiance et l'implication, pour nourrir l'engagement des collaborateurs et remettre du bon sens dans le management. Cela touche à différents domaines tels que l'identité et la culture, la confiance, la relation hiérarchique et le mode de management. Chacun de ces leviers est illustré d'exemples d'actions réelles et réalistes. Le propos de l'auteur expose des démarches de bon sens pour les entreprises qui veulent miser sur la mobilisation de leurs équipes, l'intelligence collective et l'engagement de chacun.

    http://www.actdoc.anact.fr/Record.htm?idlist=11&record=19151369124919795419

  • La gestion prévisionnelle de l'emploi et des compétences

    Auteur(s) : MILET (Laurent)
    Date de publication : janvier 2007
    Origine : REVUE PRATIQUE DE DROIT SOCIAL (Revue n°747)

    La GPEC consiste principalement à identifier les évolutions des métiers dont l'entreprise aura besoin. La négociation sur la GPEC doit porter obligatoirement sur les modalités d'information et de consultation du comité d'entreprise, sur la mise en place du dispositif de GPEC et des mesures d'accompagnement susceptibles de lui être associées, en particulier en matière de formation. Le cadre juridique de la gestion prévisionnelle de l'emploi et des compétences mêle étroitement potentialités et dispositions ambiguêes. Si les entreprises doivent négocier sur l'évolution des emplois et des compétences en dehors de toute restructuration, un accord de GPEC peut aussi anticiper le contenu d'un plan de sauvegarde de l'emploi (PSE) sous la forme d'un accord de méthode dérogatoire aux prérogatives des représentants du personnel

    http://www.actdoc.anact.fr/Record.htm?idlist=124&record=19140286124919684689

  • Qualité, sécurité, environnement. Construire un système de management intégré.

    Auteur(s) : FROMAN B. ; GEY J.M. ; BONNIFET F.
    Date de publication : janvier 2007
    Origine : Association française de normalisation (AFNOR)

    Les normes et référentiels de management traitant de qualité, d'environnement, de santé et de sécurité au travail, et de responsabilité sociale se multiplient. De nombreuses entreprises et organismes s'engagent dans une démarche de progrès. Cet ouvrage met tout d'abord en lumière les évolutions, les analogies et les liens conceptuels entre les démarches qualité, sécurité et environnement. Puis il explique avec des exemples pratiques, comment évoluer vers un système global de management, en intégrant les normes et référentiels de management les plus récents : ISO 9000:2000, ISO 14000, OHSAS 18001, SA 8000, etc. Il montre comment un engagement affirmé de la direction peut contribuer à la construction d'un système de management cohérent et efficace, en faisant appel à toutes les valeurs et bonnes pratiques humaines, pour aller toujours plus loin dans la voie de l'excellence. Enfin, des entreprises grandes et petites décrivent, au travers de témoignages, comment elles ont appréhendé la construction de leur système de management intégré.

    http://www.inrs.fr/

  • Promouvoir la mobilité par le développement des compétences

    Auteur(s) : Vandenbrande, Tom
    Date de publication : janvier 2007
    Origine : Eurofound

    En novembre 2006, la Fondation européenne pour l’amélioration des conditions de vie et de travail et le Centre européen pour le développement de la formation professionnelle (Cedefop) ont organisé à Thessalonique un séminaire du réseau d’entreprises de l’Observatoire européen du changement (EMCC). Le présent rapport résume les conclusions du séminaire et explique comment les individus, les entreprises et les décideurs politiques peuvent agir afin de développer des systèmes qui encouragent la mobilité des travailleurs tout en développant leurs compétences.

    http://www.eurofound.europa.eu/publications/htmlfiles/ef0713_fr.htm

  • Congés et absences. Pour raisons familiales, personnelles ou professionnelles

    Auteur(s) : CLAVEL-FAUQUENOT (Marie-Françoise) ; RIGAUD (Frédérique)
    Date de publication : janvier 2007
    Origine : LIAISONS SOCIALES NUMERO SPECIAL (Revue, supplément du n°14842)

    Projet économique, social, civique, humanitaire ou besoin de faire une pause : les salariés aspirent à une gestion plus souple du temps de travail afin de mener à bien des engagements extraprofessionnels ou de réaliser leurs projets.Prenant en compte cette diversité de centres d'intérêts, le législateur a composé une mosaïque de mesures permettant aux salariés de s'absenter quelques heures, quelques jours ou quelques mois puis de revenir dans l'entreprise.Le Code du travail s'est ainsi enrichi ces derniers mois : d'un congé de soutien familial, qui offre la possibilité au salarié de s'occuper d'un proche présentant un handicap ou une perte d'autonomie d'une particulière gravité, d'un congé pour diriger une jeune entreprise innovante, qui permet à un salarié de suspendre son contrat de travail ou de travailler à temps partiel pour participer à la direction d'une jeune entreprise innovante.Sur le plan financier, le salarié en congé parental d'éducation peut désormais compenser la perte de salaire en optant pour le complément de libre choix d'activité (CLCA) qui remplace l'allocation parentale d'éducation ou, s'il a trois enfants, pour le complément optionnel de libre choix d'activité (Colca) qui lui permet d'avoir un congé parental plus court mais mieux rémunéré.Ce Numéro juridique présente de manière thématique les principaux congés et autorisations d'absence auxquels le salarié peut prétendre. Le Point spécial est consacré au compte épargne temps qui peut être mis en place dans le cadre d'une politique de gestion de la durée du travail et/ou d'épargne salariale.

    http://www.actdoc.anact.fr/Record.htm?idlist=11&record=19147929124919651019

  • Relations au travail, relations de travail.

    Auteur(s) : ABALLEA F. (Ed) ; LALLEMENT M. (Ed).
    Date de publication : janvier 2007
    Origine : Collection Le Travail en débats. Série Colloques et congrès. Octarès Editions

    Les nouvelles formes d'organisation du travail et des organisations (entreprises, administrations, associations) constituent un objet d'étude central pour la sociologie contemporaine. Si les controverses à ce sujet ne sont pas closes, il ne fait plus de doute cependant que les relations au travail ont bien changé et qu'elles cadrent de moins en moins avec le modèle taylorien et bureaucratique hier prédominant. Un constat similaire vaut pour les relations de travail. A l'heure des transformations qui affectent les relations de travail dans nombre de pays développés, force est de constater que les régulations évoluent rapidement pour laisser de plus amples marges de manoeuvre à l'entreprise, voire à de nouveaux acteurs des relations professionnelles. L'objectif de cet ouvrage est de réactiver le débat entre différents segments de la communauté sociologue, en réactualisant certaines questions traditionnelles de la discipline et en formulant les nouvelles que suggèrent les transformations du contexte évoquées ci-dessus. Qu'en est-il du lien entre les transformations des relations au travail et des relations de travail ? Faut-il penser que les modèles de régulation et de lutte en vigueur sont en retard sur la réalité des relations sociales au travail ? Assiste-t-on plutôt à une disjonction qui renvoie à des logiques autonomes ? Dans quelle mesure les transformations des relations de travail informent-elles également les relations au travail ? Ces questions ont été abordées au cours des 10es Journées internationales de sociologie du travail à partir de six axes d'interrogations : acteurs et action collective : quelles figures nouvelles ? ; conflits, négociations et règles de droit ; les relations de travail entre résistance et contournement ; segmentation et intégration dans les collectifs de travail ; rationalisation productive et relations de travail ; les espaces de régulation.

    http://www.inrs.fr/

  • Foundation Findings: L’équilibre entre la vie privée et la vie professionnelle - Sortir du dilemme

    Auteur(s) : Foundation
    Date de publication : janvier 2007
    Origine : Eurofound

    Ce numéro de Foundation Findings traite de l’équilibre entre la vie privée et la vie professionnelle des travailleurs européens. L’UE doit augmenter son taux d’emploi pour assurer la pérennité de sa croissance économique et promouvoir l’inclusion sociale. Pour ce faire, elle doit permettre aux citoyens de mieux concilier leur vie professionnelle et leur vie familiale afin de faciliter leur accès – en particulier celui des femmes – au marché de l’emploi. Foundation Findings offre à tous les acteurs et à toutes les parties intéressées par le débat européen actuel sur l’avenir de politique sociale des informations générales et des orientations politiques pertinentes. Les informations présentées dans cette publication se fondent sur des recherches réalisées par Fondation et reflètent sa structure autonome et tripartite.

    http://www.eurofound.europa.eu/publications/htmlfiles/ef0789_fr.htm

  • Faire du privé au bureau, une question de genre ?

    Auteur(s) : BOBOC (Anca) ; DHALEINE (Laurence
    Date de publication : janvier 2007
    Origine : RESEAUX. COMMUNICATION.TECHNOLOGIE. SOCIETE (Revue

    Les technologies de l'information et de la communication sont de plus en plus présentes dans la vie des individus, que ce soit dans le cadre d'activités privées ou professionnelles. Des différences apparaissent dans la manière dont chacun s'approprie ces outils et les utilisent. L'harmonisation des temps de travail et des temps sociaux devient de plus en plus compliquée. Les temps de la vie de plus en plus désynchronisés. Les TIC tendent à brouiller les espace-temps dans lesquels s'inscrivent les individus. La conclusion de cet article est que l'articulation entre le privé et le professionnel est en train de se reconstruire en étroit lien avec l'équilibre hommes-femmes au sein des couples

    http://www.actdoc.anact.fr/Record.htm?idlist=59&record=19153164124919713469

  • Les discriminations à raison de "l'origine" dans les embauches en France

    Auteur(s) : CEDIEY (E.) ; FORONI (F.)
    Date de publication : janvier 2007
    Origine : BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL (Editeur )

    Enquête nationale par tests de discrimination conduite en France sous l'égide du Bureau international du Travail (BIT) mandaté par la Direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques (DARES) du ministère français de l'Emploi et de la Cohésion sociale. Le BIT réalise ce testing pour aider les membres des gouvernements et les partenaires sociaux à approfondir leur connaissance des attitudes discriminantes sur le marché du travail et pour permettre et orienter l'application de solutions efficaces.

    http://www.actdoc.anact.fr/Record.htm?idlist=78&record=19148222124919664049

  • Gender and working conditions in the European Union

    Auteur(s) : BURCHELL (Brendan) ; FAGAN (Colette) ; OBRIEN (Catherine) ; SMITH (Mark)
    Date de publication : janvier 2007
    Origine : FONDATION EUROPEENNE POUR L'AMELIORATION DES CONDITIONS DE TRAVAIL (Editeur

    Les différences entre les conditions de travail des hommes et celles des femmes semblent subsister. La Fondation européenne a composé un rapport, sur la base des résultats de la quatrième étude EWCS (European Working Conditions Survey), qui traite en profondeur les différences relatives au genre sur le lieu de travail. Le rapport analyse l'évolution des conditions de travail en mettant l'accent sur la discrimination sexuelle sur le marché du travail actuel et en montrant les conséquences que cela entraîne sur la qualité des conditions de vie des hommes et des femmes. Les résultats révèlent des inégalités persistantes entre les hommes et les femmes dans plusieurs aspects des conditions des travail. Ces disparités concernent le temps de travail, la satisfaction au travail, l'équilibre entre la vie professionnelle et la vie privée, le type de poste, le secteur économique et l'influence du travail sur la

    http://www.actdoc.anact.fr/Record.htm?idlist=50&record=19152132124919703149

  • Le télétravail en perspective

    Auteur(s) : Anne de Beer
    Date de publication : janvier 2006
    Origine : Futuribles n° 317

    Les technologies de l'information et de la communication sont entrées en masse dans les foyers des ménages occidentaux (ordinateurs personnels, téléphones portables, Internet...) ces dernières années, contribuant parfois à brouiller les frontières entre vie privée et vie professionnelle. Dans un tel contexte, le télétravail (travail à distance, nomade, en alternance bureau / domicile...) a-t-il progressé dans les sociétés développées ? Anne de Beer présente ici la situation réglementaire du télétravail en France, en Europe et aux États-Unis, ainsi que les résultats de diverses enquêtes réalisées dans ces régions, qui permettent de prendre la mesure de la diffusion de cette pratique. Alors qu'aux États-Unis, 24,6 % des personnes en activité pratiquent le télétravail, elles ne sont que 13 % dans l'Union européenne à 15, avec de fortes disparités régionales (les Pays-Bas et les pays nordiques devançant très largement l'Europe du Sud). L'auteur montre, au travers de ces enquêtes, quel est l'intérêt des travailleurs et des dirigeants d'entreprise pour cette pratique, et quels sont les facteurs freins et moteurs susceptibles d'avoir un impact sur sa diffusion. Au-delà des avantages économiques et organisationnels potentiels pour les entreprises, le télétravail renvoie aussi à des choix de société dans lesquels entrent en compte la qualité de vie et la satisfaction des travailleurs, ainsi que des considérations plus macroéconomiques telles la productivité des salariés ou la protection de l'environnement (économies d'énergie et moindre pollution par les transports).

    http://www.futuribles-revue.com/index.php?option=article&access=standard&Itemid=129&url=/articles/futur/abs/2006/03/futur_2006_317_59/futur_2006_317_59.html

  • Des hommes, des femmes, des entreprises

    Auteur(s) : GHIULAMILA (Juliette) ; LEVET (Pascale) ; BERTIN-MOUROT (Bénédicte) ; LAVAL (Catherine) ; PREAUX-COBTI (Véronique) ; WITTENBERG-COX (Avivah) ; FERRARY (Michel)
    Date de publication : janvier 2006
    Origine : L'EXPANSION MANAGEMENT REVIEW (Revue n°121)

    La sous-représentation des femmes parmi les dirigeants reste considérable, comme le montrent les études statistiques. Les auteurs analysent la place des femmes dans l'organisation des grandes entreprises françaises et les facteurs entravant l'égalité professionnelle ente hommes et femmes. Les représentations des rôles de l'homme et la femme n'évoluent pas ou peu justifiant cet immobilisme. Pourtant la question de l'égalité professionnelle constitue un enjeu économique : les femmes représentent la moitié des clients et du vivier de talents des entreprises. De plus en plus de dirigeants en sont conscients. Les auteurs analysent les conditions indispensables pour réussir les démarches d'égalité professionnelle. Chez l'Oréal, une des rares entreprises du CAC 40 qui compte autant d'hommes que de femmes cadres, la mixité est une réalité mais les inégalités salariales persistent.

    http://www.actdoc.anact.fr/Record.htm?idlist=11&record=19142928124919601009

  • Dossier. Réorganisations permanentes : les salariés déstabilisés.

    Date de publication : janvier 2006
    Origine : Santé et travail, n° 55, pages 23 à 36

    Ce dossier revient sur les modifications organisationnelles permanentes auxquelles sont soumis les salariés dans leurs entreprises. Autrefois dictées par des mutations technologiques, les évolutions du travail sont dorénavant motivées par des objectifs stratégiques. Bien que certains changements soient nécessaires pour échapper à la routine, ces restructurations brutales constituent une source de stress, et aboutissent à une précarisation de la situation des employés et à la remise en cause de leur savoir-faire. Les thèmes suivants sont abordés : plaisir du changement, résistance à la précarisation ; les évolutions du travail ne sont plus gérées comme elles l'étaient ; une réponse aux mouvements des années 1970 ; la conduite de projet, un outil au service des salariés ; EDF-GDF : ambiance électrique sur les nouveaux plateaux clientèle.

    http://www.inrs.fr/

  • Organisation et intensité du travail

    Auteur(s) : Coordinateur ASKENAZY (Philippe) ; Coordinateur CARTRON (Damien) ; Coordinateur CONINCK (Frédéric de) ; Coordinateur GOLLAC (Michel)
    Date de publication : janvier 2006
    Origine : OCTARES (Editeur

    Beaucoup de salariés trouvent leur travail « plus dur », « plus prenant », même s'il est aussi parfois « plus intéressant ». Mais l'organisation de l'économie et celle de l'entreprise changent et la nature de l'intensité du travail change en même temps. Prendre la mesure des liens qui unissent aujourd'hui organisation et intensité du travail exige de confronter des approches multiples, de rapprocher des travaux réalisés sur des terrains différents, par des méthodes diverses et s'inspirant d'une pluralité de disciplines et de postures théoriques. Les articles composant cet ouvrage sont issus de communications à un colloque international sur l'intensité, l'organisation et la qualité du travail, organisé par le CEE, le Latts ainsi que le Cepremap et l'Ecole doctorale Entreprise-Travail-Emploi. Ils se répartissent au sein de six parties : Natures et formes d'intensité (partie 1), Organisation et intensité (partie 2), Segments de main d'oeuvre et formes d'intensité (partie 3), Intensité, santé et bien-être (partie 4), Intensité, sens du travail, travail soutenable (partie 5), Droit et actions syndicales (partie 6).

    http://www.actdoc.anact.fr/Record.htm?idlist=51&record=19143267124919614499

  • Salariés handicapés : l'entreprise, telle qu'ils la voient, telle qu'ils la vivent...

    Auteur(s) : Auteur moral AGEFIPH
    Date de publication : janvier 2006
    Origine : AGEFIPH (Editeur )

    Une étude qualitative pour l'Agefiph interroge les salariés handicapés sur leur perception et leur vécu de l'entreprise. Si le travail constitue pour eux une valeur plus fortement investie que pour les salariés valides, ils pointent néanmoins le prix à payer pour être performants. De par leur trajectoire de vie marquée par le handicap, ces salariés ont développé une capacité d'adaptation à leur environnement et leur entourage et des compétences relationnelles. Les salariés handicapés ont fondamentalement besoin d'être considérés comme les autres, et en même temps, de voir leur différence prise en compte. Une attente sans doute partagée par d'autres populations souvent victimes de discrimination par rapport à l'emploi. Derrière ce paradoxe apparent, des solutions managériales se profilent, simples à mettre en oeuvre.

    http://www.actdoc.anact.fr/Record.htm?idlist=15&record=19143547124919617299

  • Transmission des savoirs professionnels en entreprise

    Auteur(s) : CRÉAPT-EPHE
    Date de publication : janvier 2006
    Origine : centre d'études de l'emploi

    La transmission des savoirs professionnels en entreprise a été choisie comme thème du séminaire « vieillissement – travail » 2005, dont les communications et discussions font l’objet de ce rapport. [ … ] la transmission des savoirs et savoir-faire professionnels réinterroge l'organisation du travail, pointe la dimension collective du problème, souligne des carences souvent importantes en termes de formation, en particulier sur le contenu du travail. Travailler sur ces dimensions impose une réflexion pluridisciplinaire, dont ce séminaire s’est fait l’écho en proposant des interventions de sociologues, de psychologues du travail, d'ergonomes, de didacticiens, de gestionnaires de ressources humaines. De manière à montrer le caractère général de cette problématique, les organisateurs du séminaire ont également fait en sorte de choisir des interventions réalisées aussi bien dans le secteur industriel (PME ou grandes entreprises), que dans des services ou des collectivités territoriales. L’objectif était à terme de réfléchir collectivement à des leviers d'action pour faciliter la transmission, la construction, l'élaboration de ces savoirs et savoir-faire, indispensables à la réalisation du travail.[ … ]

    http://www.cee-recherche.fr/fr/rapports/actes_vieillissement_travail_2005_35.pdf

  • Vieillissement et politiques de l'emploi. Vivre et travailler plus longtemps

    Auteur(s) : Auteur moral ORGANISATION DE COOPERATION ET DE DEVELOPPEMENT ECONOMIQUES
    Date de publication : janvier 2006
    Origine : ORGANISATION DE COOPERATION ET DE DEVELOPPEMENT ECONOMIQUES (Editeur )

    Face au défi démographique auquel l'Union européenne doit faire face, l'OCDE avance un certain nombre de préconisations : de fortes incitations financières doivent être associées au prolongement de la vie active et les dispositifs qui favorisent financièrement une cessation anticipée d'activité doivent être supprimés. Les méthodes de recrutement et de fixation des salaires doivent être adaptées, de sorte que les employeurs soient davantage incités à embaucher et à maintenir dans l'emploi des travailleurs âgés. Il convient d'apporter à ces derniers l'aide et les encouragements dont ils ont besoin pour améliorer leur employabilité. Enfin, un changement d'attitude majeur à l'égard de la poursuite de la vie active au-delà de 50 ans sera nécessaire de la part des employeurs comme des travailleurs âgés31/07/2008. Ce rapport constitue une contribution importante à la définition de politiques et de pratiques nouvelles destinées à accompagner le vieillissement dans le domaine de l'emploi. Il met à profit les principaux enseignements tirés des 21 examens nationaux qui ont été publiés séparément dans la série «Ageing and Employment Policies/Vieillissement et politiques de l'emploi» de l'OCDE.

    http://www.actdoc.anact.fr/Record.htm?idlist=11&record=19149787124919679699

  • Articulation entre démarche RSE et dialogue social

    Auteur(s) : Auteur moral OBSERVATOIRE SUR LA RESPONSABILITE SOCIETALE DES ENTREPRISES
    Date de publication : janvier 2006
    Origine : ORSE (Editeur)

    L'engagement des entreprises avec les parties prenantes internes que sont les salariés leurs représentants amène à s'interroger sur l'implication des syndicats de salariés aux démarches de développement durable des entreprises. L'ORSE dans le cadre d'un rapport sur le sujet, à chercher à voir : - Comment la RSE conduit à rénover le dialogue social de l'entreprise au niveau local comme au niveau international, cela en introduisant de nouveaux thèmes, de nouveaux acteurs et de nouveaux outils. - Le dialogue social peut enrichir et conforter les démarches de RSE des entreprises. - Le dialogue social offre la possibilité pour les entreprises d'inscrire leur démarche de RSE dans la durée en la crédibilisant auprès des parties prenantes externes et ou en la faisant partager par l'ensemble des salariés

    http://www.actdoc.anact.fr/Record.htm?idlist=142&record=19146144124919643269

  • Du télétravail au travail mobile, un enjeu de modernisation de l'économie française. Rapport au Premier Ministre

    Auteur(s) : MOREL-A-LHUISSIER (Pierre)
    Date de publication : janvier 2006
    Origine : MINISTERE DE L'ECONOMIE (Editeur )

    Il n'y a pas d'obstacles législatifs et réglementaires majeurs au développement de cette nouvelle organisation du travail en France. Les partenaires sociaux ont une position ouverte sur ce thème, et ont négocié un accord national interprofessionnel applicable au secteur privé à la suite de l'accord cadre européen. Cet accord a été étendu par arrêté du ministre de l'Emploi, du Travail et de la Cohésion Sociale. Le développement du télétravail, et/ou du travail mobile, est une opportunité unique d'améliorer la productivité globale du pays, tout en répondant aux aspirations profondes des salariés de maîtriser leur temps et leur liberté d'implantation. Le télétravail aboutit à une forme plus accomplie qu'est le travail mobile. Cette évolution incontournable, appelle à de nouvelles formes de management et de gouvernance dans les entreprises et dans l'administration. Il s'agit d'une démarche gagnant-gagnant entre les employeurs et les salariés ou les fonctionnaires pour contribuer à construire une économie plus productive et plus humaine.

    http://www.actdoc.anact.fr/Record.htm?idlist=99&record=19144324124919625069

  • Quatrième enquête européenne sur les conditions de travail

    Auteur(s) : Foundation
    Date de publication : janvier 2006
    Origine : Eurofound

    Le travail joue un rôle important dans la vie de la plupart des Européens. La compréhension des conditions de travail dans les différents pays de l’UE est essentielle pour parvenir à améliorer la qualité du travail, la productivité et l’emploi – c’est-à-dire atteindre l’un des objectifs de Lisbonne. Depuis 1990, les enquêtes européennes sur les conditions de travail de la Fondation effectuées tous les cinq ans fournissent des informations précieuses sur la qualité du travail. La quatrième enquête présente les vues des travailleurs sur un large éventail de questions sur leur travail, notamment l’organisation du travail, la durée du travail, l’égalité des chances, la formation, la santé et le bien-être, et la satisfaction avec le travail.

    http://www.eurofound.europa.eu/publications/htmlfiles/ef0678_fr.htm

  • RH : les apports de la psychologie du travail. Tome 2 : management des organisations

    Auteur(s) : Directeur LÉVY-LEBOYER (Claude) ; Directeur LOUCHE (Claude) ; Directeur ROLLAND (Jean-
    Date de publication : janvier 2006
    Origine : EDITIONS D'ORGANISATION (Editeur

    Cet ouvrage consacré aux apports de la psychologie du travail dans la gestion des ressources humaines s'est enrichie, dans sa nouvelle édition, d'une orientation internationale. Compte tenu de la diversité des thèmes traités, cette troisième édition se présente en deux tomes. Le premier tome intitulé "Management des personnes" est composé de vingt-six chapitres regroupés en trois parties : recrutement, méthodes d'évaluation, formation et développement personnel. Ils apportent des réponses concrètes à certaines questions : la détection des talents, le choix des méthodes qui garantissent les meilleures décisions ou encore des programmes destinés à développer les compétences du personnel en place. Le second tome consacré au management des organisations comprend quatre parties : gérer le changement et la diversité, gérer le contexte social et les relations interpersonnelles, gérer le stress et la sécurité, introduire de nouvelles formes de travail. Il fournit des informations concernant le progrès technique, l'introduction des nouvelles techniques de communication et la globalisation de l'économie

    http://www.actdoc.anact.fr/Record.htm?idlist=55&record=19130391124919585739

  • Qualité du travail et de l'emploi : un atout pour la performance économique et sociale

    Auteur(s) : INTEFP
    Date de publication : janvier 2006

    Ce document donne des repères sur le thème de la qualité du travail et de l'emploi, en s'interrogeant sur son rapport à la performance économique, avec des données de cadrage et quelques références juridiques et méthodologiques. Par ailleurs, la distinction entre "emploi" et "travail" est formelle. En revanche, il est important de bien faire le lien entre "qualité de l'emploi" et "performance économique" parce que le débat porte là-dessus. Les uns disent : "la qualité de l'emploi, c'est second ; ce qui est important c'est la croissance, car la croissance amène l'emploi ; après, on peut discuter de la qualité", alors que pour d'autres, "l'emploi, c'est la croissance économique ; mais la croissance économique n'est pas simplement une demande et de l'offre, c'est aussi la capacité des individus à travailler, à tirer les gens vers l'emploi, à faire en sorte que les gens dans l'emploi aient une activité durable". La question est bien : "la qualité est-elle intrinsèquement constitutive de la croissance

    http://www.actdoc.anact.fr/Record.htm?idlist=218&record=19130615124919588979

  • Quinze ans de conditions de travail dans l'Union européenne: cartographie des tendances

    Auteur(s) : Foundation
    Date de publication : janvier 2006
    Origine : Eurofound

    Les enquêtes européennes sur les conditions de travail (EECT) de la Fondation européenne pour l’amélioration des conditions de vie et de travail sont menées tous les cinq ans depuis 1991. Ces enquêtes fournissent une perspective unique de l’évolution des conditions de travail et de l’emploi dans l’Union européenne (UE) au cours des quinze dernières années. Fin 2005, la Fondation a effectué la quatrième enquête de la série. À cette occasion, près de 30 000 travailleurs ont été interrogés dans 31 pays européens, et ont répondu à plus de cent questions concernant divers aspects de leurs conditions de travail et de leur emploi.

    http://www.eurofound.europa.eu/publications/htmlfiles/ef0685_fr.htm

  • Le stable, l'instable et le changement dans le travail

    Auteur(s) : HUBAULT F. (Ed).
    Date de publication : janvier 2006
    Origine : Collection Le Travail en débats. Série Séminaire Paris 1. Octarès Editions

    Le débat actuel porte sur le changement. Cependant, il convient de se demander si tout doit changer et si tout change vraiment dans le travail, s'il ne s'agit pas aussi de changer le changement, dans ses raisons, dans son "pilotage", dans ses méthodes, son management, son évaluation. Cet ouvrage cherche à déterminer si on décèle une direction du changement dans les organisations ou plutôt une profusion des changements qu'aucune forme ne relie, l'influence des institutions et des changements institutionnels sur ces évolutions du travail, l'émergence de nouvelles normes du travail, ou au contraire une prolifération des formes du rapport subjectif au travail et du dispositif organisationnel qui le prend en charge et s'il existe, entre l'espace subjectif et l'espace économique, une stabilité des registres ou une instabilisation, un changement. Face à ces évolutions, il examine la façon dont évolue la réponse des " métiers du changement " (consultants, cadres, etc.) en termes d'ambition, de méthode, d'organisation, de compétences.

    http://www.inrs.fr/

  • Ageing and employment : identification of good practice to increase job opportunities and maintain older workers in employment

    Auteur(s) : LINDLEY (Robert) ; DUELL (Nicola) ; et al.
    Date de publication : janvier 2006
    Origine : COMMISSION DES COMMUNAUTES EUROPEENNES (Editeur )

    Le rapport "Vieillissement et emploi : identification de bonnes pratiques afin d'augmenter les chances professionnelles et de maintenir les travailleurs plus âgés dans l'emploi" met en lumière les bonnes pratiques tirées de l'expérience de onze états-membres en matière d'allongement de la vie professionnelle. Il repose sur 41 études de cas. Les mesures prises concernent principalement l'organisation du travail, la gestion de la mobilité, le développement de carrière, la définition des tâches, le recrutement, l'aménagement du temps de travail, la formation tout au long de la vie, la transmission des connaissances, la santé et le reclassement externe. L'examen des stratégies et des facteurs s'accompagne d'une analyse des forces et faiblesses du cadre institutionnel national au sein duquel les organisations opèrent. Les auteurs recommandent des mesures qui peuvent être prises aux niveaux de l'Union Européenne, des États membres, des entreprises et des individus.

    http://www.actdoc.anact.fr/Record.htm?idlist=78&record=19143447124919616299

  • Sociologie du travail et activité.

    Auteur(s) : BIDET A. (Ed) ; BORZEIX A. (Ed) ; PILLON T. (Ed) ; ROT G. (Ed) ; et coll.
    Date de publication : janvier 2006
    Origine : Collection le travail en débats. Octarès Editions

    Cet ouvrage collectif tente de cerner les nouvelles catégories d'analyse du travail développées depuis quelques années dans de nombreux travaux de sciences sociales. De nouvelles questions sont ainsi abordées : celles notamment du langage, de la technicité et des usages de soi au travail : corps, espaces, objets, équipements, TIC. Les différentes contributions mènent le lecteur de la production d'un film d'auteur aux chaînes d'usines automobiles allemandes, des huissiers de Justice aux contrôleurs du trafic aérien, en croisant bien d'autres travailleurs(ses), cadres du secteur bancaire, consultants en expertise économique, clavistes, ingénieurs électriciens et informaticiens, chefs de rayon de la grande distribution, dépanneurs informatiques, traders, employés d'hôpitaux, gérants de la restauration collective, etc. L'ouvrage s'organise en quatre sections, correspondant à différents registres de créativité et de mise en forme du travail : corps et technicité dans l'action ; réaliser un produit, les détours d'un accomplissement concret ; l'engagement subjectif dans l'activité, exigence anthropologique ; le travail d'organisation en actes. Il est issu des sessions tenues par les participants du réseau thématique "Sociologie du travail et activité" de l'Association française de sociologie.

    http://www.inrs.fr/

  • Transformations de l’intermédiation hiérarchique

    Auteur(s) : Loup Wolff
    Date de publication : janvier 2005
    Origine : centre d'études de l'emploi

    L’encadrement hiérarchique se dévalorise. Les salariés amenés à exercer des responsabilités hiérarchiques sont de moins en moins sélectionnés sur leur capital scolaire. Le niveau de leurs rémunérations, toutes choses égales par ailleurs, se rapproche de celui des autres salariés, et la position des encadrants dans l’entreprise se dégrade progressivement vers des statuts intermédiaires, souvent même au niveau des exécutants. Enfin, ces encadrants sont de plus en plus exposés aux mêmes types de contraintes que leurs subordonnés. Les salariés caractérisés par des propriétés traditionnellement favorables dans le champ des rapports de force investissent de moins en moins souvent les responsabilités hiérarchiques et les laissent aux autres. On peut faire l’hypothèse d’une division croissante du travail de domination. L’encadrement hiérarchique en tant que supervision du travail (lui-même se divisant et se spécialisant) reviendrait de plus en plus à des salariés occupant des positions intermédiaires, et même inférieures en entreprise. On assisterait ainsi au développement d’un encadrement de proximité, de chefs dénués de pouvoir de décision et simplement chargés de relayer les objectifs dictés d’en haut. Une telle division du travail d’encadrement du travail est en partie révélée par l’examen des réponses à l’enquête européenne sur les Conditions de Travail et par l’identification de contextes variés de travail. Chacun de ces contextes présente une architecture originale des marges d’autonomie et des dispositifs de contrôle. C’est ensuite en fonction du degré de formalisation du travail et du développement des technologies de contrôle que la « valeur » des fonctions hiérarchiques est fixée. Ainsi, avec la bureaucratisation croissante du travail, on peut s’attendre à une montée en puissance d’une nouvelle forme d’encadrement, poussée par le néo-management : ce que nous avons appelé le gouvernement d’entreprise. La spécialisation croissante d’une partie du salariat d’encadrement dans ces fonctions, notamment liée à la diffusion du modèle de l’autonomie contrôlée, ne concerne pas uniquement les salariés les plus haut placés, puisque la mise en œuvre de cette forme dépersonnalisée de pouvoir s’exerce souvent à l’échelle de services entiers, et suppose donc l’implication d’une population variée de salariés : du cadre responsable qui statue, aux employé(e)s administratif(ve)s chargé(e)s de mettre en forme ces décisions. Alors que les formes de domination tendaient traditionnellement à se cumuler aux mêmes postes, il semble de plus en plus que les salariés selon leur position dans le champ de l’entreprise n’ont désormais plus accès qu’à une forme spécifique de pouvoir.

    http://www.cee-recherche.fr/fr/rapports/intermediations_hierarchiques_29.pdf

  • Les ressorts de la mobilisation au travail.

    Auteur(s) : DURAND J.P. (Ed) ; LINHART D. (Ed).
    Date de publication : janvier 2005
    Origine : Collection Le Travail en débats. Série Colloque et congrès. Octarès Editions

    Cet ouvrage cherche à répondre aux interrogations suivantes : en quoi l'organisation et les conditions du travail se transforment-elles ? Quelles sont les formes présentes de la mobilisation des salariés ? Dans quelle autonomie et sous quelles contraintes ? Comment s'établissent les normes ? Comment se constituent, s'évaluent et sont mobilisées les aptitudes et les performances des salariés ? Comment ceux-ci s'adaptent-ils aux situations modernes du travail ? Quels rôles joue la diffusion des technologies de l'information et de la communication et quelle influence exerce la nouvelle place du client dans les procès de travail ? Quelle est la pertinence des paradigmes dominants avec lesquels les sociologues ont traité historiquement de ces thèmes ? Les chapitres répondent à l'ensemble de ces questions en traitant de la diversité des situations selon les branches, selon la dimension des entreprises ou des administrations, selon le genre et selon le type d'activité des salariés, sans oublier les nouvelles formes d'emploi et l'éventuel renouvellement des espaces de négociation. Enfin, compte tenu de son caractère collectif, cet ouvrage montre la grande variété d'approches et de paradigmes mis en œuvre dans la sociologie du travail. Au sommaire : les transformations de la sociologie du travail depuis vingt ans. 1re partie : évolution des situations de travail : approches en termes de branches ou de professions, approches en termes organisationnels ou des procès de travail. 2e partie : modèle de la compétence dans la mise au travail et mode de mobilisation. 3e partie : négociation des nouvelles normes d'emploi. 4e partie : les paradigmes dans le champ du travail à l'épreuve. Conclusion générale : 25 ans de sociologie du travail au Royaume-Uni : tendances et tribulations.

    http://www.inrs.fr/

  • L'humain comme énergie et ressource à préserver… mais à quelles conditions ?

    Date de publication : janvier 2005
    Origine : Extrait de : Ergonomie et développement durable : le travail humain comme facteur de développement durable et de cohésion sociale. Actes du 40e Congrès de la Société d'ergonomie de langue française (SELF); Editions ANACT; pages 235 à 332

    Centrées sur l'optimisation de l'utilisation des ressources, au risque d'intensifier le travail ou d'exclure de l'emploi, les pratiques gestionnaires dominantes restent à remplacer par une logique de développement et de gestion des ressources qui soient compatibles avec la fonction sociale de l'entreprise dans son rôle formateur de l'individu au travail. Cette session a cherché à déterminer les conditions de gestion inscrites dans une perspective de durabilité du travail, de l'emploi, mais aussi de la ressource. Thèmes abordés : les mises en situation reconstituées peuvent-elles être considérées comme des situations de travail ? Questions sur un dispositif de validation des acquis de l'expérience dans l'aide aux personnes à domicile ; agriculture durable et " durabilité " des agriculteurs ; développement de l'employabilité et de la mobilité professionnelle par l'étude et la prise en compte du contexte de travail ; conditions de la prévention durable des lombalgies des personnels hospitaliers (intervention sur l'organisation collective du travail) ; intérêt de l'ISA (Inventaire du Système des Activités) pour l'analyse de l'activité des cadres ; les temps, les femmes et le travail ; postes de travail hautement répétitifs dans le secteur du montage électroménager, diagnostic en vue de leur aménagement durable ; développement durable et fiable des activités humaines dans une double perspective de construction de la santé et de développement de la performance ; apport de la participation des opérateurs devenus handicapés à l'aménagement de leur situation de travail ; la charge de travail : un concept opérant pour favoriser un développement durable des ressources humaines dans l'entreprise ; procédures pour un investissement humain à long terme (analyse des besoins de changement).

    http://www.inrs.fr/

  • La place des seniors dans l'entreprise : une comparaison internationale

    Auteur(s) : MARBOT (Eléonore)
    Date de publication : janvier 2005
    Origine : INSTITUT DE L'ENTREPRISE (Editeur )

    Le vieillissement démographique est un phénomène auquel sont confrontés tous les pays développés. L'impact de ce vieillissement sur le taux d'emploi des seniors est toutefois très différent selon les pays. Cette étude vise en premier lieu à établir un état des lieux du vieillissement de la population et de l'évolution du taux d'emploi des seniors dans les pays de l'OCDE. Elle a ensuite pour objectif de recenser et d'analyser les facteurs qui y déterminent le niveau et l'évolution du taux d'emploi des seniors. Elle a enfin pour objet de recenser un certain nombre de « bonnes pratiques » à l'oeuvre dans les entreprises attachées à maintenir leurs salariés dans leur emploi une fois passé le cap des 55 ans.

    http://www.actdoc.anact.fr/Record.htm?idlist=92&record=19119563124919377459

  • Prévenir les risques liés au déménagement.

    Auteur(s) : BOURDON F.
    Date de publication : janvier 2005
    Origine : Santé et travail, n° 53, pages 49 à 51

    Le déménagement de tout ou partie de l'entreprise nécessite la mobilisation vigilante des membres du CHSCT. En effet, l'opération comporte des risques pour la sécurité des salariés poursuivant leur activité, mais aussi du personnel extérieur chargé de l'intervention. Par ailleurs, l'installation dans de nouveaux locaux s'accompagne bien souvent d'importants changements dans les conditions de travail des salariés, y compris ceux n'ayant pas déménagé. Cet article aborde les points suivants : obtenir des informations détaillées, étudier les futures conditions de travail (les changements attendus dans la vie professionnelle, les espaces de travail, l'environnement, les moyens, l'organisation du travail), consulter les salariés et recourir à un expert, veiller à l'application d'un protocole de sécurité, assurer un suivi.

    http://www.inrs.fr/

  • Concilier travail et famille en France : approches socio-juridiques

    Auteur(s) : Marie-Thérèse Letablier et Marie-Thérèse Lanquetin
    Date de publication : janvier 2005
    Origine : centre d'études de l'emploi

    Concilier une activité professionnelle avec une vie familiale est devenu un enjeu majeur pour les parents, comme pour les politiques, dans tous les pays occidentaux, en lien avec l’entrée massive des femmes sur le marché du travail et avec l’affaiblissement du modèle familial de monsieur Gagnepain. La progression des familles avec deux parents en activité professionnelle d’une part, et des familles monoparentales d’autre part, pose en termes nouveaux la question de l’articulation entre travail et vie familiale. Le droit s’adapte progressivement à ces changements sans toutefois remettre en question fondamentalement les principes sur lesquels il a été construit, au risque de tensions très fortes, d’incohérences, voire de conflits. L’objet de ce texte, issu d’un rapport de recherche commandé par l’Association des femmes de l’Europe méridionale (Afem) pour la Commission européenne, dans le cadre d’un programme Equal, est de dresser un état des lieux des aspects socio-juridiques de la « conciliation » en France, afin de les comparer aux autres pays de l’Europe méridionale. [ ... ]

    http://www.cee-recherche.fr/fr/rapports/travail_famille_france_sociojuridique.pdf

  • La coopération au travail selon les salariés

    Auteur(s) : Mihaï Dinu Gheorghiu et Frédéric Moat
    Date de publication : janvier 2005
    Origine : centre d'études de l'emploi

    Depuis plus de vingt ans les restructurations d’entreprises ainsi que les changements techniques et organisationnels promeuvent dynamiques collectives et coopération des salariés mais aussi autonomie et responsabilité individuelle. Pourtant, les divergences d’intérêts entre salariés et dirigeants n’ont pas disparu et le remodelage des collectifs de travail peut rendre problématique la formation d’identités collectives. L’enquête Changements organisationnels et information (COI) s’est intéressée aux significations et enjeux des réorganisations pour les salariés. Elle dresse le portrait des « travailleurs collectifs » de l’industrie et dégage certaines caractéristiques de leurs conditions de travail. Mais elle décèle également des différences dans la perception et le vécu des changements, différences liées à l’appartenance socioprofessionnelle et aux positions occupées dans les groupes de travail. Elle montre en outre que les salariés n’adhèrent pas tous à la figure du « coopérant ».

    http://www.cee-recherche.fr/fr/publicationspdf/c_emploi_16.pdf

  • La nouvelle organisation du travail et les risques professionnels

    Auteur(s) : ROSEAU G.
    Date de publication : janvier 2005
    Origine : Concours médical, volume 127, n° 20, pages 1092 à 1095

    Les praticiens doivent penser au "facteur travail" devant certains symptômes, plaintes ou affections. Sans compter les maladies qui puisent leurs racines dans l'environnement des salariés et dans les produits qu'ils manipulent. Les contraintes et les risques professionnels sont nombreux, parfois très spécifiques, et ils demandent une prise en charge spécialisée. Toutefois, quelques notions méritent d'être connues du corps médical dans son ensemble : elles concernent les cancers d'origine professionnelle, la charge mentale, la mobilité et le travail atypique, le problème du maintien dans l'emploi, notamment pour les handicapés et les salariés vieillissants.

    http://www.inrs.fr/

  • La fidélisation des salariés par l'entreprise à la carte

    Auteur(s) : CERDIN (Jean-Luc) ; PERETTI (Jean-Marie)
    Date de publication : janvier 2005
    Origine : REVUE DE GESTION DES RESSOURCES HUMAINES (Revue n°55)

    http://www.actdoc.anact.fr/Record.htm?idlist=11&record=19118516124919367989

  • L’avenir du travail en Europe, éthique et mondialisation

    Auteur(s) : Association OIC Culture et Développement, programme MOST de l’UNESCO
    Date de publication : janvier 2004

    Le contenu de cette publication résulte d’un contrat passé par l’UNESCO (Secteur des Sciences sociales et humaines, programme MOST « Management of Social Transformations ») avec un collectif d’Organisations non gouvernementales regroupées dans l’association « OIC Culture et Développement », déjà impliquées dans un colloque tenu en avril 1999 à Budapest avec le soutien principal de l’UNESCO sur le thème « Quel travail pour quel homme au XXIème siècle ? Défis éthiques et apport des associations ». Cette publication, composée de quinze fiches, porte sur l’avenir du travail en rapport avec l’éthique et l’impact de la mondialisation. L’ensemble géographique analysé est celui de l’Europe qui, en l’année 2004, a connu une phase majeure de transition avec l’adhésion à l’Union Européenne de dix nouveaux pays membres, lesquels, à deux exceptions près, ont émergé d’un long passé d’économie collectiviste.

    http://unesdoc.unesco.org/images/0013/001347/134775fo.pdf

  • Salariés âgés et emploi : approches européennes et internationales

    Date de publication : janvier 2004
    Origine : UNEDIC (Editeur )

    Le maintien des salariés âgés sur le marché du travail représente un enjeu majeur pour les entreprises, l'économie et la société. Après un rappel des recommandations et incitations de la Commission européenne en faveur de l'emploi des seniors, le document expose la situation des salariés âgés sur le marché du travail en France et dans l'Union européenne. Il examine ensuite les pratiques d'allongement de la vie professionnelle en Suède, au Japon, au Danemark, en Finlande, aux Pays-Bas et en Autriche

    http://www.actdoc.anact.fr/Record.htm?idlist=96&record=19118443124919366259

  • Favoriser le développement professionnel à tous les âges

    Date de publication : janvier 2004
    Origine : Travail et changement, n° 295, avril-mai 2004, pages 1 à 16

    Ce dossier consacré à la gestion du vieillissement des travailleurs comporte 4 volets. Tout d'abord, dans la partie consacrée aux enjeux de cette problématique, le réseau ANACT identifie des pratiques de ressources humaines innovantes afin de construire des parcours permettant de travailler plus longtemps. La 2e partie avance des arguments en faveur des parcours diversifiés qui permettraient d'encourager la diversité des âges au sein des entreprises et de favoriser la mobilité des parcours professionnels. Le 3e volet présente des cas observés dans certaines professions (soudeuses de Saint-Nazaire, extrudeurs), secteurs d'activité (secteur public, prêt-à-porter) et localités (Territoire de Belfort). Enfin, le dossier ouvre une réflexion sur les éléments incontournables pour guider l'action, en insistant sur 4 points de vigilance, et propose une sélection de références bibliographiques et de sites utiles.

    http://www.inrs.fr/

  • Sentiers d’innovation - Pathways to Innovation

    Auteur(s) : André-Yves Portnoff
    Date de publication : janvier 2003
    Origine : Éditions Futuribles, collection Perspectives

    Au travers de l’analyse de nombreux cas, ce livre montre que l’innovation peut apporter croissance économique, emplois et développement humain, mais à deux conditions. Les acteurs doivent avoir assez de vision et d’audace pour anticiper les changements, voire les provoquer, au lieu de les subir. Il leur faut aussi aller au-delà de la technique : innover, c’est réinventer métiers, modes d’organisation et styles de management. Innovations technique et socio-organisationnelle forment un tout indissociable.

    http://www.futuribles.com/pdf/Innovation.pdf

Bien-être

  • Le bien-être en France — Rapport 2020

    Auteur(s) : Observatoire du Bien-être du Cepremap
    Date de publication : janvier 2021

    Les notions de bien-être et de qualité de vie au travail ont depuis quelques années pris une place importante dans les discours d’entreprise et les formations aux ressources humaines. Bien souvent, ces expressions évoquent des espaces de travail épurés, garnis de coussins et de tables basses, avec fruits et café à disposition et l’institution d’un Chief Happiness Officer dont la mission serait de faire en sorte que les salariés arrivent le matin avec le sourire. Si cette représentation relève pour partie de la caricature, elle reflète la manière dont entreprises et administrations ont pensé saisir deux résultats qui proviennent, in fine du domaine de l’économie du bien-être subjectif (partie sur la vie au travail p.61 à 96).

    http://www.cepremap.fr/depot/2021/01/Le-Bien-etre-en-France-–-Rapport-2020.pdf

  • Ecogestes et bien-être au bureau

    Auteur(s) : Riposte Verte
    Date de publication : octobre 2019

    Savez-vous qu’un écogeste peut réduire votre impact environnemental ET améliorer votre bien-être au travail ? Aujourd’hui, l’étude menée auprès de 1 060 personnes sur ce lien inattendu livre ses résultats, en infographie pour mieux les visualiser et en livret pour profiter d’une analyse complète.

    https://www.riposteverte.com/sites/default/files/documents/Observatoire/OBR_2019_Livret_Etude_ecogestes.pdf

  • L’impact des relations sociales sur le bien-être au travail

    Auteur(s) : IFOP / Paris Workplace
    Date de publication : juin 2019

    Quel est l’impact du facteur humain sur le bien-être des salariés et la performance des entreprises ? La sixième édition de l’étude Paris Workplace, intitulée « Et si on se parlait ? Comment les interactions au bureau créent de la performance » et réalisée par l’Ifop pour SFL évalue les effets des relations sociales sur le bien-être des salariés et la performance de l’entreprise. En résumé : pour lutter contre l’isolement et générer du bien-être au travail, les entreprises doivent encourager leurs salariés à se voir, à se parler « en vrai » et à se concentrer sur un nombre de relations optimales (entre 3 et 10 interlocuteurs par jour). Les entreprises qui parviennent à cultiver les meilleures relations en interne sont aussi jugées les plus performantes.

    Lien 

  • Les Français et l’épanouissement au travail

    Auteur(s) : Wojo/Inkidata
    Date de publication : février 2019

    Depuis l’émergence du concept de coworking il y a dix ans, ce dernier n’a eu de cesse d’évoluer. Aujourd’hui il a fait ses preuves, à tel point que le gouvernement le voit comme un enjeu de développement des territoires. Pour autant, nous sommes nombreux à en avoir une vision déformée, comme en témoigne l’étude réalisée par Wojo en février dernier. Elle révèle que 62% des Français connaissent le concept, mais que seuls 14% se sont rendus dans un tel espace.

    https://blog.wojo.com/entre-boites/2019/04/30/coworking/

  • Quand les murs tombent

    Auteur(s) : Oxford Economics et Plantronics
    Date de publication : juillet 2017

    Bruits et distractions au travail : La quête de la concentration dans un environnement de travail chaotique

    Oxford Economics et Plantronics ont interrogé plus de 600 employés afin de mieux comprendre et d'appréhender les opportunités et les défis de l'environnement de travail. Les résultats révèlent que le bruit et les distractions ne sont plus de simples agacements pour les employés, mais deviennent de véritables freins à l'e cacité et au bien-être au travail.

    http://www.actineo.fr/sites/default/files/plt_infographie_oxford_fr_final.pdf

  • La relation entre l’espace de travail et le bien-être des salariés

    Auteur(s) : CD&B
    Date de publication : janvier 2017
    Origine : OPINION WAY

    La deuxième édition du baromètre OpinionWay a été publiée, à découvrir en vidéo.

  • Incivilités au travail

    Auteur(s) : ELEAS
    Date de publication : novembre 2015

    L’incivilité est une nuisance sociale qui bouscule les règles élémentaires de la vie en société. Les incivilités portent une atteinte diffuse mais grave à la qualité de la vie en entreprise. L’exposition aux incivilités produit les mêmes effets délétères que la pression harcelante, l’urgence permanente ou les injonctions contradictoires. 

    http://www.eleas.fr/documents/DP_ELEAS_2015_-_Colloque_Incivilites_au_travail_5_nov.pdf

  • Les Français subissent un niveau de stress particulièrement élevé

    Auteur(s) : Fondation de Dublin
    Date de publication : juin 2015

    La toute récente et troisième enquête européenne sur la qualité de vie que la Fondation de Dublin vient de publier, fait apparaître que les Français subissent un niveau de stress particulièrement élevé. Il apparaît que le manque de reconnaissance et la perte de sens font partie des facteurs les plus souvent cités, avec l'augmentation de l'insécurité de l'emploi.

    http://europa.eu/legislation_summaries/employment_and_social_policy/employment_rights_and_work_organisation/c11111_fr.htm

  • La qualité de vie au travail dans les PME

    Auteur(s) : Sodexo Services Avantages et Récompenses/TNS Sofrès
    Date de publication : mars 2015

    http://www.tns-sofres.com/etudes-et-points-de-vue/la-qualite-de-vie-au-travail-dans-les-pme

  • Les incivilités au bureau

    Auteur(s) : Eléas
    Date de publication : juin 2014

    Les manquements aux règles élémentaires de politesse seraient en augmentation au bureau ces dernières années. C’est ce que pense la moitié des salariés français, selon l’enquête menée par le cabinet de conseil en management des risques psychosociaux et de qualité de vie au travail Eléas. Un collègue qui passe un coup de fil privé à côté de vous, un autre qui vient soudainement vous interrompre dans votre travail ou laisse traîner ses gobelets de café dans les salles de réunion : voilà les trois principales nuisances que subit un salarié sur deux chaque semaine. Selon l’étude dévoilée mercredi 11 juin 2014, ils sont 63% à déclarer vivre au moins une incivilité par jour ou par semaine. Un tiers des travailleurs déclare même en souffrir.

    http://www.eleas.fr

  • Les jeunes et leur vision du bonheur au travail

    Auteur(s) : OpinionWay
    Date de publication : juin 2014

    Si le travail est parfois source de tensions et de conflits, il est aussi un facteur d’intégration fort. La preuve : selon un sondage Opinionway, les voisins de bureau sont perçus comme des amis par 30% des Français. Un sondage rassurant même si pour 70% des sondés un collègue reste… un collègue.

    Il n’empêche, 82% des salariés de bureau interrogés à l’occasion de la « Fête des voisins » estiment mieux connaître leurs voisins de bureau que leurs voisins de palier. D’ailleurs, environ deux tiers des salariés interrogés déclarent qu’ils continueraient à voir leurs collègues de bureau s’ils devaient changer de bureau ou de travail.

    opinion-way.com

  • Vie de bureau : comment les Français travaillent

    Auteur(s) : TNS Sofres
    Date de publication : juin 2014
    Origine : Bruneau

    Contrairement à ce que l'on pourrait croire en raison de la crise économique, notre étude révèle que les Français sont plutôt satisfaits de leur vie quotidienne au sein de leur entreprise. Solidaires, ils apprécient également les moments de convivialité. 84% des salariés se sentent bien au bureau ! Point d'entrée, 68% des salariés soutiennent que l'ambiance générale au sein de leur entreprise est « aux éclats de rire » et 84% « se sentent bien » à leur bureau. 62% déclarent que leurs collègues proches sont « motivés, contents d'être là » (73% des cadres et 72% dans les petites entreprises). Au global, 79% se déclarent satisfaits de l'endroit dans lequel ils travaillent… Un constat positif et optimiste face à une situation économique difficile.

    http://www.tns-sofres.com/etudes-et-points-de-vue/la-vie-des-francais-au-bureau

  • Les salariés français parmi les plus démotivés d'Europe

    Auteur(s) : Ipsos
    Date de publication : mai 2014
    Origine : Baromètre Ipsos-Edenred 2014

    Edenred et Ipsos dévoilent la neuvième édition du Baromètre sur le bien-être et la motivation des salariés européens. Si la gestion des compétences reste le casse-tête des organisations dans une Europe du Sud où le maintien de l’emploi (et du pouvoir d’achat) demeure la priorité n°1, le temps de travail revient sur le devant de la scène chez les salariés anglais, allemands ou suédois. Avec à la clé un autre challenge RH de taille pour les entreprises : (re)définir l’organisation du travail à l’ère du « blurring », qui accroit les tensions et déséquilibres, en particulier chez les managers.

    www.ipsos.fr 

  • Moins d'un salarié français sur trois s'estime « souvent » heureux au travail

    Auteur(s) : Endenred, Ipsos
    Date de publication : mars 2011

    Depuis 2007, Edenred et Ipsos conduisent une enquête annuelle auprès d’un large échantillon de 4 000 salariés français. Objectif : ausculter la motivation des salariés, l’état de leur relation au travail, de leur bien être au travail. Par rapport à 2010, 2011 présente une perspective nettement plus radicale (« rupture ? »). Au-delà de la conjoncture (l’effet « sortie de crise » pouvant accentuer les attentes des salariés), on fait le constat... … d’une impasse : satisfaction professionnelle et motivation atteignent des scores historiquement bas. En cause, un déficit toujours aussi massif en terme de rétribution (la question du pouvoir d’achat et du niveau de salaire restent très sensibles) ; mais aussi la question de l’utilisation des compétences, des conditions de l’accomplissement au travail. … d’une confirmation : les blocages structurels du marché du travail sur le long terme empêchent la majorité des salariés de se projeter dans un avenir professionnel. Par ailleurs, la réforme des retraites a contribué à brouiller encore un peu plus les cartes (quelle fin de carrière professionnelle ?) et rendu plus aigue la question de l’employabilité des salariés. … de deux signaux d’alerte : le premier concerne l’encadrement supérieur. Les tendances soulignées en 2010 se confirment. Démotivation, sentiment de trop s’impliquer, stress… autant de signes qui doivent interpeller. Cause ou conséquence, la confiance dans le management baisse (surtout dans le secteur public), de même que l’appréciation portée aux pratiques managériales. Deuxième signal d’alerte, les salariés Français se disent moins souvent ‘heureux’ au travail. Pour la première fois, l’une des caractéristiques traditionnelles de la relation des salariés français à leur travail (une dimension affective, quasi hédoniste) semble atteinte, en particulier dans le secteur public.

    http://www.ipsos.fr/ipsos-loyalty/actualites/barometre-edenred-ipsos-motivation-et-bien-etre-salaries-francais-2011

  • Les salariés ont le moral en berne

    Auteur(s) : Ipsos, Logica Business Consulting, Altedia, les Echos
    Date de publication : mars 2011

    Le Baromètre du Moral des Salariés Ipsos/Logica Business Consulting réalisé pour Altedia et les Echos dresse un panorama pessimiste de l’état d’esprit des salariés. Même s'ils se déclarent toujours intéressés et motivés par leur métier, on relève des niveaux de stress (35% des sondés) et d’inquiétude (25%) importants, notamment dans les plus grandes entreprises. Des cadres aux ouvriers, dans tous les secteurs d'activités, la crise économique a laissé des traces. Plus de quatre salariés sur dix pensent qu’ils connaitront une période de chômage dans les prochaines années, et près de six sur dix considèrent qu’ils auront du mal à retrouver un emploi. Remettant aussi parfois en cause le travail des dirigeants pendant cette période, les salariés souhaiteraient un plafonnement de leurs rémunérations, même si beaucoup pensent que c'est irréaliste. L’enquête mesure au final une tendance à la démotivation, liée au manque de perspectives d’évolutions et à une forte insatisfaction en matière de salaire.

    http://www.ipsos.fr/ipsos-public-affairs/actualites/salaries-ont-moral-en-berne

  • Les salariés ont le moral en berne

    Auteur(s) : Ipsos, Logica Business Consulting, Altedia, les Echos
    Date de publication : mars 2011

    Le Baromètre du Moral des Salariés Ipsos/Logica Business Consulting réalisé pour Altedia et les Echos dresse un panorama pessimiste de l’état d’esprit des salariés. Même s'ils se déclarent toujours intéressés et motivés par leur métier, on relève des niveaux de stress (35% des sondés) et d’inquiétude (25%) importants, notamment dans les plus grandes entreprises. Des cadres aux ouvriers, dans tous les secteurs d'activités, la crise économique a laissé des traces. Plus de quatre salariés sur dix pensent qu’ils connaitront une période de chômage dans les prochaines années, et près de six sur dix considèrent qu’ils auront du mal à retrouver un emploi. Remettant aussi parfois en cause le travail des dirigeants pendant cette période, les salariés souhaiteraient un plafonnement de leurs rémunérations, même si beaucoup pensent que c'est irréaliste. L’enquête mesure au final une tendance à la démotivation, liée au manque de perspectives d’évolutions et à une forte insatisfaction en matière de salaire.

    http://www.ipsos.fr/ipsos-public-affairs/actualites/salaries-ont-moral-en-berne

  • Les émotions au travail

    Auteur(s) : Academy of Management Journal
    Date de publication : février 2011

    Une étude américaine souligne les effets néfastes des expressions hypocrites sur la santé et la productivité des salariés. Vous vous êtes levé du pied gauche, mais cherchez à dissimuler vos états d'âme derrière un masque de bonne humeur ? Vous n'adoptez pas nécessairement la bonne stratégie. Selon les conclusions d'une étude américaine publiée dans l'Academy of management Journal, les sourires forcés seraient nuisibles à la santé des personnes intéressées, de même qu'à à leur productivité. Cette enquête menée auprès de conducteurs de bus montre que ceux qui se contraignent à être aimables voient leur humeur peu à peu se détériorer en même temps qu'ils tendent à se désinvestir de leur tâche. Elle confirme les conclusions d'études précédemment menées sur le sujet.

    http://www.aomonline.org/aom.asp?id=44

  • Les indépendants jugent leur travail plus agréable que les salariés

    Auteur(s) : Insee
    Date de publication : janvier 2011
    Origine : INSEE

    Les activités jugées les plus désagréables sont celles reliées au travail ou aux études, avec une notation en moyenne nulle ce qui ne préjuge cependant pas du bien-être général. Les élèves les plus jeunes sont les plus mécontents des moments consacrés à l’étude, l’appréciation augmentant avec l’âge (ces résultats sont cependant à prendre avec précaution en raison du faible nombre d’observations). Cela peut s’expliquer par le fait que les jeunes qui aiment le moins l’école sont moins enclins à poursuivre des études. Les non-salariés apprécient plus les moments liés à leur activité professionnelle que les salariés (graphique 5). Parmi ces derniers, il y a peu de différences d’appréciation en fonction de leur position hiérarchique ou du statut de leur employeur (public/privé). Travailler à l’extérieur ou à la maison ne change pas l’appréciation des travailleurs à l’égard de leur tâche professionnelle. Plus les personnes se déclarent fatiguées à la fin d’une journée, moins elles apprécient les moments liés au travail, en particulier lorsque la fatigue est due à l’ambiance au travail. Contrairement aux tâches domestiques, le fait d’être pressé par le temps n’a pas d’influence sur leur jugement. Enfin, les extrêmes se rejoignent : lorsque les journées de travail sont très courtes ou extrêmement longues, le jugement est encore plus négatif.

    http://www.insee.fr/fr/themes/document.asp?ref_id=ip1378#inter6

  • Première étude statistique sectorielle sur le Bien-être/Mal-être au Travail

    Auteur(s) : Mozart Consulting
    Date de publication : janvier 2011

    Un Indice de Bien-être au Travail (IBET©) sectoriel global 2009 de 0,77 indiquant une dégradation de 23% de la performance opérationnelle et un climat socio-organisationnel contraint des entreprises et organisations

    http://mozartconsulting.fr/Documents/indice%20bien%20etre%20au%20travail%20sectoriel_IBET.pdf

  • La première étude statistique sectorielle sur le bien-être/mal-être au travail

    Auteur(s) : Mozart Consulting
    Date de publication : janvier 2011

    Un Indice de Bien-être au Travail (IBET©) sectoriel global 2009 de 0,77 indiquant une dégradation de 23% de la performance opérationnelle et un climat socio-organisationnel contraint des entreprises et organisations. Les secteurs « Industrie » et « Filière Agroalimentaire » se distinguent par leur IBET supérieur à 0,80. A l’inverse les activités Tertiaires sont les plus dégradées par leur TMET (Taux de Mal-Etre au Travail) en particulier pour les sorties forcées.

    http://mozartconsulting.fr/Documents/indice%20bien%20etre%20au%20travail%20sectoriel_IBET2009.pdf

  • J’aime ma boîte !

    Auteur(s) : Majencia, Opinion Way
    Date de publication : octobre 2010

    69% des salariés déclarent en 2010 aimer leur boîte. Un score qui, dans les circonstances actuelles, est tout à fait positif. Cet attachement se confirme lorsque 61% de ces mêmes salariés déclarent souhaiter rester dans la même entreprise jusqu’à leur retraite. Un score étonnant puisque 48% des moins de 35 ans partagent ce souhait. Par ailleurs, la France des salariés semble un peu coupée en deux : 45% pensent qu’on est « trop négatif vis-à-vis des entreprises », et que 42% pensent le contraire. 52% « travailleraient même s’ils n’en avaient pas besoin », alors que 47%, non ! Ni la région, ni le sexe, ni l’âge n’interfèrent dans ce choix. 50% seraient malheureux de quitter leur entreprise, alors que 49% ne le seraient pas… Ils sont 55% à être sensibles à l’esthétique et à l’ergonomie (mobilier, éclairage…) de leur lieu de travail et considèrent que c’est essentiel à leur épanouissement.

    http://www.jaimemaboite.com/sondage_jmb2010.pdf

  • Risques psychosociaux, stress, souffrance et bonheur au travail : Pour une approche paradigmatique et sociétale

    Auteur(s) : Alain d’Iribarne, président du conseil scientifique d’ACTINEO, CNRS/FMSH
    Date de publication : janvier 2010

    Si on en juge par les nombreux ouvrages et articles qui leur sont consacrés, en écho aux enquêtes d’opinion et à la vague de suicide au travail ou mettant en cause les conditions de travail, ainsi que par la manière dont le politique s’est saisi du sujet, le stress et la souffrance au travail constituent aujourd’hui, pour la France, ce que l’on appelle un phénomène de société. Dès lors qu’un tel phénomène émerge avec autant de force, il importe d’essayer d’en comprendre la nature et les causes – ainsi que la signification -, et cela d’autant plus qu’il existe par ailleurs des indices nombreux et convergeant de bonheur au travail.

    http://www.actineo.fr/IMG/pdf/ADRH_Alain_dIribarne.pdf

  • Le stress nous coûte entre 1 et 2 milliards par an

    Auteur(s) : France Stratégie
    Date de publication : septembre 2009

    "En France, le coût direct et indirect du stress peut être évalué entre 1,2 à 2 milliards d’euros par an, ce qui équivaut à entre 3 et 3,5 millions de journées de travail perdues et 14,4 à 24,2% des dépenses de la branche accidents du travail et maladies professionnelles (ATMP) de la Sécurité sociale", note le rapport.

    http://www.20minutes.fr/article/561959/Economie-Le-stress-nous-co-ucirc-te-entre-1-et-2-milliards-par-an.php

    http://www.strategie.gouv.fr

     

  • Rapport sur la détermination, la mesure et le suivi des risques psychosociaux au travail

    Auteur(s) : NASSE (Philippe) ; LEGERON (Patrick
    Date de publication : janvier 2008
    Origine : MINISTERE DU TRAVAIL (Distributeur )

    A la demande de Xavier Bertrand, ministre du travail, des Relations sociales et de la Solidarité, Patrick Légeron, psychiatre et Philippe Nasse, magistrat, ont remis à leur rapport sur la détermination, la mesure et le suivi des risques psychosociaux au travail. Cette mission leur a été confiée suite à la conférence sur les conditions de travail du 4 octobre 2007. Ce rapport définit le stress au travail comme le premier risque psychosocial puis les phénomènes de harcèlement et de violence au travail. Ensuite, il examine l'ensemble des indicateurs disponibles ou à mettre en oeuvre, permettant d'identifier, de quantifier et de suivre les risques psychosociaux. Enfin, il énumère huit propositions d'actions publiques concrètes à entreprendre, en commençant par la constitution d'un indicateur global, puis en détaillant les actions particulières relevant de la responsabilité de l'Etat et celles relatives à la formation et à l'information des acteurs concernés par ces risques. En conclusion, une neuvième proposition suggère au Conseil d'orientation des conditions de travail de faire un rapport périodiquement au Gouvernement et aux partenaires sociaux sur l'état d'avancement des travaux issus des propositions précédentes

    http://www.travail-solidarite.gouv.fr/IMG/pdf/RAPPORT_FINAL_12_mars_2008.pdf

  • Le bien-être psychologique des salariés au travail

    Date de publication : janvier 2007
    Origine : IFOP (Editeur )

    Etude IFOP réalisée auprès de 300 directeurs des Ressources Humaines d'entreprises de 250 salariés et plus : La quasi totalité des DRH interrogés (99%) considèrent que le bien être psychologique des salariés est un enjeu important pour l'entreprise et que sa promotion est un thème de préoccupation majeur (88%). Cette promotion est selon eux un moyen d'augmenter la productivité de l'entreprise (69%) et d'attirer ou de retenir les talents (68%). Pour 83% des DRH interrogés, l'amélioration des pratiques managériales peut contribuer au bien-être des salariés.

    http://www.actdoc.anact.fr/Record.htm?idlist=73&record=19152985124919701679

  • Le burn-out, phase ultime du stress.

    Auteur(s) : GONSE I.
    Date de publication : janvier 2007
    Origine : Généraliste, n° 2420, cahier 1, page(s) 40

    Le stress au travail et ses conséquences représentent un motif de consultation de plus en plus fréquent et ne se limite plus aux cadres. Mais la collaboration entre médecins du travail et médecins de ville est encore balbutiante. La médiatisation récente des suicides chez Renault a remis sur le devant de la scène un phénomène connu depuis longtemps au Japon comme "syndrome de Karoshi", responsable de plusieurs centaines de décès par an dans l'archipel nippon, principalement par crise cardiaque ou suicide consécutifs à un épuisement professionnel, l'équivalent japonais du fameux burn-out.

    http://www.inrs.fr/

  • Le mal-être au travail : souffrance psychique, harcèlement moral, stress, agressivité et conflits, violence au travail, burn-out

    Auteur(s) : Directeur COMBALBERT (Nicolas) ; Directeur RIQUELME-SENEGOU (Catherine)
    Date de publication : janvier 2006
    Origine : PRESSES DE LA RENAISSANCE (Editeur )

    Stress, harcèlement, conflits, épuisement, violences, traumatismes, suicide... Les exigences de la vie en entreprise font apparaître des risques professionnels et de la santé publique sans précédent. Cet ouvrage rend compte de la diversité des risques. Il identifie les modes d'expression de la souffrance individuelle et collective du monde du travail. Toutes les mesures de prévention mises en place dans les institutions pour contrôler ces risques sont abordées : campagne de sensibilisation, observatoires et évaluations, formations, communication et gestion de crise, accompagnement et prises en charge thérapeutiques.

    http://www.actdoc.anact.fr/Record.htm?idlist=89&record=19145998124919631709

  • Stress management : a consideration of issues and some implications for practice. (Gestion du stress : questions et conséquences pratiques)

    Auteur(s) : GARDNER D.
    Date de publication : janvier 2006
    Origine : Journal of Occupational Health and Safety. Australia and New Zealand, Australie, volume 22, n° 1, pages 37 à 44

    Cet article traite du modèle facteur de stress-stress et discute de ses limites. Le modèle transactionnel du stress, plus adapté, est également présenté. De nombreuses stratégies de gestion du stress sont connues cependant un manque de base théorique est à noter. Mesurer le stress en demandant simplement aux employés d'évaluer l'étendue des facteurs de stress dans leur travail et en résumant les résultats, n'est pas suffisant. Gérer les facteurs de stress au travail ne se réduit pas seulement à identifier, évaluer et contrôler ces facteurs, il faut ensuite veiller à ne pas éliminer l'aspect positif du travail. Le stress et la satisfaction peuvent intervenir simultanément. La gestion du stress implique de considérer chaque individu, les facteurs contextuels dans le but de limiter le stress, sans réduire pour autant la satisfaction que le travail peut induire.

    http://www.inrs.fr/

  • Les déterminants psychologiques de la performance au travail. Un bilan des connaissances et proposition de voies de recherche

    Auteur(s) : COMMEIRAS (Nathalie) ; ROUSSEL (Patrice) ; CHARLES-PAUVERT (Brigitte) ; et al.
    Date de publication : janvier 2006
    Origine : LABORATOIRE INTERDISCIPLINAIRE DE RECHERCHE SUR LES RESSOURCES HUMAINES ET L'EMPLOI (Editeur )

    Le concept de performance individuelle au travail est particulièrement étudié dans les travaux de gestion des ressources humaines, de comportement organisationnel et de psychologie organisationnelle, sans pour autant être clairement défini ou produire des résultats empiriques exploitables. Ce paradoxe s'explique probablement par la nature des travaux académiques qui sont conduits jusqu'à présent sur le concept de performance individuelle au travail. Ils se focalisent, d'une part, sur les techniques de mesure de la performance individuelle : l'évaluation par les supérieurs, les indices de productivité, de qualité de service, de délai de production, de livraison. D'autre part, ils portent sur les conséquences directes et indirectes de la performance - l'absentéisme, le turnover, les rétributions salariales, les promotions - et enfin, sur les déterminants individuels de nature psychologique (motivation, implication, satisfaction).

    http://www.univ-tlse1.fr/LIRHE/

  • Le stress des cadres

    Auteur(s) : SALENGRO B.
    Date de publication : janvier 2005
    Origine : Questions contemporaines. L'Harmattan

    Les cadres sont généralement considérés comme des privilégiés parmi les salariés. Cependant, à la lumière des travaux de l'Observatoire du stress créé en 2000 par l'auteur au niveau confédéral de la CFE-CGC, il ressort nettement que cette image appartient au passé. En effet, les cadres (au sens large du terme de responsables et de professionnels) l'expriment clairement au travers des sondages, des témoignages et des études qui leur sont consacrées, ainsi que du ressenti des responsables syndicaux : ils n'ont pas assez de temps, pas assez de reconnaissance ni de visibilité, et le sentiment d'être à la naissance de l'industrialisation du tertiaire. Cette perception négative de leur vécu est responsable de mauvaise productivité, de mauvaise santé et d'un climat social détestable. Au sommaire : l'Observatoire du stress (présentation et fonctionnement) ; des maux cachés derrière les chiffres ; les enquêtes de l'Observatoire du stress ; qu'est-ce que le stress ? ; la charge de travail ; le temps de travail des cadres ; le stress du commercial ; le stress des soignants ou le burn out.

    http://www.inrs.fr/

  • Souffrances, le coût du travail humain.

    Auteur(s) : POITOU P.
    Date de publication : janvier 2005
    Origine : Questions contemporaines. L'Harmattan

    Cet ouvrage décrit et explique les effets pervers du travail sur la vie humaine. L'auteur a passé dix ans à observer et analyser le vécu d'hommes et de femmes dans les entreprises. Il apporte un témoignage approfondi et un éclairage précis sur la souffrance au travail, le stress, et les pressions psychologiques subies par les salariés. Il nous expose tous les effets négatifs générés par les nouvelles organisations où, face au pouvoir économique et financier, l'homme compte peu. Au sommaire : du passé au présent ; le taylorisme ; hors du taylorisme, et jusqu'à nos jours ; le vécu de l'ergonomie au quotidien ; collecter des informations pour agir ; communications dans le travail ; performance et compétence ; erreur humaine et fiabilité ; motivation et travail ; l'accident du travail ; absentéisme et maladie ; médecine du travail ou santé au travail ; la FMA (fiche médicale d'aptitude) ; relations homme - travail ; les espaces de travail, des lieux symboliques ; les nuisances au travail ; le travail en postes ; la sécurité au travail ; la souffrance au travail ; automatisation ; rôle d'un opérateur ; les normes ISO et autres systèmes identiques ; les 35 heures par semaine ; l'analyse ergonomique de l'activité de travail ; le travail des femmes ; délocalisations ; la formation professionnelle ; chimie française, maladie chronique ou agonie ? ; restons-nous citoyens dans l'entreprise ? ; le mépris et l'indignité ; la mort par accident du travail, drame collectif ; quel avenir pour nos enfants ? ; la retraite ; handicap et travail ; syndicalisme à hauts risques ; dépôt de bilan ou liquidation judiciaire ; ergonome d'entreprise, mission impossible ?

    http://www.inrs.fr/

  • The relationship between job satisfaction and health : a meta-analysis. (Relation entre la satisfaction au travail et la santé : une méta-analyse).

    Auteur(s) : FARAGHER E.B. ; CASS M. ; COOPER C.L.
    Date de publication : janvier 2005
    Origine : Occupational and Environmental Medicine, Royaume-Uni, volume 62, n° 2

    Un nombre important d'études publiées a suggéré un lien entre les niveaux de satisfaction au travail et la santé. Le niveau des relations rapportées variaient considérablement. Des descriptions techniques sur cette relation ont été publiées, mais il n'a pas été mené de méta-analyse systématique. Une revue systématique et une méta-analyse de 485 études avec un échantillon combiné de 267 995 individus a été effectuée, évaluant les preuves de recherche en associant les mesures auto-rapportées de satisfaction au travail aux mesures de bien-être physique et mental. La corrélation globale combinée sur toutes les mesures de la santé était r = 0,312 (0,370 après ajustement de Schmidt-Hunter). La satisfaction était le plus fortement associée avec les problèmes mentaux / psychologiques ; les relations les plus fortes étaient trouvées pour le burn-out (r = 0,478 corrigé), l'estime de soi (r = 0,429), la dépression (r = 0,428), et l'anxiété (r = 0,420). La corrélation avec la maladie physique subjective était plus faible (r = 0,287). Les corrélations supérieures à 0,3 sont rares dans ce contexte. La relation trouvée suggère que le niveau de satisfaction au travail est un facteur important influençant la santé des travailleurs.

    http://www.inrs.fr/

  • Le bien-être au travail : un objectif pour la prévention ?

    Auteur(s) : GROSJEAN V.
    Date de publication : janvier 2005
    Origine : Note documentaire ND 2223-198-05. Hygiène et sécurité du travail. Cahiers de notes documentaires, n° 198

    L'une des thématiques de recherche de l'INRS est centrée sur le bien-être et la santé au travail. Cette préoccupation pour le bien-être prend de l'ampleur, à la fois dans les institutions concernées par la santé au travail, dans les thèmes de recherches au niveau européen et dans un certain nombre d'entreprises. A l'heure où les atteintes manifestes à la santé continuent de concerner un nombre important de salariés, qu'il s'agisse des pathologies émergentes ou des accidents du travail, il n'est pas inutile de préciser les raisons de l'intérêt pour cette thématique. Cet article répond à cette question, en soulignant que le concept de bien-être est de nature à proposer un horizon consensuel et constructif pour l'entreprise et ses partenaires, afin de dépasser certaines difficultés rencontrées lorsqu'il s'agit de promouvoir la santé au travail dans un monde caractérisé par une recherche constante d'amélioration de la productivité, souvent synonyme d'un accroissement des exigences vis-à-vis des salariés.

    http://www.inrs.fr/

  • Les émotions au travail

    Auteur(s) : CIRANO
    Date de publication : janvier 2003

    Une étude de référence sur les émotions au travail, encore aujourd’hui. Ces émotions s’avèrent une réalité passionnante. Elles ne sont pas qu’omniprésentes au travail, elles peuvent aussi servir à favoriser l’atteinte d’objectifs organisationnels — elles doivent cependant être employées de façon réfléchie. La simulation d’émotions a un prix. Le dirigeant efficace cherchera des façons de mettre les émotions naturelles de ses employés au service de l’entreprise. Aider ses employés à faire preuve de plus d’empathie dans leurs relations avec les clients et créer un environnement équitable pour tous, voilà deux moyens permettant de réaliser cet objectif.

    http://www.cirano.qc.ca/pdf/publication/2003RB-04.pdf

Environnement numérique

  • #Montravailàdistance, Jenparle !

    Auteur(s) : RESPUBLICA
    Date de publication : juin 2020

    « #Montravailàdistance, Jenparle !, enquête réalisée par Res publica, en partenariat avec la CFDT, Terra Nova, Metis Europe, Liaisons sociales magazine et Management et RSE ». 

    L’enquête #Montravailàdistance, Jenparle ! qui a permis d’explorer l’exceptionnelle période de travail confiné et à distance, et la suite, l’enquête #Monretourautravail, Jenparle ! a pour ambition d’observer, au fur et à mesure qu’il se déroule, le retour sur leur lieu de travail habituel de tous les travailleurs qui en ont été éloignés au cours des dernières semaines, quelle qu’en soit la raison. Témoignez de votre expérience !

     

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  • 2030, l’Odyssée de l’espace de travail

    Auteur(s) : Colliers International France
    Date de publication : novembre 2019

    Le Big data, l’intelligence artificielle, l’ubérisation de l’économie, les évolutions technologiques chamboulent notre monde d’aujourd’hui, les entreprises sont challengées, le management est bousculé.  Dans ce contexte d’évolutions toujours plus rapides, parlera-t-on toujours dans 10 ans d’espace de travail ou encore de bureaux ? Qu’en sera-t-il de l’hégémonie des GAFA, ou du CDI ? Aurons-nous encore un bureau, des collègues de travail ? Les grandes villes attireront-elles toujours autant les travailleurs ? Fruit d’un travail de recherche d’une année, Colliers International France présente dans cette étude inédite ses 5 scénarios décrivant les évolutions possibles liées au travail et à l’immobilier tertiaire en France à l’horizon 2030. Cette étude a été réalisée en collaboration avec le centre international d'études prospectives Futuribles.

    http://etude-prospective-environnements-de-travail-2030.334f.brandcast.io/5-scenarios/

     

  • TMT Predictions 2019

    Auteur(s) : Deloitte France
    Date de publication : février 2019

    Selon une étude Deloitte France, 5 grandes tendances des secteurs de la technologie, des médias et des télécommunications dans le monde sont à connaître pour 2019.

    Par exemple, l'Intelligence Artificielle. En 2019, les entreprises accéléreront leur rythme d’adoption des logiciels et services basés sur le cloud. Parmi celles qui se tournent vers l’IA, 70% accéderont aux ressources de cette technologie et 65% créeront des applications d’IA à l’aide de services de développement cloud. L'IA s'applique à divers domaines comme la santé. IBM Watson est l'une des technologies phares du secteur - avec une capacité de compréhension du langage naturel, une analyse data et un score de fiabilité dans les résultats. D'autres types d'IA existent comme les chatbots avec les nouveautés en e-santé. Ils permettent de donner un premier avis médical sur un questionnaire simple / élémentaire. L'IA est également présent en entreprise avec l'usage de CRM ou de chatbots dédiés au e-commerce notamment. Dans le secteur industriel, l'Intelligence Artificielle a également une place de choix notamment sur le travail à la chaîne où les robots ont peu à peu remplacé certaines tâches manuelles.

    https://www2.deloitte.com/fr/fr/pages/technology-media-and-telecommunications/articles/tmt-predictions.html

  • Demain, tous mobiles ?

    Auteur(s) : Paris Workplace SFL-Ifop
    Date de publication : juin 2018

    SFL publie les résultats complets du 5e baromètre Paris Workplace SFL-Ifop, intitulé « Demain, tous mobiles ? » Alors que la mobilité est au cœur des préoccupations publiques (assises nationales, projet de loi Borne…), et que les débats sur le travail nomade se multiplient, SFL a mené une enquête inédite sur le sujet : 90 questions posées à 2 000 salariés à Paris et première couronne. Avec la mobilité envisagée pour la première fois de manière globale : les trajets domicile-travail + la mobilité dans le quartier + les déplacements à l’intérieur des espaces de bureau.

    https://www.parisworkplace.fr/wp-content/uploads/2018/05/cp-sfl-ifop-parisworkplace-2018.pdf

     

  • Baromètre EY de l'investissement des entreprises innovantes

    Auteur(s) : EY
    Date de publication : juin 2018

    Portée par la renommée de la « French Tech » et l’augmentation des levées de fonds, la France confirme au 1er semestre 2018 sa dynamique et l’attrait de son écosystème de start-up et de scale-up, de plus en plus structuré.

     

    https://www.ey.com/fr/fr/services/strategic-growth-markets/ey-barometre-de-l-investissement-des-entreprises-innovantes

  • Travaille-t-on (vraiment) mieux dans la French Tech ?

    Auteur(s) : Paris Workplace SFL / Ifop
    Date de publication : février 2018

    L'édition 2017 du baromètre Paris Workplace SFL-Ifop révèle que les salariés de la French Tech trouvent satisfaction et bien-être dans leurs bureaux ! On y apprend par exemple que 88 % des salariés de la French Tech se disent satisfaits de leurs bureaux, contre 72 % de la population générale. Les bureaux ont été importants pour eux dans le choix de rejoindre leur entreprise (à 56 % contre 30 % pour la population générale). Ils estiment que leurs bureaux ont un impact positif sur leur motivation à 75 % (contre 56 % de la population générale), sur la performance de l'entreprise à 73 % (contre 56 %), et sur l'image et la réputation de l'entreprise à 84 % (contre 62 %). Leurs bureaux sont une source de fierté pour 86 % d'entre eux (contre 54 %).  Dans la Tech, les bureaux ne sont pas seulement faits pour travailler... mais pour travailler ensemble. Seulement 1 % des salariés French Tech travaillent dans un bureau individuel fermé.  Ils sont en open space à 88 %, dont 63 % des dirigeants (vs 14 % dans la population générale). Dans la population générale, plus on travaille en bureau ouvert, moins on est heureux...c'est exactement le contraire dans la French Tech : 8,7 personnes sur 10 ressentent du bien-être sans bureau attitré, 8 sur 10 dans un open space de plus de 6 personnes, et 7,6 sur 10 dans un bureau fermé de 2 à 6 personnes. Pour la moitié d'entre eux (vs moins du quart), le bureau individuel fermé est synonyme d'isolement. A 68 % (vs 39 %), ils travaillent "très souvent" en équipe. Et plus ils travaillent en équipe, plus ils sont heureux. C'est d'ailleurs, avec 44 %, la première raison pour eux de se rendre au bureau, suivi de la vie sociale entre collègues (à 34 %). Les start-up, un nouveau paradigme pour les bureaux ?

    https://www.parisworkplace.fr/wp-content/uploads/2017/04/paris-workplace-2017.pdf

  • Génération Applis

    Auteur(s) : Fuze
    Date de publication : juillet 2017

    Les jeunes d'aujourd'hui ont grandi dans un monde où il existe a une application pour toute chose. Les smartphones, les appels vidéo et la messagerie sont devenus omniprésents. Bientôt, cette génération va rejoindre la population active, mais votre entreprise est-elle prête pour cet afflux de nouveaux travailleurs avides d'applications ? Le monde de l'entreprise ne parvient pas à suivre l'évolution des applications et de la communication grand public. Et une nouvelle étude européenne de plus de 7000 travailleurs et adolescents montre qu'il n'y a pas que les jeunes qui ont une nouvelle conception de la manière de travailler.

    https://www.fuze.com/static/appgeneration/business-fr.php?wp=1

  • Perspectives DSI

    Auteur(s) : Fuze
    Date de publication : juillet 2017

    Le rôle du DSI n'a jamais été aussi complexe qu'aujourd'hui. Les responsabilités opérationnelles, les pressions budgétaires, les attentes des clients et les exigences du marché sont autant de facteurs qui créent un univers unique dans lequel les DSI évoluent. Une étude réalisée auprès de 292 DSI dévoile les défis à relever ainsi que les stratégies clés et les initiatives innovantes que les DSI souhaitent mettre en œuvre en 2017.

    https://www.fuze.com/fr/cio-outlook-report

  • DSI : l’avenir du travail

    Auteur(s) : Fuze
    Date de publication : juillet 2017

    Notre façon de travailler est en train d'évoluer. Une diversité croissante d'avis et d'attentes des collaborateurs est au cœur de cette révolution. Ces derniers exigent la même qualité d'expérience au travail que dans leur vie privée ainsi que plus de souplesse concernant le lieu et la façon de travailler. Une nouvelle génération de collaborateurs maîtrisant les nouvelles technologies et n'ayant jamais connu le monde sans smartphone va bientôt arriver sur le marché du travail. Et elle compte bien travailler comme elle l'entend, quand elle le veut et avec les technologies de son choix.

    Mais le monde du travail de demain crée un environnement toujours plus complexe pour les responsables informatiques. En effet, ces derniers doivent jongler entre les exigences des plus jeunes et celles des collaborateurs plus expérimentés tout en relevant les défis liés à leurs responsabilités opérationnelles, aux pressions budgétaires et aux attentes des clients toujours plus exigeants.

     

    https://fr.fuze.com/casser-les-codes-d-ici-2020

  • La vie au bureau dans les start-up de la french Tech

    Auteur(s) : Ifop pour SFL
    Date de publication : juin 2017

    Découvrez en infographies les résultats du baromètre Paris Workplace 2017 réalisée par l'Ifop pour SFL. Avec cette année, un focus inédit sur les bureaux de 10 représentants de la French Tech : Meetic, Drivy, Criteo, Devialet, Younited Credit, MonDocteur, Alchimie, 1000mercis, GuestToGuest, ManoMano.

    https://www.slideshare.net/SFL-SocieteFonciereLyonnaise/paris-workplace-ifopsfl-2017-travailleton-vraiment-mieux-dans-la-french-tech

  • Les nouveaux modes de travail à l’ère du digital : enjeux et opportunités, exemples et enseignements

    Auteur(s) : Orange business
    Date de publication : juin 2014

    Plus que jamais, les individus ont accès à travers le monde à des technologies puissantes et adoptent peu à peu la transformation digitale dans leurs vies personnelles. En raison de la multiplication des terminaux, ces derniers sont connectés en permanence, interagissent et communiquent fréquemment. Ainsi, en 2013, un milliard de smartphones ont étévendus dans le monde (en augmentation de 35% par rapport à 2012), dépassant les ventes de téléphones portables, et de nombreuses personnes disposent de plusieurs appareils : « tout le monde possède au moins trois terminaux mobiles : un smartphone, une tablette et un ordinateur portable » explique Paul, cadre d’une compagnie d’assurance internationale en Asie. Plus de 4,2 milliards de personnes utilisent leurs terminaux mobiles pour accéder aux médias sociaux afin de rester en contact et être informées de façon permanente.

    http://www.orange-business.com/files/media/les-nouveaux-modes-de-travail-a-l-ere-du-digital.pdf

  • Les Français et la dépendance au mobile

    Auteur(s) : IFOP-ROOMN
    Date de publication : février 2013

    42% des Français se déclarent dépendants à leur mobile mais la majorité développe des stratégies d’auto-discipline quant à son utilisation.

    · La « dépendance » au mobile se ressent principalement chez les moins de 25 ans (78%), les cadres supérieurs (62%) et les utilisateurs de smartphones (58%)
    · Environ un français sur quatre a besoin de consulter son portable au moins une fois par heure (27%)
    · Les utilisateurs de smartphones adeptes du multitâche : 54% consultent leur mobile devant la TV, et 48% au moment d’aller se coucher
    · Près d’un Français sur deux se dit ennuyé par la perte de son mobile et un sur cinq se dit énervé.
    · Ce qui inquiète le plus les Français lorsqu’ils égarent leur mobile est la perte de sa liste de contacts (45%), le coût du remplacement (40%) ou tout simplement le fait de se retrouver sans mobile !
    · Plus d’un Français sur deux consulte son mobile en dehors de son temps de travail pour des raisons professionnelles et une majorité souhaite également voir le travail nomade se développer dans son entreprise
    · Le travail nomade est perçu comme une évolution positive et bénéfique du travail pour trois Français sur quatre, mais aussi comme un gain de liberté et un signe de confiance

    https://www.rp-net.com/downloader.php?id=1180

  • La connectivité : un facteur de qualité de vie selon un nouveau rapport Ericsson

    Auteur(s) : ConsumerLab d’Ericsson
    Date de publication : mai 2012

    L’étude réalisée par l’observatoire ConsumerLab porte sur les habitants de 13 grandes villes*, soit 100 millions de personnes. Près de 40 % des personnes vivant en ville utilisent un smartphone et recourent à l’information mobile pour résoudre leurs problèmes de tous les jours. La couverture du réseau mobile arrive en 4ème position dans les critères de satisfaction des citadins. Les trajets domicile/travail constituent la plus importante source de frustration. L’information mobile contribue à réduire le stress lié à cette contrainte.

    Dans sa nouvelle étude, l’équipe de recherche de l’observatoire ConsumerLab d’Ericsson s’est penchée sur le niveau de satisfaction des citadins, en se basant sur des critères environnementaux et sociaux. Parmi les conclusions qui se dégagent de l’étude, la couverture du réseau mobile arrive en 4ème position dans les critères de satisfaction des citadins, aux côtés de la distribution d’eau et de l’accès aux espaces sociaux, qu’il s’agisse de cafés ou de lieux de divertissement. En revanche, la piètre qualité de l’air et le manque de places de stationnement constituent des sources de mécontentement.

    « L’urbanisation est aujourd’hui à l’échelle mondiale, avec un accroissement de l’ordre de 7 500 nouveaux citadins par heure. Les gens éprouvent clairement un sentiment de stress face au phénomène de surpeuplement. Toutefois, nous observons également que les citadins trouvent dans l’usage des TIC un moyen d’atténuer ce sentiment et d’améliorer leur expérience de la vie urbaine », explique Michael Björn, directeur de recherche à l’observatoire ConsumerLab d’Ericsson. Parmi les aspects positifs de la vie en ville, figure l’accessibilité des restaurants, des cafés, des lieux de divertissement et des commerces. Les habitants des villes sont plus actifs socialement et évoluent dans des cercles sociaux plus larges que ceux dans lesquels évoluent les gens qui vivent en dehors des villes.

    Au titre des aspects négatifs, on retrouve la foule et les embouteillages. Le rapport révèle en effet que la durée moyenne des trajets domicile/travail dans les 13 grandes villes étudiées atteint 2 heures et 20 minutes par jour. Selon Michael Björn : « Les gens sont beaucoup plus détendus lorsqu’ils savent par avance le temps qu’ils vont mettre pour se rendre au travail ou pour rentrer chez eux. Ils peuvent ainsi organiser leur temps plus efficacement. Dans ce contexte, le smartphone devient pour eux un outil indispensable au quotidien. »

    « Savoir quel moyen de transport les gens choisissent d’emprunter pour leurs déplacements domicile/travail nous permet de déterminer quels sont les services les plus intéressants pour eux. Par exemple, ceux qui se déplacent en vélo trouvent utile de savoir où se trouvent les pistes cyclables. Ceux qui optent pour les transports publics sont intéressés par des horaires et planificateurs d’itinéraires mis à jour en temps réel. Enfin, un GPS avec infos trafic en temps réel fera économiser du temps et du stress à ceux qui se déplacent en voiture », conclut-il.

    http://www.ericsson.com/fr

  • Réalité de l’utilisation d’Internet au bureau

    Auteur(s) : Olfeo
    Date de publication : février 2011

    Les Français consacrent en moyenne une heure de leur journée de travail à surfer sur Internet à des fins personnelles, selon l’étude publiée par Olfeo le 7 février 2011. Sur les 94 minutes quotidiennes passées sur le Web en 2010, seulement 35 relèvent de l’ordre professionnel. 59 minutes, c’est le temps moyen de l’utilisation d’Internet par jour et par employé à des fins non professionnelles en 2010, soit : 63% du temps passé sur Internet.

    http://www.olfeo.com/pdf/real_util_web.pdf

  • Salariés et médias sociaux : 83% des entreprises utilisent Facebook

    Auteur(s) : Hopscotch,Viavoice
    Date de publication : janvier 2011
    Origine : Hopscotch, Viavoice

    15% des salariés parlent de leur entreprise sur les réseaux sociaux soit 2,5 millions de salariés français pour le seul secteur privé. Alors que 2/3 des entreprises recourent aux médias sociaux dans leur communication, peu d’entre elles, 12% ont sensibilisé leurs collaborateurs en interne. Serait-ce par crainte de voir s’étaler la vie de l’entreprise ? Si l’on considère que 67% des salariés parlent positivement de leur entreprise, les initier à s’exprimer sur les réseaux sociaux constitue une opportunité en termes de communication.

    http://www.hopscotch.fr/archive/2011/01/06/resultats-de-l-observatoire-hopscotch-viavoice-janvier-2011.html

  • Quel rapport entre technologie et conditions de travail dans l’UE ?

    Auteur(s) : Eurofound
    Date de publication : janvier 2008

    Les relations entre l’utilisation de la technologie, les conditions de travail, la santé et le bien-être des travailleurs en Europe ont fait l’objet d’une vaste étude menée par Eurofound, la Fondation européenne pour l’amélioration des conditions de travail. Quatre catégories distinctes de technologie utilisées sur le lieu de travail ont été étudiées dans le cadre de ces recherches : machines, informatique, machines et informatique, absence de technologie. L’objectif était d’évaluer leur influence sur les conditions de travail et la santé. L’enquête s’est ensuite intéressée à l’évolution de l’utilisation de la technologie dans divers secteurs économiques et pays durant la période 1995-2005. En voici les principales observations. Les changements actuels qui marquent l’utilisation de la technologie s’accompagnent d’une évolution de la nature des travaux et des exigences imposées aux travailleurs. Ainsi, c’est davantage les conditions de travail associées à la technologie que la technologie elle-même qui menacent le plus la santé et le bien-être des travailleurs. Plus de 25 % des travailleurs de l’Union européenne utilisent une machine. Leurs conditions de travail sont globalement moins satisfaisantes que celles des autres travailleurs (risques de troubles musculosquelettiques (TMS), symptômes liés au stress professionnel, faible satisfaction vis-à-vis de leur emploi). Les utilisateurs d’ordinateurs bénéficient donc de conditions de travail plus favorables, et se montrent plus satisfaits de leur emploi. Ils sont ainsi plus susceptibles d’être en bonne santé que les utilisateurs de machines. L’accroissement de l’usage de l’informatique, le déclin du recours aux machines et aux emplois ne nécessitant aucune technologie concernent les hommes et les femmes de toutes les classes d’âge, mais pas de tous les pays. En effet, les pays de l’Europe orientale et les pays nouvellement entrés dans l’Union accusent toujours un retard par rapport aux pays de l’Europe continentale et du nord de l’Europe. Dans le cadre de cette étude, Eurofound s’est attaché à formuler plusieurs recommandations : - La promotion des nouvelles technologies et de l’informatique dans les régions les moins informatisées pourrait promouvoir de meilleures conditions de travail dans toute l’Europe. - Une attention accrue doit être accordée aux conditions et à l’organisation du travail en général, et chez les utilisateurs de machines en particulier. - Le renforcement de l’autonomie au travail est considéré comme une "ressource professionnelle" importante, susceptible de compenser les effets négatifs des exigences professionnelles sur la santé et le bien-être des travailleurs. - La promotion de l’assimilation des nouvelles technologies peut exercer un impact positif sur l’organisation du travail.

    http://www.eurofound.europa.eu/pubdocs/2008/63/en/1/EF0863EN.pdf

  • Usage des TIC, conditions de travail et satisfaction des salariés

    Auteur(s) : : COLOMBIER (Nathalie) ; MARTIN (Ludivine) ; PENARD (Th
    Date de publication : janvier 2007
    Origine : RESEAUX. COMMUNICATION.TECHNOLOGIE. SOCIETE (Revue n°143)

    L'objectif de cet article est d'étudier les effets de l'usage des technologies de l'information et de la communication (TIC) sur la satisfaction au travail, en isolant les effets propres et les effets organisationnels. Les résultats montrent que l'usage et l'intensité d'usage de chacune de ces technologies ont globalement des effets complémentaires positifs sur la satisfaction au travail, exception faite du téléphone portable. Les analyses menées mettent en évidence une corrélation entre l'usage du téléphone portable et les facteurs générateurs de stress, pouvant dégrader la satisfaction des salariés. Les TIC ont des effets propres et des effets organisationnels non négligeables, directs ou indirects. A la lecture de ces résultats, il serait intéressant d'étudier plus en détail les effets de l'intrusion de l'usage professionnel des TIC dans la sphère

    http://www.actdoc.anact.fr/Record.htm?idlist=50&record=19140296124919684789

  • Internet et entreprises. À propos du rapport Yolin, Internet et entreprise

    Auteur(s) : Gérard Blanc
    Date de publication : janvier 2006
    Origine : Futuribles n° 317

    La généralisation des technologies de l'information et de la communication, et plus particulièrement d'Internet, constitue-t-elle un atout pour les entreprises ? Si oui, ces technologies sont-elles utilisées au mieux des opportunités qu'elles offrent ? Et quelles sont leurs perspectives d'évolution et donc les nouvelles opportunités susceptibles d'apparaître ? Les entreprises savent-elles les saisir, en France, et les pouvoirs publics les encourager ? Telles sont quelques-unes des questions auxquelles s'efforce de répondre chaque année, depuis 1997, Jean-Michel Yolin, dans un rapport au ministre français de l'Industrie. Gérard Blanc nous livre ici les principales conclusions de l'édition publiée fin 2005, présentant l'état de la technique et les évolutions en germe, et montrant par ailleurs que les entreprises françaises n'ont pas encore saisi toutes les opportunités sous-jacentes.

    http://www.futuribles-revue.com/index.php?option=article&access=standard&Itemid=129&url=/articles/futur/abs/2006/03/futur_2006_317_79/futur_2006_317_79.html

  • Informatique, organisation du travail et interactions sociales

    Auteur(s) : Nathalie Greenan, Emmanuelle Walkowiak
    Date de publication : janvier 2004
    Origine : centre d'études de l'emploi

    Nous proposons un cadre d’analyse unifié des liens de complémentarité entre usage de l’informatique et pratiques organisationnelles innovantes ainsi que des principes de sélection qui sous-tendent leur diffusion au niveau des postes de travail. Nous montrons que les principes communs de sélection, dans l’attribution de l’informatique et le design organisationnel du poste de travail, renvoient au choix de configuration du réseau d’interactions sociales au sein de la firme. Cette structure sociale d’interaction est analysée en référence au concept de « capital social ». Nous distinguons alors, dans la complémentarité entre technologie et organisation, ce qui relève d’une pure coordination des choix dans ces deux dimensions de ce qui relève de la sélection des salariés. Les tests économétriques, que nous avons menés en nous appuyant sur le volet « salariés » de l'enquête « Changements organisationnels et informatisation » (COI) réalisée en 1997, permettent de vérifier quatre propositions. Tout d’abord, nous montrons que le capital social des salariés favorise leur accès aux ordinateurs et plus généralement aux technologies de l’information et de la communication (TIC). Cette sélection dans l’attribution de l’équipement semble spécifique des TIC, puisqu’elle ne permet pas de caractériser l’attribution d’une machine automatique. Deuxièmement, cette même logique de sélection anime l’accès à un poste ayant des caractéristiques productives et informationnelles innovantes. Troisièmement, l’informatique est corrélée aux caractéristiques organisationnelles innovantes des postes de travail résultant de la diffusion des nouvelles formes d’organisation, mais ce lien n’est pas uniforme au sein des différents groupes de professions. Enfin, les caractéristiques organisationnelles innovantes qui intègrent une dimension relationnelle entretiennent avec l’informatique une relation de complémentarité qui puise essentiellement sa source dans la manière dont les salariés ont été sélectionnés pour occuper un poste de travail modernisé.

    http://www.cee-recherche.fr/fr/publicationspdf/04doc31.pdf

Espace de Travail

  • Baromètre des préférences salariés

    Auteur(s) : JLL
    Date de publication : juillet 2021

    1 an après le début de la crise, comment les Françaiq aspirent-ils à travailler ?

    https://www.jll.fr/fr/etudes-recherche/recherche/Barometre-des-preferences-salaries

  • (Re)imaginer l’expérience de travail

    Auteur(s) : JLL
    Date de publication : avril 2021

    Depuis plusieurs mois, les salariés voient leur expérience de travail se dégrader. Le home-office a clairement éprouvé ses limites. Tout le monde ne bénéficie pas de conditions de travail optimales à la maison - absence de poste de travail ergonomique, mauvaise connexion wifi, pas d’espace dédié. Les frontières entre vies professionnelle et personnelle s’amenuisent, déconnecter devient de plus en plus compliqué. Le sentiment d’isolement grandit à mesure que le télétravail de longue durée s’installe... Résultat, 45% des salariés se disent aujourd’hui désenchantés. Sur le plan de la socialisation, le constat est sans appel : les liens tissés autrefois autour de la machine à café se distendent. Les interactions sont systématiquement programmées, le charme du hasard et de la spontanéité est réduit à néant... Plus que jamais, les salariés ont besoin de se rendre au bureau pour créer du lien. 61% érigent en top priorité post-crise leur besoin de se reconnecter à leurs collègues et de vivre avec eux des moments mémorables. Le bien-être et l’épanouissement au travail sont eux aussi mis entre parenthèses, au profit de la santé au travail. Alors qu’avant la crise on se prenait à rêver de bonheur au travail, on observe aujourd’hui un retour à l’essentiel, aux besoins primaires de la pyramide de Maslow. Près d’1 salarié sur 3 attend de son entreprise qu’elle conserve les protocoles sanitaires une fois l’épidémie passée : distanciation sociale, désinfection... Pour autant, les entreprises vont devoir proposer désormais plus qu’une ambiance aseptisée pour attirer et retenir leurs talents ! Et si demain les salariés inscrivent le télétravail dans leur routine, ne se rendant plus que 2 ou 3 jours par semaine au bureau, ce sera pour y vivre une expérience unique. Aujourd’hui plus qu’hier, ils rêvent d’évoluer dans des espaces de travail exceptionnels, d’avoir accès à des services 5 étoiles. 60% réclament des espaces connectés à la nature, des jardins, des terrasses ou encore des potagers. C’est pour mieux cerner les contours de l’expérience de travail de demain que nous avons mené notre nouvelle enquête, auprès de 2 033 salariés de bureau à travers le monde, dans 10 pays. Parmi eux, nous avons sondé 207 Français.

    https://immobilier.jll.fr/blog/article/comment-re-imaginer-les-bureaux-post-covid-l-analyse-de-jll-en-7-points

  • Après la crise, où allons-nous travailler ?

    Auteur(s) : IFOP / SFL
    Date de publication : janvier 2021

    Résultats exclusifs du Baromètre Paris Workplace 2020 SFL-Ifop

    SFL publie aujourd’hui les résultats du 7e baromètre Paris Workplace, réalisé en partenariat avec l’Ifop (3000 salariés interrogés, travaillant dans un bureau, à Paris et première couronne). Un dispositif exceptionnel pour cette édition 2020 puisque qu’il s’appuie sur une double enquête : 1500 salariés avant le 1er confinement et 1500 salariés après. C’est donc la première étude qui permet de mesurer à cette échelle l’impact du confinement et la crise sanitaire sur les attentes des salariés en matière d’environnement de travail.

     

    https://www.ifop.com/wp-content/uploads/2020/12/Communiqué-Paris-WorkPlace-2020.pdf

  • Quels sont les besoins et les attentes des télétravailleurs en matière d’équipements ?

    Auteur(s) : Institut Inkidata / JPG
    Date de publication : novembre 2020

    Plus de 85 % des télétravailleurs disent travailler dans une ambiance plus propice et plus calme « à la maison », un critère qui leur fait souvent défaut en entreprise. Mais près de 80 % déclarent aussi manquer d’éléments adaptés – comme une chaise ou un bureau – qui sont essentiels à leur confort.

    https://inkidata.fr/wp-content/uploads/2021/01/rapport-JPG.pdf

     

  • Le coworking dans tous ses états

    Auteur(s) : Colliers International
    Date de publication : juin 2020
    Origine : Colliers International

    Ces dernières années, les espaces de coworking se sont multipliés et diversifiés. Paris fait d’ailleurs partie des villes où la croissance est la plus forte en Europe ! Les espaces de coworking font désormais partie des solutions d’implantation proposées aux entreprises et s’ancrent dans le paysage immobilier. Cet essor s’est accompagné d’un foisonnement d’opérateurs dont les modèles et stratégies se construisent et évoluent, certains aspirant à côtoyer les leaders du secteur, d’autres optant pour un positionnement de niche. Aujourd’hui, 40% des coworkers fréquentent un espace de coworking depuis moins d’un an et 39% s’y rendent 1 à 3 fois par semaine.

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  • 2030 L'Odyssée de l'espace de travail

    Auteur(s) : Colliers International France
    Date de publication : janvier 2020
    Origine : Colliers International

    Quels seront demain le sens et la vocation d’un siège social ? l’utilité et le rôle exacts d’un bureau ou d’une salles de réunion ? De quels types d’espaces et de services auront besoin les collaborateurs, à quels moments et à quels endroits? Alors que les environnements flexibles tendent à se généraliser dans les entreprises, nous avons voulu nous projeter dans 10 ans et envisager les évolutions que pourrait prendre l’environnement et la relation au travail afin de mieux accompagner nos clients.

     

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  • Environnements de travail flexibles : quelles réalités ?

    Auteur(s) : workINprogress
    Date de publication : septembre 2019

    Définitions, les facteurs clés de succès et les résultats des nouveaux environnements de travail dits flexibles.

    https://www.workinprogress.xyz/telechargement-livre-blanc/

  • 3 mots clés qui dessineront les bureaux de demain

    Auteur(s) : CBRE
    Date de publication : février 2019

    Comment les entreprises imaginent-elles les bureaux de demain ? L'enquête CBRE réalisée auprès d’entreprises utilisatrices d’immobilier sur la région EMEA nous révèle les tendances majeures.

    http://immobilier.cbre.fr/blog/bureaux/infographie-3-mots-cles-qui-dessineront-les-bureaux-de-demain/?_cldee=ZHVjaGVubmVAbW9iaWxpZXIuY29t&recipientid=contact-7c727d8c5719e411815f6c3be5beee80-d0ec5e62a4f5479592f38fe3e1e623d4&esid=5b9d67a5-bf38-e911-a95c-000d3ab3f13b

  • Le flex office vu par les salariés

    Auteur(s) : Colliers International France
    Date de publication : janvier 2019

    Colliers International France a réalisé une enquête inédite sur la perception des salariés en environnements flexibles, à l’heure où la flexibilité est au cœur de toutes les problématiques d’entreprise. Quels sont les bénéfices de ces environnements de travail, quelles faiblesses peut-on observer et quels sont les retours d’expériences des salariés ?

    https://www.colliers.com/-/media/files/emea/france/research/flex_office_livre_blanc_colliers_international_france.pdf?la=fr-FR

  • Baromètre de la relation entre l’environnement de travail et le bien être des salariés

    Auteur(s) : CD&B / OpinionWay
    Date de publication : octobre 2018

    L’enquête a été menée auprès d’un échantillon représentatif de 1018 salariés de bureau d’entreprises de 100 salariés et plus, regroupés sur le même site.

    L’échantillon a été constitué selon la méthode des quotas, au regard des critères de sexe, d’âge, de catégorie socioprofessionnelle, de secteur d’activité et de taille d’entreprise.

    https://www.cdb.fr/fileadmin/barometre2018.pdf

  • 5e baromètre Paris Workplace SFL-Ifop, intitulé « Demain, tous mobiles ? »

    Auteur(s) : SFL/IFOP
    Date de publication : juin 2018

    Alors que la mobilité est au cœur des préoccupations publiques (assises nationales, projet de loi Borne…), et que les débats sur le travail nomade se multiplient, SFL a mené une enquête inédite sur le sujet : 90 questions posées à 2 000 salariés à Paris et première couronne. Avec la mobilité envisagée pour la première fois de manière globale : les trajets domicile-travail + la mobilité dans le quartier + les déplacements à l’intérieur des espaces de bureau.

    Les principaux enseignements de ce Baromètre Paris Workplace 2018 sont édifiants :

    1- Les modes de travail mobiles sont encore minoritaires, mais loin d’être marginaux : 34% des salariés travaillent hors du bureau au moins une fois par mois, et 35 % disent travailler à deux endroits ou plus sur leur lieu de travail, au cours d’une journée type. 

    2- Le travail mobile va devenir une nouvelle norme sous la pression des jeunes salariés qui imposent de nouvelles pratiques : ils sont moitié plus nombreux à sortir en cours de journée pour une raison personnelle, ils travaillent nettement plus souvent depuis leur domicile ou des tiers-lieux. Et ils choisissent des quartiers centraux et accessibles en transports (Opéra-Étoile pour les 25-34 ans, Sentier-Marais-République pour les moins de 25 ans).

    3- Les salariés les plus mobiles – hors et à l’intérieur des bureaux – sont aussi les plus heureux au travail, avec une note de bien-être de 7,1/10 contre 6,5/10 pour la moyenne des salariés. Ils travaillent plus souvent en équipe, font plus confiance aux autres, perçoivent leurs bureaux comme un lieu de vie et pas seulement un lieu de travail.

    4- Le temps de transport impacte massivement la performance des entreprises : les salariés les plus proches (– de 40 min de trajet domicile-travail) passent en moyenne 16 minutes de plus au bureau par jour, soit l’équivalent de 8 jours de travail de plus sur une année. 63% des salariés qui ont plus d’une heure de transports pensent quitter leur entreprise dans les 5 ans.

    5- La facilité de circulation / la qualité des transports sont les facteurs jugés les plus importants pour l’attractivité économique de Paris, devant la sécurité, la présence d’une population active qualifiée, la présence d’entreprises innovantes, etc.

    6- Paradoxalement, plus on bouge et plus on accorde d’importance à son lieu de travail : les salariés mobiles sont deux fois plus nombreux que les autres (72 % vs 39 %) à juger que les bureaux ont été un élément important dans le choix de rejoindre leur entreprise.

    https://we.tl/IRbnjybbr3

  • Quelle gestion des déchets de bureau ?

    Auteur(s) : Riposte verte
    Date de publication : juillet 2017

    44 % des 1104 organisations répondantes déclarent connaître toute la réglementation déchets de bureau.

    http://communication.riposteverte.com/newsletter/newsletter-38-riposte-verte.html

  • Les nouveaux environnements et modes de travail : vecteurs d'engagement des collaborateurs ?

    Auteur(s) : Lionel Garreau
    Date de publication : mai 2017
    Origine : Université Paris Dauphine

    Le présent rapport est la troisième publication de l’Observatoire de l’Engagement co-créé par les sociétés Carewan et Osagan. Il s’inscrit dans le cadre d’un contrat de recherche entre l’Observatoire de l’Engagement et l’Université Paris-Dauphine, porté par le CEMR (Center for Engaged Management Research) qui a vocation à développer des recherches pertinentes pour le monde de l’entreprise.

    Ce rapport aborde une thématique dont l’acuité grandit de jour en jour : le lien entre l’espace de travail et l’engagement des salariés.
    Le contrat de recherche traduit un partenariat qui vise à mobiliser trois expertises, et à croiser trois regards sur la question de l’engagement : ceux du monde de l’entreprise, du conseil, et de la recherche universitaire.

    Le partenariat précité se fonde sur une conviction commune, que l’engagement constitue un levier clé de performance pour les organisations ainsi qu’une approche renouvelée des pratiques de management.

    Ce rapport en constitue le livrable, ayant pour but l’analyse des entretiens réalisés par les membres de l’Observatoire de l’Engagement (Daniel Baroin, Charlotte Bize, Geoffrey Carpentier, Aude Cateland, Fabienne Simon) et l’Université Paris- Dauphine (Lionel Garreau) 

    http://observatoire-engagement.org/wp-content/uploads/2017/05/Etude-nouveaux_environnements_et_modes_de_travail.pdf

  • Confort et bien-être dans les immeubles de bureaux

    Auteur(s) : OID
    Date de publication : avril 2017

    La démarche part d’une conviction : le bâtiment durable est une réponse satisfaisante aux attentes des occupants. Au coeur des débats et des certifications, le confort et le bien-être dans l’immobilier de bureaux sont pourtant subjectifs. Ces deux éléments ont conduit à interroger directement les utilisateurs. 4 objectifs : identifier les attentes  des collaborateurs sur le confort et le bien-être dans les immeubles de bureaux ; croiser ces résultats  avec le niveau de prise en compte estimé, la perception des directions de l’environnement de travail et les certifications existantes ; proposer des pistes de réflexion  sur les immeubles de bureaux ; illustrer les conclusions  par la présentation de projets.

    http://www.o-immobilierdurable.fr/confort-bien-etre/

  • Les Français au travail

    Auteur(s) : Sharp
    Date de publication : mars 2017

    65% des employés français ont des ressentis négatifs par rapport à leur lieu de travail. L’étude, réalisée par Sharp auprès de 6 000 professionnels dans toute l’Europe, révèle que les Français décrivent leur environnement de travail comme « peu inspirant ». Parmi les termes employés pour qualifier leur bureau, on retrouve des adjectifs en majorité négatifs tels que « sombre », « oppressant » ou « toxique ». Néanmoins, 38% des personnes interrogées trouvent leur cadre de travail « calme », et seulement 10% le trouvent « ennuyeux ».

    https://fr.sharpmarketing.eu/web/unlock

     

  • Infographie : les espaces de coworking en France en 2015

    Auteur(s) : La Fonderie/BAP
    Date de publication : novembre 2016
    Origine : La Fonderie

    Le développement des espaces de coworking en France et en Ile-de-France est en pleine expansion et le marché de ces nouveaux lieux de travail tend à se transformer avec l’arrivée de gros opérateurs étrangers sur le marché français.

    Pour autant, les espaces de travail collaboratif français gardent des spécificités qui leur sont culturellement propres. Après la 1ère étude réalisée l’an dernier par Bureaux à Partager (BAP) et La Fonderie, nous avons renouvelé la démarche fin 2015 en partenariat avec BAP et le Collectif des Tiers-Lieux, structure qui a pour ambition de faire mieux connaître au grand public l’existence des lieux et des méthodes de travail collaboratifs pour développer et renforcer leur activité. Nous publions donc une nouvelle infographie, tirée des résultats de cette enquête plus récente et pouvons ainsi comparer et montrer certaines tendances.

     

    https://lafonderie-idf.fr/espaces-coworking-france-2015/

  • Mon bureau de demain vu par les étudiants

    Auteur(s) : ESSEC
    Date de publication : septembre 2016

    Réalisée par la Chaire Immobilier et Développement Durable de l’ESSEC, notre nouvelle enquête révèle la manière dont les étudiants d’une grande école de commerce imaginent leur bureau de demain. Elle constitue une mise à jour et un approfondissement de notre précédente enquête Mon bureau de demain.

    Dans ce nouveau contexte, la parole est donnée dans notre étude à la Génération Y et notamment aux futurs salariés et cadres qui travailleront dans l’entreprise de demain. Ils sont encore étudiants dans une grande école de management.

    L’enquête « Mon Bureau de Demain » – réalisée auprès des quelques 2000 étudiants de l’ESSEC, nous donnent des informations nouvelles et complémentaires de celles que l’on peut obtenir auprès des salariés en poste dans l’entreprise. C’est l’originalité de notre étude : 414 étudiants, dont la moyenne d’âge est de 22 ans, ont accepté de nous faire part de leurs attentes concernant leurs espaces de travail de demain. Ils ont tous déjà une expérience en entreprise.

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    https://ingridnappichoulet.com/2013/09/06/mon-bureau-de-demain-ou-comment-les-futurs-managers-voient-leurs-espaces-de-travail-a-la-fin-de-leurs-etudes/

     

  • Bureau du futur

    Auteur(s) : Hiscox
    Date de publication : juin 2016

    L’assureur Hiscox a regroupé plusieurs études sur l’environnement de travail des Français et ses perspectives d’évolution afin de déterminer à quoi ressembleront les bureaux de demain.

    Parmi les chiffres clés: 93 % des jeunes actifs ne veulent plus d’un bureau classique, 73 % des travailleurs passent leur journée assis, 60 % des employés travailleront de chez eux d’ici 2022, 73 % des employés français préfèrent un espace de travail collaboratif. Les données ont été réunies dans une infographie ludique : 

     

    https://www.hiscox.fr/infographie-bureau-du-futur

  • La relation entre l’espace de travail et le bien-être des salariés

    Auteur(s) : OpinionWay pour CD&B
    Date de publication : décembre 2015

    Le cabinet CD&B a dévoilé une étude réalisée par OpinionWay qui souligne la corrélation directe entre l’espace de travail et le bien-être des salariés. L’enquête révèle pourtant que 64% des salariés assurent n’avoir jamais été consultés sur l’aménagement de leur espace de travail.

    https://www.youtube.com/watch?v=HHeviudyZYQ

  • Economie de partage et espace de travail - Le regard des salariés européens

    Auteur(s) : Foncière des Régions
    Date de publication : novembre 2015

    L’économie de partage boostée par le numérique est de toutes les discussions et bouscule les habitudes : nouvelle façon de consommer, de voyager, de se cultiver, de se déplacer... Mais qu’en est-il de l’espace de travail ?

    http://www.foncieredesregions.fr/media/actualites_etude_simi_2015

  • Paris Workplace 2015

    Auteur(s) : IFOP pour SFL
    Date de publication : août 2015

    Les cadres franciliens jugent leurs bureaux ! Pour la deuxième année consécutive, SFL a confié à l’Ifop la conduite du baromètre Paris Workplace, mettant en regard les représentations associées au lieu et à l’environnement de travail par les cadres et les dirigeants d’entreprise. L’étude se fonde sur l’analyse des perceptions des cadres et dirigeants d’entreprises franciliennes vis-à-vis de leur bureau, et de l’impact de ceux-ci sur leur bien-être et leur rapport au travail.

     

  • Le rôle de la spatialité dans la mise en place du New Model Worker : du projet Valmy aux tours de la Défense de la Société Générale

    Auteur(s) : Delphine Minchella
    Date de publication : mai 2015
    Origine : Paris Dauphine

    Les organisations, tentées par la perspective de transformer un poste de dépense considérable en véritable ressource organisationnelle, envisagent généralement leur espace comme un potentiel outil de management, mais de l'espace conçu à l'espace vécu, on observe souvent un décalage remarquable. Cette thèse pose la question de ce que peut révéler un espace organisationnel du management pratiqué en son sein : au-delà des déclarations d'intention, que peut-on comprendre de l'espace? De la façon dont il est administré? Notre terrain d'observation est le siège social d'une grande banque internationale, de son projet architectural initial (rédigé en 1989) jusqu'à nos jours, soit six ans de construction (livraison des tours en 1995), et dix-neuf années de pratique spatiale. Ce cas emblématique a retenu notre attention car le projet consistait à faciliter la mise en place d'un "New Model Worker" par un aménagement spatial particulier, propice à la communication informelle. L'analyse de nos données nous a finalement permis de mettre au point une grille de lecture - regroupant la territorialisation, la valorisation et la localisation - pour mieux appréhender l'espace des organisations.

    http://www.theses.fr/s50292

  • Le bruit au travail gêne les Français

    Auteur(s) : Ipsos, Journée Nationale de l’Audition
    Date de publication : juin 2014

    Plus d'un tiers des Français sont gênés par le bruit sur leur lieu de travail, au premier rang desquels les ouvriers, mais aussi les employés et les cadres, selon un sondage Ipsos réalisé à l'occasion de la 14ème Journée nationale de l'audition (JNA) 2011. Selon ce sondage, le bruit sur le lieu de travail gêne 39% des actifs (13% beaucoup, 26% assez). Sans surprise, les variations sont fortes selon les fonctions occupées : 57% des ouvriers éprouvent de la gêne, 36% des employés, 28% des cadres supérieurs et professions intermédiaires. Le bruit, responsable de 20% des arrêts de travail : L'environnement immédiat joue un rôle évidemment prédominant : 71% de gêne sur un chantier de construction (avec le bruit notamment des camions qui reculent), 51% dans un open space de bureaux ou une plateforme téléphonique, 47% dans un atelier de production, et même 18% dans un restaurant d'entreprise... 56% des actifs ne bénéficient d'aucun contrôle auditif dans le cadre de leur travail. Pourtant, le bruit au travail, selon l'association JNA, accroît de 24% le risque d'accident avec arrêt de travail et serait à l'origine de 20% des cas de surdité chez l'adulte.

    http://www.audition-infos.org/jna/bruit_travail.php

  • Les open space offrent-ils des conditions de travail satisfaisantes ?

    Auteur(s) : Patrick Georges
    Date de publication : janvier 2011
    Origine : Patrick George

    Diminution de 50% des performances intellectuelles et de 37% de la qualité du travail, augmentation de 13% du stress telles seraient les conséquences d'open spaces inadéquats sur le travail de nombre de salariés, selon des études quantitatives de Patrick Georges, neurochirurgien.

    http://www.patrick-georges.net/fr/

  • Les Français et leurs bureaux : regards croisés salariés et dirigeants

    Auteur(s) : AOS Studley, TNS Sofres
    Date de publication : décembre 2010

    Si les salariés parisiens sont fâchés contre les bureaux en « open space », sept salariés franciliens sur dix se disent satisfaits de leur bureau, selon une étude TNS Sofres pour le promoteur Foncière des Régions et le cabinet de conseil AOS Studley. L’enquête évoque aussi le dispositif du télétravail, qui jouit d’un intérêt réel de la part des salariés, alors qu’il n’est quasiment pas utilisé au sein de l’entreprise.

    http://www.tns-sofres.com/_assets/files/2010.12.10-bureaux.pdf

  • Où habitent les PME ?

    Auteur(s) : BureauxLocaux.com, Regus, Business Immo
    Date de publication : octobre 2010

    Le premier employeur de France - les PME - est souvent délaissé par les études qui préfèrent se focaliser sur les grandes entreprises. Cette fois-ci le baromètre Bureauxlocaux.com vient de publier son étude sur les choix de bureaux des PME, et les résultats sont à la hauteur de leurs ambitions. Les critères de choix de locaux des PME montrent l’émergence de plusieurs phénomènes : - la sortie de crise économique est révélée par la moindre importance accordée à la réduction des coûts et la nécessaire extension des locaux pour 34% des PME ; - la situation géographique reste le critère n°1 (avec le coût) et le respect des normes environnementales arrive en 2ème position. Cela montre que la performance environnementale des immeubles n’est désormais plus qu’un luxe de grande entreprise. Les utilisateurs sont tous concernés par les enjeux de développement durable et ils anticipent les réglementations à venir ; - le coût global devient le premier critère décisif devant la localisation ; - les intentions d’achat augmentent, ce qui peut paraître étonnant au vu des fluctuations d’activités mais peut-être est-ce le résultat d’une certaine quête de durabilité ? - les open-spaces restent un mode d’aménagement qui est loin de faire l’unanimité (37 % des entreprises n’en possèdent pas) ; - le dirigeant demeure le décisionnaire majeur ce qui montre que dans les PME la direction générale est souvent impliquée dans l’ensemble des sujets stratégiques pour l’entreprise. L’enquête révèle des PME indépendantes dans leurs choix d‘implantation face aux grandes entreprises, des PME qui prennent des risques et parient sur un avenir de croissance. Désormais sensibilisées aux enjeux écologiques, les PME ne voient plus l’investissement dans le développement durable comme une contrainte mais comme une nécessité.

    http://editorial.bureauxlocaux.com/e_blo/resultats-du-barometre-bureauxlocauxcom---quels-cr-27020.php

  • Pour être efficace, personnalisez votre bureau

    Auteur(s) : Exeter, Craig Knight
    Date de publication : octobre 2010

    Voilà une étude qui va intéresser les managers, architectes d’intérieur et autres gourous de l’efficacité à tout crin : dans une entreprise, la productivité des salariés est très largement corrélée à la personnalisation de leur environnement de travail. C’est l’université d’Exeter au Royaume-Uni qui vient de publier ces travaux. Les chercheurs britanniques ont analysé l’environnement de travail, la sensation de bienêtre et la performance de 2 000 personnes travaillant dans des bureaux aménagés selon deux styles différents : fonctionnel et dépouillé ou personnalisé et décoré individuellement. Sans surprise, les employés de la seconde catégorie se sentent mieux dans leurs baskets et produisent 37 % de plus que leurs collègues vivant dans un environnement standardisé. « Dans la majorité des bureaux modernes, l’environnement strictement fonctionnel a été choisi par la direction de l’entreprise. Quand le personnel ne sent pas bien dans son espace de travail, il est moins engagé », estime le docteur Craig Knight, qui a dirigé cette étude. Le facteur qui semble décisif est la liberté accordée au salarié de décorer son espace de travail selon ses propres critères. Afin de mettre ces travaux en pratique, Craig Knight vient de rejoindre une entreprise spécialisée dans la création d’espaces de travail performants.

    http://www.let.archi.fr/spip.php?article481&lang=fr

  • Etudes des différents environnements de travail collaboratifs

    Auteur(s) : Aurélie Buisson, Humanist Network of Excellence, INRETS
    Date de publication : janvier 2010
    Origine : Buisson, INRETS

    Afin de créer l’environnement de travail collaboratif le plus en adéquation avec les besoins des futurs utilisateurs, cette étude spécifie les différents types d’outils disponibles : Collaborative workspace, Content Management System (CMS), Groupware. Dans un premier temps par la définition de l’ensemble des fonctionnalités, puis, pour chaque type d’environnement de travail collaboratif, par la sélection d’un certain nombre de logiciels, mis en comparaison afin de faire émerger les fonctionnalités les plus fréquemment présentes dans ces types d’outils. Un bilan permettra de récapituler l’ensemble de ces fonctionnalités.

    http://www.inrets.fr/ur/cir/sem/22-9-06/travailcollab-buisson.pdf

  • Enquête suisse dans les bureaux

    Auteur(s) : SBIB
    Date de publication : janvier 2010

    Le rapport présente les résultats de l'Enquête suisse dans les bureaux (SBIB). L'enquête couvre les thèmes des facteurs environnementaux (climat des locaux, qualité de l'air, bruit, etc.), des symptômes présentés par les travailleurs, des exigences des travailleurs envers les bureaux, de l'organisation du travail, du stress, des absences et de la satisfaction au travail.

    http://www.seco.admin.ch/dokumentation/publikation/00008/00022/04153/index.html?lang=fr

  • Quel bureau en 2030 ?

    Auteur(s) : Johnson Controls
    Date de publication : décembre 2008

    Une étude prospective commandée par le groupe Johnson Controls dresse trois scénarii quant à l’évolution du cadre de travail d’ici à une vingtaine d’années. Quels seront nos bureaux en 2030 ? Quel impact aura le contexte politique, sociétal et environnemental sur notre espace de travail ? C’est à ces questions que des experts mandatés par Johnson Controls, entreprise spécialisée dans les "environnements intelligents", ont tenté de répondre.

    Premier élément de réponse : en 2030, les bureaux existeront toujours. Si la place du travail à domicile et du travail nomade aura vraisemblablement augmenté, les individus auront toujours besoin des bureaux pour se retrouver, organiser des réunions et échanger. Pour autant, la forme du bureau va changer : modulable, plus ouvert et moins privatif (la part des bureaux partagés et des bureaux "volants" va vraisemblablement s’accroître), ce bureau du futur permettra aux entreprises de réaliser de réelles économies d’espace. Chacun devra apprendre à partager son bureau et à acquérir de nouvelles habitudes - comme, par exemple, la réservation de son bureau. Moins présent dans son entreprise, le salarié travaillera vraisemblablement davantage à domicile, voire dans des espaces publics : bibliothèques, bars, restaurants.... Autant de lieux qui pourront être loués en cas de besoin.

    C’est sur la base de ces constats que trois scénariis, très différents les uns des autres, ont pu être établis.

    "L’éco bureau" : scénario le plus optimiste, il part de l’hypothèse que le monde sera stable, sa croissance reposera sur l’économie de la connaissance. Le salarié partagera sa journée de travail entre son domicile, son entreprise et des espaces collectifs loués pour l’occasion.
    "La ruche ": le scénario est nettement plus noir : pandémies, attaques terroristes informatiques en forte hausse obligent les individus à travailler à domicile. Les échanges avec les fournisseurs, les clients et les collaborateurs se font de fait via des réseaux, voire dans le cadre de plateformes virtuels de type Second Life.
    "Bienvenue à Gattaca" : le monde entrerait dans une ère marquée par une multiplication des actes terroristes et des troubles sociaux majeurs, certains touchant le monde entier. Pour faire face à l’insécurité qui en résulterait, les entreprises les plus prospères se regrouperaient au sein de régions à la fois dynamiques et surprotégées. Elles offriraient à leurs salariés un hébergement, opérant de ce fait un contrôle sur eux. Ce scénario prévoit la fin d’internet, réseau global jugé peu sûr, au profit de la multiplication d’intranets.

    http://www.johnsoncontrols.co.uk/publish/gb/en/news.html

  • Entreprises parisiennes : pour ou contre déménager dans une tour de bureaux ?

    Auteur(s) : CCIP
    Date de publication : septembre 2008

    Alors que la construction de plusieurs tours de très grande hauteur en périphérie de Paris a été récemment annoncée, qu’en pensent les entreprises ? Une étude Médiamétrie réalisée pour le compte de la Chambre de commerce et d’industrie de Paris révèle que les entreprises parisiennes ne semblent pas prêtes à déménager dans une tour. Réalisée entre le 8 le 24 septembre 2008 auprès de 979 entreprises parisiennes, cette étude montre que les entreprises parisiennes sont moins nombreuses à vouloir déménager : 8,5 % des entreprises interrogées en 2008 évoquent l’hypothèse d’un déménagement, contre 12 % en 2007 et 15 % en 2006. L’accessibilité en transports en commun et le fait de disposer d’une adresse parisienne à un coût moindre constituent, pour une écrasante majorité des entreprises interrogées, les deux principaux avantages d’une localisation dans un immeuble de grande hauteur aux portes de Paris. Ce sont les entreprises de grande taille qui semblent les plus ouvertes à une telle éventualité. En termes de secteur cette fois, les activités de proximité sont les plus favorables à une installation dans un immeuble de grande hauteur ; c’est tout particulièrement le cas pour les services aux particuliers. Ceci étant, les entreprises parisiennes interrogées ne sont que 17 % à se déclarer prêtes à s’installer dans une tour de très grande hauteur. Principales raisons invoquées : "l’inhumanité" d’une telle construction (39 %). La proximité avec le périphérique (37 %) et un coût supposé trop important (33 %) viennent ensuite. Alors, les tours de bureaux sont-elles des "tours infernales" ? Cette question était au centre du petit-déjeuner débat qu’ACTINEO a organisé le mercredi 25 mars 2009.

    http://www.ccip.fr/

  • S'éclairer mieux en consommant moins.

    Auteur(s) : GAUTHIER F. ; RICHEZ J.P. ; LARCHER C.
    Date de publication : juillet 2007
    Origine : Travail et sécurité, n° 677, octobre 2007, pages 18 à 31

    Comment conjuguer la maîtrise des risques professionnels et le développement durable ? L'éclairage des lieux de travail est un bon exemple des possibilités offertes par les nouvelles technologies pour concilier des impératifs spécifiques. Nouveaux vitrages, bâtiments "intelligents", luminaires "high-tech" sont autant de pistes suivies actuellement par les maîtres d'oeuvre. Ils facilitent en effet la gestion des apports de lumière. Les concepteurs d'espaces de travail peuvent désormais mieux ajuster les niveaux d'éclairage en donnant la priorité à la lumière naturelle par rapport à une source artificielle. A condition de bien en maîtriser les effets induits. Dans un cas comme dans l'autre, il faut éviter les risques d'éblouissement ou de gêne dus aux reflets. En outre, le rayonnement solaire et son apport thermique limitent la consommation d'énergie. Mais tout dépend de la position géographique et de l'orientation des bâtiments. Une étude globale fondée sur le bilan énergétique et le confort visuel au travail s'impose. Au sommaire de ce dossier : développement durable et éclairage, les bons arbitrages ; priorité à l'éclairage naturel ; éclairage artificiel : quantité, qualité et sobriété ; HQE (haute qualité environnementale) et éclairage, privilégier le naturel.

    http://www.inrs.fr/

  • Feeling sleepy ?

    Auteur(s) : BENNETT J.
    Date de publication : janvier 2007
    Origine : Safety and Health Practitioner, Royaume-Uni, volume 25, n° 1, janvier 2007, pages 43 à 45

    Cet article se penche sur la relation entre la concentration en dioxyde de carbone (CO2) dans les bureaux et son impact sur l'absentéisme, la performance, le moral et les malaises des salariés travaillant dans ces locaux. En effet, La respiration des salariés dans ces espaces confinés élève rapidement le niveau du CO2, ce qui se traduit par une pollution atmosphérique, des migraines, des gênes oculaires, respiratoires et une sensation de fatigue. Le renouvellement de l'air, seule solution existante, pose néanmoins des problèmes sur les autres critères de qualité : température, humidité, poussières et micro-organismes. Le préventeur, après une évaluation de la situation, devra choisir entre différents types de ventilation (naturelle ou mécanique) et justifier sa démarche par les coûts indirects générés par les absences.

    http://www.inrs.fr/

  • L'aménagement des bureaux. Principales données ergonomiques. 2e édition.

    Auteur(s) : VANDEVYVER B. ; POMIAN J.L.
    Date de publication : janvier 2007
    Origine : Fiche pratique de sécurité ED 23. INRS

    Cette fiche est un aide-mémoire utilisable à la fois par les concepteurs lors du réaménagement de bureaux existants et également par les utilisateurs désirant dialoguer avec les services chargés des modifications d'implantation de façon à disposer de manière optimale le mobilier à leur poste de travail. Les différentes rubriques traitées sont classées dans l'ordre chronologique de déroulement du projet : vitrages, répartition de l'espace pour l'ensemble des bureaux, chauffage et ventilation, aménagement intérieur des bureaux. Pour chaque rubrique, on indique les objectifs à réaliser, les moyens, les données chiffrées avec référence à la réglementation et aux normes existantes, les sources bibliographiques correspondantes.

    http://www.inrs.fr/

  • Les escaliers

    Auteur(s) : Institut pour la prévention, la protection et le bien-être au travail
    Date de publication : janvier 2007
    Origine : PreventMemo. Technique 31

    Cette fiche présente les types d'accidents survenant dans les escaliers (chutes, glissades) et les mesures pour les éviter : comment descendre, comment les entretenir et caractéristiques d'un escalier sûr (dimension de la marche et de la contremarche, pente et largueur de l'escalier, rampe, environnement, etc.).

    http://www.inrs.fr/

  • Eclairage intérieur des lieux de travail : appliquer la norme NF EN 12464-1.

    Date de publication : janvier 2007
    Origine : Fiches pratiques techniques et technologies. Sécurité au travail. Face au risque, n° 430

    La norme européenne NF EN 12464-1 définit les exigences relatives à l'éclairage pour que la tâche visuelle des personnes s'effectue dans de bonnes conditions de performances, de confort et de sécurité. Certains points de ce texte suscitant de fréquentes interrogations de la part des utilisateurs, les fabricants membres du Syndicat de l'éclairage ont décidé d'apporter des éclaircissements sur cinq aspects de la norme : les facteurs de maintenance, les plages de tolérances admissibles sur les mesures, le rendement en service des luminaires et la température de référence, la zone de travail, le maillage de référence pour le calcul ou la vérification de l'éclairement moyen.

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  • L'aménagement de bureaux dans de petits espaces. Existe-t-il des solutions acceptables ?

    Auteur(s) : GILBERT L.
    Date de publication : janvier 2006
    Origine : Travail et santé, Canada, volume 22, n° 2

    L’aménagement des bureaux dans de petits espaces est de plus en plus présent au Québec. Cette tendance est renforcée par le concept d’aménagement intégré des espaces (AIE). Ce concept, retenu par plusieurs organisations publiques et privées, vise d’abord à réduire les coûts associés à l’occupation des espaces et au mouvement de personnel. Il repose sur plusieurs caractéristiques dont les zones d’archivage centralisées, l’éclairage général et spécifique, la ventilation adaptée à la densité de la population. Une étude exploratoire réalisée après l'implantation de l'AIE dans une grande organisation indique que les dimensions, de même que certaines caractéristiques de ces postes de travail universels, peuvent générer des problèmes. L'article vise à décrire sommairement le concept de poste de travail universel, à mettre en évidence les problèmes observés, à présenter des modifications réalisées pour adapter certains postes et à proposer des recommandations pour réduire les problèmes identifiés.

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  • L'aménagement des locaux de travail.

    Auteur(s) : CONSTANT R.
    Date de publication : janvier 2006
    Origine : Santé et sécurité au travail. Actualités, n° 92, page(s) 5

    Cette fiche présente ce qu'est l'aménagement de poste, l'importance de l'association des partenaires "santé-sécurité" de l'entreprise dans la gestion des espaces de travail et le cadre réglementaire. Un tableau rappelle les dispositions générales en vigueur.

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  • Le mobilier de bureau et ses accessoires

    Auteur(s) : BEAUVAIS A.
    Date de publication : janvier 2006
    Origine : Travail et santé, Canada, volume 22, n° 3, pages 22 à 27

    Dans cet article, l'auteur part du constat qu'il n'existe pas de conception idéale de mobilier qui convienne à toutes les situations de travail de bureau. Toutefois, l'expérience d'intervention dans différentes situations de travail fait ressortir que certaines caractéristiques de mobiliers et d'accessoires de bureau sont généralement plus avantageuses que d'autres lorsqu'on cherche à favoriser le confort et la polyvalence dans l'aménagement des postes de travail. Les principales options disponibles de conception de mobiliers et d'accessoires sont détaillées : nombre de surfaces de travail, disposition, dimensions, travail sur écran, activités manuscrites, surfaces indépendantes ou non, ajustables ou non, tiroir à clavier ou non, tiroir à clavier sur coulisseaux ou à bascule, emplacement de l'écran, tiroirs sur caisson mobile, modules de rangement, supports à documents.

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  • Le bruit au travail : priorité à l'analyse.

    Auteur(s) : DE FONSECA P. ; SEGERS T.
    Date de publication : janvier 2005
    Origine : PreventFocus, Belgique, n° 7, pages 4 à 7

    Après avoir rappelé les conséquences pour la santé et les pertes de productivité engendrées par une exposition des salariés au bruit, les auteurs présentent l'intérêt d'une analyse du bruit, ainsi que les différentes étapes de celle-ci. Cette analyse comprend la mesure de l'exposition journalière au bruit et celle des pics de pression sonore, puis une analyse des sources de bruit. Cette analyse du bruit est imposée par la nouvelle réglementation européenne. L'article explique également la différence entre dosimétrie et sonométrie, puis explique comment réaliser une analyse acoustique de l'espace. Un exemple de réduction sonore d'une machine en construction est donné. Des sites internet sur le sujet sont listés en fin d'article

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  • Ergonomie des postes et lieux de travail. Tome 1. Principes généraux et conception des postes de travail. Tome 2. Conception des lieux de travail. 2e édition.

    Auteur(s) : Association française de normalisation
    Date de publication : janvier 2005
    Origine : AFNOR

    Le présent recueil regroupe les normes fondamentales qui permettent d'apprécier, d'aménager et si nécessaire, d'améliorer les conditions de travail. Le tome 1 présente toutes les normes relatives aux principes généraux et à la conception des postes de travail qui intègre notamment les nouvelles normes NF EN 1005-1 et NF EN 1005-3 portant sur la sécurité des machines. Le tome 2 est consacré aux normes de conception des lieux de travail. Il recense les normes de la série NF EN ISO 9241 portant sur les exigences ergonomiques pour le travail de bureau avec terminaux à écran de visualisation et celles concernant la conception des espaces de travail devant l'écran, l'éclairage et les ambiances thermiques.

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  • Ergonomie des postes et lieux de travail. Tome 1. Principes généraux et conception des postes de travail. Tome 2. Conception des lieux de travail. 2e édition.

    Date de publication : janvier 2005
    Origine : Recueil. Normes. Hygiène et sécurité. Association française de normalisation

    Le présent recueil regroupe les normes fondamentales qui permettent d'apprécier, d'aménager et si nécessaire, d'améliorer les conditions de travail. Le tome 1 présente toutes les normes relatives aux principes généraux et à la conception des postes de travail qui intègre notamment les nouvelles normes NF EN 1005-1 et NF EN 1005-3 portant sur la sécurité des machines. Le tome 2 est consacré aux normes de conception des lieux de travail. Il recense les normes de la série NF EN ISO 9241 portant sur les exigences ergonomiques pour le travail de bureau avec terminaux à écran de visualisation et celles concernant la conception des espaces de travail devant l'écran, l'éclairage et les ambiances thermiques.

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  • User evaluation of the work environment : a diagnostic approach. (Une approche de l'évaluation des environnements de travail : la méthode diagnostique).

    Auteur(s) : VISCHER J.C. ; FISCHER G.N.
    Date de publication : janvier 2005
    Origine : Travail humain, volume 68, n°1, pages 73 à 96

    L'évaluation des environnements de travail est issue de la psychologie de l'environnement. L'évaluation des espaces vise l'expérience des employés relative à leur environnement de travail plutôt que l'évaluation des activités et des compétences. En examinant de près l'historique de l'évaluation environnementale, on peut constater les diverses orientations développées dans ce domaine. Selon l'approche cognitive, l'environnement de travail se définit selon l'évaluation qu'en font les occupants. La méthode diagnostique sur laquelle porte cet article relève du modèle cognitif des relations personne - environnement. Cette approche a évolué à partir de nombreuses enquêtes menées auprès des occupants des bureaux. Les résultats fournissent non seulement une meilleure compréhension de la psychologie des usagers des espaces de travail, mais aussi une façon systématique d'établir les priorités d'intervention pour améliorer le niveau de confort relatif au fonctionnement des systèmes techniques de l'immeuble de bureaux. Une étude de cas démontre une application de la méthode diagnostique dans le cas d'un projet de construction d'un nouvel espace de travail.

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  • De la diversité des normes dans les lieux de travail.

    Auteur(s) : HEDDAD N.
    Date de publication : janvier 2004
    Origine : Extrait de : Ergonomie et normalisation. Actes du 39e Congrès de la Société d'ergonomie de langue française (SELF). Genève (Suisse), Collection Le Travail en débats. Série Colloques et congrès. Octarès Editions

    Au travers d'une analyse réalisée sur le terrain, l'auteur s'intéresse à la question des normes, à la diversité de leur mode de production, d'expression et de mise en œuvre. Opérée à partir d'observations du travail en lien étroit avec son déploiement dans l'espace, cette analyse montre qu'il est difficile de séparer la question de la conception et de l'application des normes du contexte de travail. L'ambition de cette étude, illustrée par le cas d'un bloc opératoire, est de mettre en évidence la diversité des normes, en valorisant la norme non-experte, celle qui s'exerce dans l'usage et s'impose dans le vécu des personnes en situation de travail.

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  • Principes ergonomiques de la conception des systèmes de travail.

    Date de publication : janvier 2004
    Origine : Norme française homologuée NF EN ISO 6385. Août 2004. Indice de classement X 35-001. Association française de normalisation

    La norme NF EN ISO 6385 remplace la norme NF ENV 26385 de décembre 1990. Elle établit les principes ergonomiques fondamentaux qui servent de lignes directrices de base pour la conception des systèmes de travail, et définit les termes de base correspondants. Elle décrit une approche intégrée de la conception des systèmes de travail, selon laquelle les ergonomes coopèrent avec d'autres personnes impliquées dans la conception, en prenant en considération à la fois les exigences humaines, sociales et techniques, de façon équilibrée, durant le processus de conception. Au sommaire : processus de conception des systèmes de travail, principes généraux, formulation des objectifs (analyse des besoins), analyse et attribution des fonctions, conception générale et détaillée des systèmes de travail (organisation du travail, tâches, activités, environnement de travail, moyens de travail, matériel informatique et logiciels, espace de travail et poste de travail (mensurations et postures corporelles, force musculaire, mouvements corporels)), réalisation, mise en application et validation, évaluation.

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  • L’espace: un mode de gestion de la dynamique organisationnelle

    Auteur(s) : Michael Fenker
    Date de publication : janvier 2003
    Origine : Thèse de doctorat en sciences de gestion, Centre de Recherche en Gestion (CRG), Ecole Polytechnique

    Il apparaît souvent difficile d’inscrire la gestion de l’espace dans le processus de décision des organisations : l’imbrication des dimensions organisationnelles et spatiales induit une forte opacité de leurs articulations et les savoirs mobilisés s’avèrent partiels, notamment face aux changements. Le dysfonctionnement et l’effort des occupants pour s’adapter au lieu ont pourtant un coût que le management mesure rarement.  A partir d’une question : "Comment analyser la contribution de la gestion de l’espace à la poursuite des objectifs d’une organisation?" et d’un terrain : un service d’entreprise en changement, c’est à cette difficulté que notre recherche s’est confrontée. L’observation de l’aménagement du lieu pour répondre au projet managérial, puis des usages, de la modification des orientations managériales et des nouvelles interprétations qui ont suivies montre l’évolution des relations entre l’organisation et son espace, leurs modifications, leurs ruptures et l’élaboration ininterrompue des représentations. Stimulés par l’approche cognitive des organisations, les concepts mobilisés lors de l’analyse du terrain ont permis d’appréhender la réciprocité des échanges entre les ressources et l’élaboration de compromis entre les diverses finalités poursuivies et les moyens disponibles au cours de l’action collective. L’espace apparaît alors comme une ressource pouvant contribuer à la construction et à la négociation du sens dans l’action collective. C’est dans cet esprit que nous avons proposé le concept de figuration lorsque l’espace véhicule, à travers la représentation, un ensemble de connaissances directement ou indirectement liées à l’adéquation entre l’action et le dispositif matériel.  La gestion de la ressource spatiale, outre l’ajustement entre le dispositif matériel et l’organisation en fonction des objectifs poursuivis, comprend donc la négociation sur le "réel" au cours de l’action. On peut alors envisager la gestion de l’espace comme une  continuité  dans l’aller-retour entre l’objectivation des représentations et leur inscription dans la forme, d’une part, et d’autre part la figuration qui consiste à situer l’action.

    http://www.let.archi.fr/spip.php?article481&lang=fr